Archives de catégorie : Informations cultuelles



L’ASCENSION ÉCLAIRÉ PAR LA BIBLE

Un article de Jacques Nieuviarts, bibliste. Publié pour La Croix.com

L’ Ascension est une fête qui concerne l’identité de Jésus, et celle du croyant, transformé par son adhésion au Christ.

Des chiffres et des dates

Quarante jours après Pâques, nous fêtons l’Ascension, puis quelque dix jours après, la Pentecôte. Deux grandes dates qui disent avant tout le temps de la foi. Quarante jours après Pâques, c’est le temps parfait de la naissance du disciple, le temps d’une révélation ! La fête de l’Ascension, comme celle de la Pentecôte, concerne l’identité profonde de Jésus, et celle du croyant, transformé par son adhésion à Jésus, par la proximité qui le gagne face au mystère.

Jésus dans les airs

Nous sommes probablement desservis par les magnifiques représentations que les peintres ont données de ce grand moment du mystère de la foi. …/…. Et tout laisse à penser que l’Ascension a été un départ de Jésus dans les airs. Les peintres en effet ont montré cette ascension dans son élan, et dans le mouvement d’un corps peu à peu absorbé par le nuage. Et nous pensons, inconsciemment, que Dieu est dans ce ciel-là.

C’est ignorer le parler biblique, qui ne peut situer Dieu qu’en haut, au sommet de l’univers, tandis que le lieu de la mort, et aussi celui du mal, est en bas vers le sol (relire par exemple Genèse 4, 7), ou plus bas encore pour la mort, au Shéol. La Bible désigne ainsi le pays de la mort, lieu d’obscurité et surtout de silence, tandis que la vie est mouvement, joie, parole de louange à Dieu. Oui, telle est la plus belle figure de la vie (Isaïe 38, 10-20) ! …/…

Accédez à la suite de l’article en cliquant sur:

http://croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Ascension/L-Ascension-eclairee-par-le-langage-de-la-Bible



JÉRUSALEM – PROCESSION DE GETHSEMANI A LA MAISON DE CAÏPHE

Procession nocturne du jardin de Gethsémané à la maison de Caïphe (Saint Pierre en Gallicante)

Chers visiteurs, à la veille de la résurrection du Christ, je vous propose de suivre les traces de Jésus, lors de sa dernière nuit de liberté, en compagnie des pèlerins et les chrétiens de Jérusalem.

 Vidéo proposée par David Vincent, doctorant en sciences religieuses à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes et membre de l’association Science&Foi.

www.didascale.com

Diffusé par InfoChrétienne.com



LA PASSION DE JÉSUS SUR LA VIA CRUCIS DE JERUSALEM

La via Crucis de Jérusalem, station après station de la Passion de Jésus, de la condamnation à la mise au tombeau

Une Tradition qui remonte aux débuts du christianisme, et qui depuis la fin du Moyen-Age se répète le long du même parcours. Durant le Vendredi Saint, les chrétiens du monde entier re-parcourent à Jérusalem les étapes de la Passion du Christ le long de la Via Dolorosa. Pas à pas, chacun suit le chemin de croix. 14 stations, pour faire mémoire des derniers instants de la vie de Jésus, de la condamnation à mort jusqu’à la mise au tombeau. Dans l’attente de l’annonce qui a changé l’Histoire de l’humanité.

Une réalisation de 

https://cmc-terrasanta.com



QUEL EST LE SENS DU CHEMIN DE CROIX ?

Depuis vingt siècles, la mémoire des dernières heures de la vie de Jésus a retenu l’attention de l’Eglise et la piété des fidèles a trouvé dans le chemin de croix un moyen d’exprimer sa dévotion en dehors de la liturgie proprement dite. Le Vendredi Saint, l’Eglise nous fait suivre le Christ pas à pas dans le combat qu’il a accepté de vivre pour nous racheter de nos péchés.

Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils. D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques. Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels :

la marche, la méditation et l’intercession.

