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Jeux

le Quiz du Chrétien en Marche

 Depuis septembre 2012, KTO organise et diffuse le Quiz du Chrétien en Marche. Le principe est simple : trois candidats, trois manches. Les deux premières manches du jeu permettent de choisir les deux meilleurs candidats pour la manche finale. Le gagnant de l’émission reviendra à la fin du mois se confronter aux deux autres gagnants des autres manches pour tenter de gagner le bon d’achat d’une valeur de 400€ auprès de la boutique en ligne de l’Abbaye de Sept-Fons.

Dès aujourd’hui, KTO vous offre la possibilité de participer à ce jeu, grâce aux Q.C.M. du site. Vous avez la possibilité de vous entraîner avec le Q.C.M. d’entraînement, puis de vous pré-selectionner avec le Q.C.M. de qualification. Vous avez deux minutes et trente secondes pour répondre correctement à au moins 10 questions sur 15.

Tentez l’aventure et testez vos connaissances, en vous amusant, en cliquant sur le lien ci-dessous :

http://www.ktotv.com/qcm#/

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 Connaissez vous votre Communauté de Paroisses ?

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Questionnaire n°3
(Série facile)

 1 : Avant d’être rattaché définitivement à Bionville, quelle était la particularité de l’annexe Morlange ?

2 : Où se trouvait l’ancienne église de Condé-Northen ?

3 : Quel est le premier nom connu de Macker ?

4 : Qui décida le rattachement de Brecklange à Hinckange ?

5 : En quelle année est consacrée l’église St Jean Baptiste de les Etangs ?

6 : Jusqu’en quelle année la paroisse de Varize était-elle une archiprêtré ?

7 : Pendant la première moitié du XIXème siècle, quel lien unissait les églises de Saint Hubert et de la Sainte Trinité ?

Voir les réponses ci-dessous

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Questionnaire  n°2

(série facile)

1 : Quel est le premier nom connu du village abritant l’église saint Jean baptiste ?

2 : Où se trouve la chapelle saint Nicolas ?

3 : A Helstroff, au-dessus du chœur, quel est le premier saint représenté à gauche ?

4 : En quelle année a été remaniée l’église sainte Lucie ?

5 : Quelle est l’année de construction de la chapelle castrale du village Les Etangs ?

6 : A qui est dédiée la chapelle de Vaudoncourt ?

7 : En quelle année, l’église saint Hubert a-t-elle obtenue sont autonomie ?

Voir les réponses ci-dessous

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Questionnaire n°1
(série facile)

1 :  A quel saint est dédiée la chapelle de Morlange ?

2 :  A quel Saint Germain, est dédiée l’église de Condé-northen ?

3 :  De combien de tableaux le Chemin de Croix de l’église d’Helstroff est-il composé ?

4 :  En quelle année, le Village d’Hinckange –a-t-il été frappé par le choléra ?

5 :  Quel est le style de l’église de Les Etangs ?

6 :  Particularité du clocher de Varize ?

7 :   Année de construction de l’église de Volmerange ?

Voir les réponses ci-dessous

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REPONSES

Solutions du Questionnaire n°1

(série facile)

 1 :  A quel saint est dédiée la chapelle de Morlange ? – réponse: Saint Pierre

2 :  A quel Saint Germain, est dédiée l’église de Condé-northen ?- réponse : Saint Germain d’Auxerre

3 :  De combien de tableaux le Chemin de Croix de l’église d’Helstroff est-il composé ?- Réponse : Le chemin de croix de l’église d’Helstroff comprend 13 tableaux et une croix. En effet, le 7ème tableau, détruit pendant la dernière guerre mondiale, a été remplacé par une croix.

4 :  En quelle année, le Village d’Hinckange –a-t-il été frappé par le choléra ?-Réponse : La chapelle du choléra d’Hinckange aurait été construite en 1830. Que penser de cette date,  alors que la première épidémie de choléra ayant frappé le pays de Nied et la France, remonte à 1832 ?

