Chers Visiteurs,
Nous nous devions de partager avec vous cet article de l’Association Alliance Vita, paru récemment dans
Valeurs Actuelles: « Suite à l’allongement des délais de « l’IVG médicamenteuse » à domicile de 5 à 7 semaines de grossesse, l’association pour la dignité humaine Alliance Vita tire la sonnette d’alarme.
Il semblerait que les consultations et actes d’avortement aient baissé durant les deux mois de la période de confinement. S’agit-il pour autant d’un « recul du droit à l’IVG » comme l’affirme le Planning familial ?
Voilà un raccourci dialectique étrange destiné à choquer mais surtout qui risque de cacher une autre réalité. Sous la pression d’associations militantes, le nouveau ministre de la Santé a parlé d’« une réduction inquiétante du recours à l’IVG », sans apporter d’analyse chiffrée, ni prouver en rien des difficultés d’accès à l’avortement.
En effet, ces « chiffres à la baisse » qu’il faudrait pouvoir objectiver, peuvent tout autant signifier que des femmes préfèrent poursuivre leur grossesse, même inattendue, en cette période de contagion par la Covid-19. Nous l’avons constaté, la pandémie et ses menaces peuvent changer le regard sur la vie.
En réalité, la préoccupation exprimée par les femmes enceintes en temps de confinement n’a pas tant été la continuité des services médicaux (d’autant que l’avortement a été déclaré « soin d’urgence ») que celle des services sociaux. Pour preuve, le long travail que nous avons dû faire, à Alliance VITA, pour référencer les lieux d’aide et de soutien opérationnels aux femmes enceintes, spécialement pour celles victimes de violence, ou encore les lieux d’accueil d’urgence.(…) »
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