Chers Visiteurs, nous avons le plaisir de partager avec, en primeur, la dernière production de notre « site ami »
« Un Noël de pandémie : Messe en direct le 24/12 à 19h – Christ Lumière sur nos pas et dans nos cœurs«
Suivez la messe de Noël célébrée par le Père Sébastien ROCH, retransmise en direct le 24 décembre dès 19h depuis l’abbatiale Sainte-Croix de Bouzonville : https://youtube.com/c/missionweb
dans lequel l’historien Jean-Christian Petitfils dissèque les textes des évangélistes qui traitent des origines de Jésus et de sa naissance.
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La naissance de Jésus: que dit l’historien ?
L’adoration des mages, de Gerard van Honthorst (1622)
«Le temps où elle devait enfanter fut accompli. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire» (Luc 2, 6-7). Si l’existence du Christ ne fait plus de doute depuis longtemps, l’on tente encore aujourd’hui de confronter les récits évangéliques à l’Histoire. Et la Nativité ne fait pas exception. Nous en parlons avec l’historien Jean-Christian Petitfils. »
Entretien réalisé par Manuella Affejee- Cité du Vatican
Depuis l’instauration de la Nativité le 25 décembre, jour de la fête païenne du Sol invictus, l’on débat âprement de la date précise de la naissance de Jésus. Est-on parvenu à la déterminer ?
JCP: Une chose est sûre, Jésus n’est pas né le 25 décembre de l’an I, comme le veut la tradition. Ce n’est qu’au IVe siècle que le pape Libère (352-366) instaura la solennité de la Nativité, afin de christianiser la fête du solstice d’hiver, le Sol Invictus. Selon les évangiles de saint Matthieu et de saint Luc, Jésus serait né au temps du roi Hérode. Or, celui-ci est mort en l’an 4 (ou 2) avant notre ère. C’est par suite d’une erreur de calcul d’un moine du 6e siècle, Denys le Petit, que la date de l’an I a été arrêtée. (…)
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« Au Liban, où je réside avec ma famille, les fêtes de Noël se préparent mais l’ambiance générale est très douloureuse. À la crise économique s’ajoute une crise humanitaire sans précédent. Le pays ne se maintient que grâce au tissu associatif local, aux ONG, aux solidarités locales et au travail que font les Églises lorsque l’État est absent. Si toute cette aide s’arrête demain, le Liban s’effondrera. Heureusement, les communautés chrétiennes font un travail remarquable et nous donnent de réelles raisons d’espérer. C’est le cas entre autres, des petites sœurs de Nazareth du camp palestinien chrétien de Dbayeh au nord de Beyrouth dédiées jour et nuit au service des familles marginalisées. Ne les abandonnons pas.
Je rentre juste de Syrie. La situation est pire que ce que je redoutais. La livre syrienne s’est effondrée. La Covid-19 et les conséquences tragiques de la guerre font des ravages. Dernière nouvelle du terrain : dans la banlieue ouest d’Alep, une école chrétienne de la congrégation latine du Rosaire a été libérée voilà quelques semaines de groupes djihadistes qui l’occupaient depuis 2012. L’établissement, totalement bombardé, est rendu à l’état de ruine. Nous devons reconstruire cette école, comme nous l’avons fait pour les autres. Plus que jamais, les chrétiens d’Orient ont besoin de notre soutien. Pour faire votre don, rendez-vous sur : https://secure.oeuvre-orient.fr/soutenir
Un grand merci par avance, Belles fêtes de Noël, »
Chers Visiteurs, vous l’avez probablement entendu aux informations. Abubakar Shekau, le chef du groupe Boko Haram, a revendiqué l’enlèvement de centaines de lycéens dans le nord-ouest du Nigeria, dans un message de propagande diffusé le 15 décembre.
Chers amis prions. Prions pour que ces terroristes ne touchent pas à ces enfants et les relâchent.
Chers Visiteurs, pourquoi ne pas débuter cette journée pluvieuse par ce beau témoignage d’Anne, proposé par
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Anne: « C’était pour moi une religion moralisante qui n’était pas vraiment vivante«
Anne a grandi dans un milieu catholique pratiquant mais a toujours vécu sa foi à distance. En se rapprochant de sa paroisse, elle rencontre des personnes rayonnantes et une foi vivante. Sa vie va être transformée.
, nous avons voulu mettre en lumière la vie de cette poignée de religieux du monastère Deir Mar Musa de Syrie.
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« L’amour du Christ, source de guérison de l’humanité blessée entre guerre et pandémie »
Photo Géo magazine
Nabek (Agence Fides) – « Parfois nous disons à Dieu, peut-être par habitude, « que Votre volonté soit faite » mais rarement nous disons avec le lépreux « si Vous voulez ». Souvent, les moments de prière sont pleins de nous-mêmes, de nos pensées, de nos préoccupations, au lieu d’être pleins du Seigneur, du moment et de Sa présence ». C’est ainsi que débute la Lettre de Noël envoyée aux amis du monde entier par les moines et les moniale de Deir Mar Musa, la communauté monastique fondée en Syrie par le Père Paolo Dall’Oglio SI, disparu en juillet 2013 alors qu’il se trouvait à Raqqa, à ce moment place forte des djihadistes du prétendu « Etat islamique ». Comme chaque année, la lettre offre un bref compte-rendu des nouvelles, bonnes et mauvaises, ayant marqué la vie des membres de la communauté au cours de la dernière année, regardant avec un regard de foi les tribulations, les attentes et les consolations qui ont marqué le temps des peuples du Proche-Orient – et en particulier celui de Syrie – et du monde entier au cours de cette année 2020. « Notre monde – indique dans l’introduction Sœur Houda, Supérieure de la Communauté au cours de ces trois dernières années – a urgemment besoin de prière parce que c’est la seule bouée de sauvetage permettant d’éviter que, à cause de l’affrontement de la nature et des mauvaises relations humaines, survienne une fin catastrophique et destructrice à tout ce qui est beau. (…)
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