« DU CROISSANT VERS LA CROIX »: DESCENDANT D’UN MAHOMET, IL EMBRASSE LA CROIX

« En Iran, de nombreux musulmans se convertissent au christianisme malgré les risques encourus. Comme les premiers chrétiens, ils vivent leur catéchuménat dans la plus stricte clandestinité. L’

AED a rencontré l’un d’entre eux.

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AED: Heman est un jeune homme discret, très poli, qui nous remercie chaleureusement pour le repas et la tasse de thé. Il parle avec douceur, sans la moindre trace de colère envers ceux qui ont fait de sa vie un enfer. Il a grandi dans une famille de Seyed, des descendants du prophète en langue persane. L’un de leurs ancêtres est considéré comme le fondateur de Mahabad, la ville où ils résident. Pénétré de l’importance que lui donne sa lignée, le père se comporte en potentat oriental. Colérique, il bat femmes et enfants, enfermant les récalcitrants dans une cave. Tous souffrent de claustrophobie, à la suite de ce traitement. Heman confesse : « Moi aussi, j’étais comme lui, plein de colère, y compris envers ma femme ». Difficile à imaginer quand on voit l’homme qui se tient en face de nous.(…)

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« L’EGLISE » EST-ELLE DÉCALÉE ?

Chers Visiteurs, le magazine

La Croix - Croire

s’appuyant sur la récente « candidature » d’Anne Soupa à l’Archevêché de Lyon, pose cette question dans son éditorial du jour: L’Eglise telle qu’elle est aujourd’hui, est-elle décalée ?

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La candidature d’Anne Soupa à l’archevêché de Lyon, jugée provocante et inappropriée par beaucoup, n’est pas une candidature guidée par le goût du pouvoir. Ni par un sentiment de supériorité. La question n’est pas de savoir si une femme peut, mieux qu’un homme, gouverner un diocèse. La question est de savoir si nous pourrons, un jour, sortir de cet imaginaire catholique dans lequel le masculin tient une place si prédominante. Certes, Jésus a lavé les pieds de ses apôtres, qui étaient des hommes. Et il a partagé avec eux le pain et le vin. Pour autant, a-t-il décidé que seuls les hommes avaient l’obligation du service ? Et que seuls les hommes pouvaient avoir accès à sa table ? Tout dans son comportement dit le contraire. Quelle femme d’ailleurs pourrait lui reprocher de les avoir reléguées à une place subalterne ? Au fil des siècles, beaucoup se sont imposées, en raison de leur amour pour lui. Leur intelligence, leur foi et leur courage ont même changé le cours de l’histoire. Aujourd’hui, alors que la société leur donne toute leur place, l’Église catholique reste en décalage. Pourquoi ? Et comment la faire bouger ? La provocation d’Anne Soupa ne nous pousse-t-elle pas à réfléchir à nos façons de concevoir la place des hommes et des femmes dans notre Église ? Antoine Nouis, théologien protestant, nous dit comment la sienne s’est libérée de cet imaginaire dominé par le masculin. Et Odile Hardy, xavière, directrice de l’Institut d’études religieuses et pastorales (IERP) de Toulouse, appelle à une vraie fraternité entre les hommes et les femmes. Ils nous poussent à réfléchir. Lisez-les

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