Archives de catégorie : LECTURE



MAI, SOUS LE SIGNE DE LA GRÂCE

(Editorial du père Jacques Nieuviarts, pour Prions en Église)

Mai est placé dans la piété de l’Église sous le signe de clarté de Marie, éveil de la grâce ou rappel qu’elle est présente en nous aussi.

La parole de l’ange à l’Annonciation ne cesse de résonner, comme un appel pour nous à l’entendre et qu’elle traverse et féconde nos terres en friche : « Tu es comblée de grâce, réjouis-toi ! »

Il nous faut ouvrir, si nous ne l’avons fait encore, la récente exhortation du pape François « sur l’appel à la sainteté dans le monde actuel » (La joie et l’allégresse, mars 2018). Elle éclaire de façon particulière ce mois de mai. Laissons-nous gagner par la sainteté que nous contemplons en Marie. Il nous faut prier la mère du Seigneur et désirer une disponibilité à la parole de Dieu semblable à la sienne.

« Ce qui importe, écrit le pape François, c’est que chaque croyant discerne son propre chemin et mette en lumière le meilleur de lui-même, ce que le Seigneur a déposé de vraiment personnel en lui. » Le cap est clair vers la sainteté pour tous. La prière, sur ce chemin, est le souffle qui nous porte. La contemplation de Marie, Mère de Dieu, nous encourage et nous stimule. « La sainteté, écrit encore le pape, c’est la rencontre de ta faiblesse avec la force de la grâce. » Nous prions Marie « comblée de grâces ». Ces mots, d’une profondeur étonnante, entraînent notre prière et notre vie vers l’infini de Dieu. Bon mois de mai !

(*) https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/18455/la-joie-et-l-allegresse



PLUME ET FOI

Chers visiteurs,

Voici, sélectionnés pour vous, deux ouvrages qui pourront occuper vos instants de repos.

  • Sous les pierres la Bible – « Les grandes découvertes de l’archéologie »

d’ Estelle Villeneuve aux éditions Bayard.

Dans ce recueil de belle facture et abondamment illustré, l’auteure présente 38 découvertes importantes en lien avec la Bible et son univers culturel. Présentées de manière chronologique, ces découvertes comprennent couvrent plusieurs décennies, du relief du pharaon Sheshonq à Karnak (1828) aux récentes fouilles à Khirbet Qeiyafa (2007), aux pieds des collines de Judée, qui a relancé le débat sur les origines d’Israël.

https://www.laprocure.com/sous-pierres-bible-grandes-decouvertes-archeologie-estelle-villeneuve/9782227491304.html



« LIFE » – IL ÉTAIT CONDAMNE, SON JUMEAU L’A SAUVE

« Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime » (Évangile selon Saint Jean 15,13)

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Chers visiteurs, voici une aventure humaine d’une rare intensité́, une grande histoire d’amour fraternel, sur fond de prouesse médicale

« Brûlé à 95%, il survit grâce à la greffe de peau de son jumeau.« 

Une première médicale mondiale.

Un matin de septembre 2016, Franck, technicien chimiste, manipule un bidon inflammable. Une explosion le fait flamber. Son corps est brûlé́ à 95 %, ses organes vitaux menacés. Ses chances de survie sont statistiquement nulles : on n’a jamais sauvé de grand brûlé́ à plus de 60 %. L’un des seuls morceaux de sa peau demeuré intact est tatoué d’un mot :  » Life  » …

Son frère Eric indique immédiatement qu’il est prêt à devenir donneur de sa peau. Sourires embarrassés du corps médical : ce type de greffe est impossible. L’heure est au deuil, ou à peu près. C’est un miracle que Franck soit même encore  » en vie « . Eric insiste : il veut donner, il est tout de même son jumeau, dit-il par hasard. À ce mot, le professeur Maurice Mimoun, chef du service des grands brûlés de l’hôpital Saint-Louis, vacille :  » Vrai jumeau ?  » Branle-bas de combat, tests génétiques, examen de passage devant l’Agence de la biomédecine, autorisation du procureur de la République : le feu vert est donné pour cette première médicale mondiale d’une greffe de peau presque totale.