5 :  Quel est le style de l’église de Les Etangs ?-Réponse : Style néo-roman

6 :  Particularité du clocher de Varize ? Réponse : Le clocher de Varize est un clocher « tors » (appelé aussi « flammé »), dont la flèche est en construite en spirale afin de réduire la résistance au vent.

7 :   Année de construction de l’église de Volmerange ?-Réponse : 1730

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Solutions du questionnaire n°2

(Série facile)

1 : Quel est le premier nom connu du village abritant l’église saint Jean baptiste ? – Réponse : Boenville (1238)

2 : Où se trouve la chapelle saint Nicolas ? – Réponse : Loutremange

3 : A Helstroff, au-dessus du chœur, quel est le premier saint représenté à gauche ? – Réponse : St Matthieu

4 : En quelle année a été remaniée l’église sainte Lucie ? – Réponse : 1863

5 : Quelle est l’année de construction de la chapelle castrale du village Les Etangs ? – Réponse : 1743

6 : A qui est dédiée la chapelle de Vaudoncourt ? – Réponse : à la Sainte Vierge

7 : En quelle année, l’église saint Hubert a-t-elle obtenue sont autonomie ? – Réponse : 1750

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Solutions du Questionnaire 3

(Série facile)

1 : Avant d’être rattaché définitivement à Bionville, quelle était la particularité de l’annexe Morlange ? – Réponse : Morlange était alternativement annexe de Varize (2 ans) et de Bionville (1 an)

2 : Où se trouvait l’ancienne église de Condé-Northen ? – Réponse : A l’emplacement du cimetière actuel

3 : Quel est le premier nom connu de Macker ?- Réponse : Macheria (1121)

4 : Qui décida le rattachement de Brecklange à Hinckange ?- Réponse : Napoléon en 1812

5 : En quelle année est consacrée l’église St Jean Baptiste de les Etangs ?- Réponse : 1906

6 : Jusqu’en quelle année la paroisse de Varize était-elle une archiprêtré ?- Réponse : 1789

7 : Pendant la première moitié du XIXème siècle, quel lien unissait les églises de Saint Hubert et de la Sainte Trinité ?- Réponse : l’église de Volmerange était église-mère de Helstroff de 1808 à 1844.



Humour

2016_07_10- Sacristie_logo_sacr@2xAprès 25 années comme curé de Sainte-Jeanne d’Arc, paroisse bourgeoise d’un quartier où la tradition catholique est bien installée, le père Moreau est affecté dans un quartier populaire et déchristianisé. Il ne se doutait de ce changement de « monde ». Aussi, après l’office dominical, à l’abri des oreilles de ses paroissiens, il livre sans retenue ses états d’âme à son sacristain, laïc, père de famille et seul membre de l’équipe pastorale.

A travers de courts sketches, l’auteur Eric Pailler essaie de traiter un sujet d’ordre social ou une situation humaine qui peut toucher n’importe qui, en ce temps où la religion est au centre de grandes violences.

– A voir avec le sourire et… à méditer-

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LE CATHOLOGUE

L’1visible, Saje Prod et KTO sont fiers de vous présenter « Le Cathologue », une minisérie décalée sur deux « étudiants cathos », qui se lancent dans la réalisation de cours de catéchisme sur Internet. L’humour et l’autodérision de ce programme ont attiré de jeunes catholiques, qui s’échangent les vidéos sur Internet.

 « Vous n’écoutiez pas au catéchisme? Lui non plus! ».

Rejoignez donc Jérôme et ses amis sur :

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Voir les autres épisodes sur: https://www.youtube.com/results?search_query=le+cathologue



Dimanche 6 mars 2016

Dimanche 6 mars 2016

Temps de Carême – 4ème Dimanche

PREMIERE LECTURE

Livre de Josué 5, 10- 12

En ces jours-là, le Seigneur dit à Josué : « Aujourd’hui j’ai enlevé de vous le déshonneur de l’Egypte. »

Après le passage du Jourdain, les fils d’Israël campèrent à Guilgal et célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois, vers le soir, dans la plaine de Jéricho.

Le lendemain de la Pâque, en ce jour même, ils mangèrent les produits de cette terre : des pains sans levain et des épis grillés.

