CHANGEMENT ET CONTINUITÉ – ABBÉ GÉRARD KAISER

Chers visiteurs de «  St Pierre des deux Nied », l’abbé Gérard Kaiser a été installé ce jour, par Mgr Lagleize, pour prendre la suite de l’abbé Cerecki qui nous quitte après 6 années parmi nous. Voici le mot de Mr l’abbé Kaiser.

« Changement, car l’abbé Xavier quitte notre secteur. Je suis nommé Curé de sa communauté avec l’aide d’un prêtre coopérateur, l’abbé Georges.

Continuité, car un changement de curé s’inscrit dans la vie de l’Église locale et ne change en rien son existence car c’est vous, chrétiens, qui constituez cette Église du Christ, bien implantée dans nos diverses paroisses. Le prêtre, que l’Évêque vous donne comme curé, est le signe de communion et d’attachement à l’Église catholique dont l’Évêque est le premier pasteur.

Chers frères et sœurs, je viens donc vers vous avec humilité et avec joie. Avec humilité, car je vous rejoins dans votre vécu, dans ce beau travail que vous faites au quotidien pour faire vivre vos paroisses, votre communauté, chacun à votre façon (par une charge, une responsabilité qui vous a été confiée, par votre vie quotidienne chrétienne animée par l’Esprit …), et je viens pour cheminer avec vous, servir et célébrer notre Seigneur en toute simplicité, respectant votre vécu.

Avec joie aussi, car je sais qu’avec le Père Georges nous pourrons compter sur vous pour poursuivre le travail paroissial déjà existant, animés par l’Esprit Saint qui nous invite à être signe de l’amour de notre Dieu, là où nous vivons.

Nous vous invitons après cette période qui fut difficile, à prendre du temps pour redécouvrir que l’Église est une grande famille où chacun a sa place. Une Église ouverte au monde, à tous ceux et celles qui sont en recherche d’un idéal de vie. N’ayons pas peur de témoigner de cette foi qui nous fait vivre et, avec humilité, simplicité, à inviter chacun à nous rejoindre pour découvrir le vrai visage du Christ qui n’est qu’amour. L’Église, comme toute famille, est parfois en proie à des turbulences internes, des difficultés, des tensions ; cela est normal, mais nous ne devons jamais oublier que le Pardon et l’Amour doivent toujours avoir le dernier mot.

Ensemble, avec Marie à nos côtés, prenons avec confiance et joie le chemin de cette nouvelle année pastorale. »