Eric est  » pelé́ à vif  » pour donner sa peau à son frère. Après des mois d’incertitudes et de combats, Franck est sauvé. Les jumeaux ont vaincu la mort annoncée. Ils sont heureux, fiers, plus vivants que jamais.

 

ACTUAILES D’AVRIL

Chers jeunes visiteurs,

Le nouveau numéro du Bimensuel 

est disponible en ligne, avec au sommaire:

  • Colonel Arnaud Beltrame :Un héros digne des chevaliers.
  • Les défis d’EDF: « Et la lumière fut ».
  • Le boom de l’école à la maison aux USA.
  • Les premiers J .O.  de l’ère moderne.
  • Concours de blagues

Ainsi que de nombreux articles intéressants dont: Sueur de sang, traitant de la Passion du Christ vu par les scientifiques.

Pour accéder au bimensuel, cliquer sur: http://actuailes.fr/images/press/pdf/actuailes%2083.pdf



L’1VISIBLE D’AVRIL 2018

Chers visiteurs,

nouveau est arrivé, avec au sommaire :

  • Rencontre: Jim Caviezel : « Nos vies sont de continuelles conversions »
  • Psychologie:  Hypersensibles. S’est-on déjà moqué de vos accès de larmes ou vous a-t-on déjà reproché votre difficulté à communiquer vos sentiments ? Et si vous étiez hypersensible ? Par Saverio Tomasella. 
  • Débat: La foi chrétienne repose-t-elle sur un mythe ? Toute la foi des chrétiens repose sur la croyance en la résurrection du Christ. « Si le Christ n’est pas ressuscité, notre foi est sans contenu », proclame saint…
  • Une vie qui bascule: « Je voulais que ma vie change ». Exilée en Suisse pour des raisons de santé, Kamila a été séparée de sa famille polonaise. Cet exil forcé l’a plongée dans un grand mal-être. Propos recueillis par Laurence Meurville.…

Ainsi que de nombreux articles variés dont l’enquête sur les reliques de la Passion du Christ.

Pour lire ce numéro en ligne, cliquer sur : http://l1visible.com/feuilletez/



VISIONS DE JACOB PAR FRANCOIS ESPERET

Chers visiteurs,

Nous vous proposons cet entretien  avec François Esperet, auteur de « Visions de Jacob » (Editions du Sandre)

(Propos recueillis par Alexis Chevalier pour France catholique)

Normalien devenu gendarme puis conseiller à la mairie de Paris, catholique devenu orthodoxe, lecteur devenu écrivain… quand vous vous retournez, que vous inspire ce parcours atypique ?

François Esperet : Je le vois comme un continuel approfondissement de ma vocation. Autrement dit, à chaque fois que j’ai bifurqué, changé de métier ou d’état, c’est simplement pour suivre ma voie, telle que l’Esprit me la dévoilait. Rien d’atypique donc de mon point de vue, bien au contraire. Ce parcours est la manifestation et la conquête de mon type. Il m’a amené en particulier à être davantage et mieux catholique au sein de l’église orthodoxe où j’espère devenir chaque jour davantage un serviteur du Christ.

Ce parcours semble habité par la foi et la parole de Dieu. Depuis quand lisez-vous la Bible ?

Depuis l’âge de seize ans environ. Je l’ai lue et relue, au point qu’elle a tissé les fils de ma conscience. Elle m’a procuré le souvenir de qui nous étions avant la chute, la conscience du péché, le sentiment néanmoins d’être à l’image et ressemblance de Dieu, et l’espérance du Royaume. J’ai l’impression que la lecture de l’Ancien Testament, et en particulier celle des psaumes, nourrit l’ensemble des facultés de l’âme. Quant à celle de l’Évangile, elle me bouleverse et convertit encore et toujours. De la lecture de la Bible je dirais, pour reprendre les paroles du psaume, qu’elle met mon cœur au large. Et c’est ce que j’ai toujours cherché aussi dans la littérature et la poésie.