Pour prendre connaissance de ces trois aspects, cliquer sur le lien suivant:

http://www.eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/la-celebration-de-la-foi/les-grandes-fetes-chretiennes/careme-et-paques/semaine-sainte-paques/370608-quel-est-le-sens-du-chemin-de-croix/

 

LA PASSION DU CHRIST PAR LES 4 EVANGELISTES

Chers visiteurs, à la veille de la semaine sainte, nous vous proposons la vision de la Passion du Christ, par les quatre évangélistes. Quatre regards qui nous enseignent qui est le Christ et ce que signifie le don de sa vie.

  • Jean met en relief le côté divin de Jésus,
  • Marc évoque l’abandon,
  • Luc la miséricorde
  • et Matthieu s’intéresse surtout au jugement.

Une émission de 

https://rcf.fr/spiritualite/bible/la-passion-du-christ-quatre-evangelistes-quatre-regards?unkp=a242f4156c58537d879b3e3f4ec022ae#.WNLTsC7fpN4.em

 



POURQUOI JÉSUS EST-IL MORT SUR LA CROIX ?

A l’approche du Triduum pascal et de la Passion du Christ, posons-nous cette question :

Pourquoi Jésus est-il mort sur la croix ?

Voici la réponse du Père Philippe LOUVEAU

Le récit de la passion du Christ et de sa mort sur la croix est bouleversant. Pourquoi Jésus est-il mort ? C’est une exclamation qui peut s’élever devant cet évènement violent dans les faits. Plusieurs réponses sont possibles, et présentes de fait dans l’Ecriture.

Il est mort… parce qu’on l’a tué !

Jésus n’a pas voulu mourir et a même demandé à son Père que « cette coupe s’éloigne » de lui. Il est mort parce qu’on l’a tué. Les évangiles montrent comment sa parole et son comportement avaient fini par faire de Jésus un gêneur. «La lumière est venue dans le monde, et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.» (Jean 3, 19).

Certains avaient des motifs religieux d’en vouloir au Christ : ses prétentions leur paraissaient incompatibles avec la Loi. Jean note très explicitement : «C’est pourquoi les Juifs cherchaient à faire mourir Jésus, car non seulement il violait le repos du sabbat, mais encore il disait que Dieu était son propre Père, et il se faisait ainsi l’égal de Dieu» (Jean 5,18).

D’autres avaient des motifs plus stratégiques ou politiques. Les autorités en place ont dû profiter de l’occasion pour dissuader le peuple de se révolter contre l’occupant. Pour obtenir de l’administration romaine une sentence de mort à l’encontre de Jésus, elles l’ont présenté comme prétendant à la royauté et donc ennemi de l’empereur (Jean 19,12). Jésus subit donc le supplice romain de la crucifixion.

Lire la suite de l’article en cliquant sur le lien suivant :

http://jesus.catholique.fr/questions/pourquoi-jesus-est-il-mort-sur-la-croix/pourquoi-jesus-est-il-mort-sur-la-croix/#.WM68jfetv_I.email



QUIZZ DE LA PASSION

Cher visiteur, le temps du Carême arrivant prochainement à mi-parcours vers la Passion de Jésus et vers sa Résurrection à Pâques,

nous vous proposons de tester vos connaissances bibliques et, par là, de rafraîchir votre mémoire, en vous proposant ces deux Quizz mis en ligne par le site InterBible.org:

 



CARÊME – COMMENT MOTIVER LES ENFANTS ?

Carême : 6 idées ludiques pour motiver vos enfants !

Petits bricolages, lectures, prières courtes, coloriages XXL : nos plus jolies suggestions pour tenir 40 jours avec des

Le Carême est là. Vous avez caché la pâte à tartiner et vous évitez le rayon bonbons de votre supermarché. Mais vous aimeriez que vos enfants puissent vivre davantage de spiritualité durant ces quarante jours. La rédaction a repéré des idées originales pour les guider sur le chemin de Pâques.

