ASSASSINATS DE CHRÉTIENS DANS INDIFFÉRENCE

Chers Visiteurs, le Covid, cette pandémie qui, lorsqu’on suivait les médias, ne semblait ne s’être attaqué qu’aux Pays industrialisé, est en perte de vitesse en Europe. En France comme chez les voisins, il n’est plus question que de relancer l’Economie, Sortir, Voyager etc…

Malheureusement, sur d’autres Continents, loin de chez nous, la pandémie continue à sévir dans l’indifférence. Et malheureusement, ce fléau n’a pas fait baisser les ardeurs des « Tueurs de Chrétiens ».

Voici un article puisé pour vous sur le site

« Des centaines de chrétiens sont assassinés par Boko Haram dans l’indifférence quasi-générale de nos médias et de notre monde »

Mise en garde : Cet article contient une photo qui témoigne de la violence vécue par les chrétiens. Elle est susceptible de choquer.

C’est dans un tweet que la Sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam a dénoncé hier « l’indifférence quasi-générale de nos médias et de notre monde si bien-pensant » qui entoure l’assassinat de « centaines de chrétiens, hommes, femmes, enfants » par Boko Haram.

« Et pendant ce temps, au Nigéria… Des centaines de chrétiens, hommes, femmes, enfants sont assassinés par Boko Haram dans l’indifférence quasi-générale de nos médias et de notre monde si bien-pensant. »(…)

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AVORTEMENT : LE PRÉTEXTE COVID

Chers Visiteurs,

Nous nous devions de partager avec vous cet article de l’Association Alliance Vita, paru récemment dans

Valeurs Actuelles: « Suite à l’allongement des délais de « l’IVG médicamenteuse » à domicile de 5 à 7 semaines de grossesse, l’association pour la dignité humaine Alliance Vita tire la sonnette d’alarme.

Il semblerait que les consultations et actes d’avortement aient baissé durant les deux mois de la période de confinement. S’agit-il pour autant d’un « recul du droit à l’IVG » comme l’affirme le Planning familial ?

La Covid ne doit pas servir de prétexte pour porter atteinte à la santé, et à la sécurité des femmes par une banalisation accrue de l’avortementVoilà un raccourci dialectique étrange destiné à choquer mais surtout qui risque de cacher une autre réalité. Sous la pression d’associations militantes, le nouveau ministre de la Santé a parlé d’« une réduction inquiétante du recours à l’IVG », sans apporter d’analyse chiffrée, ni prouver en rien des difficultés d’accès à l’avortement.

En effet, ces « chiffres à la baisse » qu’il faudrait pouvoir objectiver, peuvent tout autant signifier que des femmes préfèrent poursuivre leur grossesse, même inattendue, en cette période de contagion par la Covid-19. Nous l’avons constaté, la pandémie et ses menaces peuvent changer le regard sur la vie.

En réalité, la préoccupation exprimée par les femmes enceintes en temps de confinement n’a pas tant été la continuité des services médicaux (d’autant que l’avortement a été déclaré « soin d’urgence ») que celle des services sociaux. Pour preuve, le long travail que nous avons dû faire, à Alliance VITA, pour référencer les lieux d’aide et de soutien opérationnels aux femmes enceintes, spécialement pour celles victimes de violence, ou encore les lieux d’accueil d’urgence.(…) »

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