Suite de l’entretien :

  • Quels sont vos maîtres ? Que vous apportent ces lectures ?
  • Et parmi les théologiens ?
  • Après « Larrons » et « Gagneuses », deux livres consacrés à des hommes et des femmes vivant dans les marges ou les souterrains, vous publiez Visions de Jacob. Est-ce bien le Jacob de l’Ancien Testament ?
  • Comment vous est venue l’idée d’écrire sur un thème si différent de ceux abordés dans vos précédents livres ?
  • Justement, il existe une édition de bibliophilie et une sculpture qui forment, avec l’édition courante, une seule et même grande œuvre à quatre mains. Les visions de Jacob de Marc Vellay et les vôtres sont-elles convergentes ?
  • Notre confrère La Vie vous a consacré son dernier supplément «  Les essentiels  ». Pouvez-vous nous résumer en quelques phrases ce qu’il a compris de vous… Et ce qu’il n’aurait pas dit ?

A découvrir sur : https://www.france-catholique.fr/Entretien-avec-Francois-Esperet.html

 

 



CINQUANTENAIRE DE LA MORT DE PADRE PIO (1968-2018)

Chers visiteurs, voici déniché pour vous sur www.hommenouveau.fr

A l’occasion du cinquantenaire du décès de Padre Pio, les éditions de l’Homme nouveau, vous propose un numéro double pour découvrir son histoire et sa spiritualité.

Pendant toute son existence, l’humble capucin de San Giovanni Rotondo aura apporté aux fidèles venus le voir le réconfort de sa charité et la chaleur qui émanait des pouvoirs extraordinaires dont il bénéficiait. En reprenant le parcours de son existence à l’occasion du cinquantenaire de sa mort, on reste frappé par les difficultés qui s’accumulent devant lui. Pourtant, il est resté fidèle envers et contre tout à la messe et au confessionnal, à sa mission de prêtre qui ne consiste pas à galvauder l’enseignement du Christ mais à y conduire les âmes.

Pour commander cet hors série, cliquer sur le lien ci-après:

http://www.hommenouveau.fr/catalogue/hors-serie/HS3031/hs3031-padre-pio.htm

 

LA FRANCE CATHOLIQUE – JEAN SEVILLA

Jean Sévillia est rédacteur en chef adjoint au Figaro Magazine et membre du conseil scientifique du Figaro Histoire. Essayiste et historien, ayant publié de nombreux succès de librairie. Interview à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage « La France catholique »

(Propos recueillis par Christophe Geffroy)

La Nef :– Alors que l’on dit le catholicisme en déclin en France, votre livre montre une religion qui n’est nullement moribonde. Qu’en est-il en réalité ?

Jean Sévillia :– S’agissant d’un état des lieux du catholicisme français, deux écueils sont à éviter. Le premier, qui consiste à regarder la réalité avec des lunettes roses, a caractérisé pendant trois ou quatre décennies le discours épiscopal et celui de la plus grande partie de la presse catholique qui ne voulait pas voir la réalité en face, à savoir que les fruits attendus des années postconciliaires n’ont pas été au rendez-vous../…

En sens inverse, tendance qui prévaut souvent chez les « tradis », certains croient vivre les derniers jours de l’Église de France, souvent en mythifiant le passé. C’est pour répondre à ces deux écueils que j’ai écrit ce livre…/…

La Nef:-D’où vient le renouveau que vous décrivez et quel rôle y ont joué les papes Jean-Paul II et Benoît XVI ? Et comment se situe François sur ce terrain ?

Jean Sévillia:-Mon enquête ne porte pas sur la papauté, mais sur l’Église de France…/…

La Nef:-Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans votre enquête ?

Jean Sévillia:-L’étonnant foisonnement de propositions dans tous les domaines. ../…

quelle variété et quelle richesse dans les différentes familles spirituelles catholiques, dans les mouvements et associations, dans les œuvres !

La Nef:- Quelles sont les principales faiblesses et forces du catholicisme français ?

Jean Sévillia:-Les faiblesses, dans le désordre : un corps épiscopal souvent trop prudent ; le manque de formation de trop de laïcs ; l’impécuniosité qui rend tout projet difficile ; l’hostilité politique et médiatique à l’égard de l’anthropologie chrétienne ; le danger de l’entre-soi,…/…

Au rang des atouts, des clivages internes beaucoup moins marqués qu’il y a trente ans ; de nouveaux intellectuels (la génération Bellamy) ; une jeunesse catholique très déterminée et prête à s’engager…/…

Lire l’intégralité de l’article sur:

http://lanef.net/2018/02/02/la-france-catholique/