Vos enfants connaissent peut-être par cœur la fuite en Egypte ou les quarante jours dans le désert, n’empêche il est parfois difficile de leur faire comprendre la démarche spirituelle que propose le Carême autrement que par des privations, alimentaires ou autres. L’enjeu est donc de les accompagner dans une réflexion, à leur échelle, sur la manière d’agir, le comportement à adopter par rapport aux autres et les moyens qu’ils pourraient mettre en oeuvre pour l’améliorer…/…

Lire la suite et accéder aux idées en cliquant sur le lien suivant:

http://fr.aleteia.org/2017/02/28/careme-idees-ludiques-enfant/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr



COMMENT RÉUSSIR SON CARÊME

Le carême est une période de quarante jours de combat spirituel pour se préparer à la fête de Pâque, la plus importante des fêtes chrétiennes, où les chrétiens célèbrent la mort et la résurrection de Jésus. Ces quarante jours rappellent les quarante jours que Jésus passa dans le désert à combattre le démon.

Le petit carême

Les chrétiens ont l’habitude d’observer quelques coutumes à l’occasion du carême :

Le mercredi des cendres est le début officiel du carême, quarante jours avant Pâque. Cette année le Carême débute le 1er mars . Au cours de la messe dites des cendres, le prêtre trace un signe de croix en cendres sur le front en signe de pénitence et dit : « Convertis-toi et crois dans l’Évangile ». Garder ces cendres sur votre front est un moyen simple de témoigner de sa foi et qui attire la sympathie des gens.

Ne pas manger de viande le vendredi, en signe de deuil. Jésus fut en effet crucifié le vendredi. Traditionnellement, on mange du poisson ce jour-là, car le poisson était une nourriture pauvre au moyen-âge. Faire sa prière du soir. Si vous n’avez pas l’habitude de prier, vous pouvez commencer par un Notre Père. Le carême se termine par la messe de Pâque.

Le grand carême

Les coutumes précédentes forment le « petit carême ». Si vous n’avez pas l’habitude du carême, il convient de commencer par là. Le « grand carême » est, lui, synonyme de combat spirituel. Pour cela, les chrétiens ont l’habitude de choisir un (ou des) effort(s) concret(s)de carême. Cet effort doit être : suffisamment adapté pour pouvoir être tenu ; suffisamment sérieux (il doit coûter) ; et secret (il s’agit de votre relation individuelle avec Dieu).

C’est cette dernière caractéristique du carême qui différencie le carême chrétien et le ramadan musulman. Cet effort doit vous permettre de consolider les trois piliers de la pratique religieuse : la prière, le jeûne et la charité (aumône). Le texte suivant, lu le jour du mercredi des cendres, donne l’esprit dans lequel cet effort doit être poursuivi :

« Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Si vous voulez vivre comme des justes, évitez d’agir devant les hommes pour vous faire remarquer. Autrement, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux.

Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner de la trompette devant toi, comme ceux qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra.

Et quand vous priez, ne soyez pas comme ceux qui se donnent en spectacle : quand ils font leurs prières, ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et les carrefours pour bien se montrer aux hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra.

Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme ceux qui se donnent en spectacle : ils se composent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra ». (Matthieu 6,1-6.16-18)

Pour les personnes très engagés dans la pratique religieuse, le carême ne consiste pas à rajouter un effort supplémentaire, mais selon le mot de saint Benoît, à faire ce qui est déjà demandé (et que l’on a jamais le temps de faire).

Le jeûne et le chocolat

Il est une coutume qui consiste à se priver de chocolat pendant le carême en signe de jeûne. Cet effort louable ne doit cependant pas entretenir de confusion. Se priver de chocolat pour donner l’argent aux pauvres est un effort qui relève de la charité, non du jeûne, car il rend concret le mot de saint Augustin :

« le superflu des riches appartient aux pauvres ».

On pourra donc accompagner cet effort d’un véritable jeûne. Le jeûne ne consiste pas à se priver du superflu, mais de ce qui est nécessaire. Par exemple, de ne pas manger pendant une journée. Avant de se priver de ce qui est nécessaire, la première étape du jeûne consiste à se libérer de toutes ses addictions (sexe, nourriture, cigarette, Internet, télévision, téléphone, etc). Nous ne saurions trop insister sur l’importance de cette étape préalable.

Voici aussi un lien où vous pourrez aussi trouver 6 idées connectées pour vivre le Carême autrement :

http://www.pelerin.com/A-la-une/Retrouvons-les-valeurs-du-Careme/Le-Careme-authentique/Six-idees-connectees-pour-vivre-le-Careme-autrement