A partir de ce jour, la manne cessa de tomber, puisqu’ils mangeaient des produits de la terre. Il n’y avait plus de manne pour les fils d’Israël, qui mangèrent cette année-là ce qu’ils récoltèrent sur la terre de Canaan.

Parole du Seigneur

 

DEUXIEME LECTURE –

Deuxième lettre de Saint Paul aux Corinthiens  5, 17-21

Frères, si quelqu’un est en Jésus-Christ, il est une créature nouvelle. Le monde ancien s’en est allé, un monde nouveau est déjà né.

Tout cela vient de Dieu : il nous a réconciliés avec lui par le Christ, et il nous a donné le ministère de la réconciliation.

Car c’est bien Dieu qui, dans le Christ, réconciliait le monde avec lui ; il n’a pas tenu compte des fautes, et il a déposé en nous la parole de la réconciliation.

Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ, et par nous c’est Dieu lui-même qui lance un appel. nous le demandons au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu.

Celui qui n’a pas connu le péché, Dieu l’a pour nous identifier au péché, afin qu’en lui, nous devenions justes de la justice même de Dieu.

Parole du Seigneur

 

EVANGILE – selon Saint Luc 15 , 1-3 . 11-32

Les publicains et les pécheurs  venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs et il mange avec eux ! ». Alors Jésus leur dit cette parabole :

« Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : « Père, donne-moi la part de fortune qui me revient ».  Et le père leur partagea ses biens.

Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain, où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien. Alors, il rentra en lui-même et se dit : Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : « Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers ». Il se leva et s’en alla vers son père.

Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : « Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils »… Mais le père dit à ses serviteurs : « Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ». Et ils commencèrent à festoyer.

Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : « Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé ». Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : « Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras ! » Le père répondit : « Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, `et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. »

 

Commentaires de Marie Noëlle THABUT

Issue d’une famille nombreuse où la foi occupe une place importante, Marie Noelle Thabut s’investit activement au sein de sa paroisse. Animée par la passion de la Bible qu’elle veut transmettre, elle a étudié la théologie et appris l’hébreu biblique pour mettre ce document sacré à la portée de tous.

« La clé de ce passage est peut-être bien dans les premières lignes : d’une part des gens qui se pressent pour écouter Jésus : ce sont ceux qui de notoriété publique sont des pécheurs (Luc dit « Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter ») ; de l’autre des gens honnêtes, qui, à chaque instant et dans les moindres détails de leur vie quotidienne, essaient de faire ce qui plaît à Dieu : des Pharisiens et des scribes ; il faut savoir que les Pharisiens étaient réellement des gens très bien : très pieux et fidèles à la Loi de Moïse ; ceux-là ne peuvent qu’être choqués : si Jésus avait un peu de discernement, il verrait à qui il a affaire ! Or, dit toujours Saint Luc « cet homme fait bon accueil aux pécheurs et mange avec eux ! » Plus grave encore, les Pharisiens étaient très conscients de la sainteté de Dieu et il y avait à leurs yeux incompatibilité totale entre Dieu et les pécheurs ; donc si Jésus était de Dieu, il ne pourrait pas côtoyer des pécheurs.

 Alors Jésus raconte cette parabole pour les faire aller plus loin, pour leur faire découvrir un visage de Dieu qu’ils ne connaissent pas encore, le vrai visage de leur Père : car nous avons l’habitude de parler de la parabole de l’enfant prodigue… Mais, en fait, le personnage principal dans cette histoire, c’est le père, le Père avec un P majuscule, bien sûr. Ce Père a deux fils et ce qui est frappant dans cette histoire, c’est que ces deux fils ont au moins un point commun : leur manière de considérer leur relation avec leur père. Ils se sont conduits de manière très différente, c’est vrai, mais, finalement, leurs manières d’envisager leur relation avec leur père se ressemblent !… Il est vrai que le fils cadet a gravement offensé son père, l’autre non en apparence, mais ce n’est pas si sûr… car l’un et l’autre, en définitive, font des calculs. Celui qui a péché dit « je ne mérite plus » ; celui qui est resté fidèle dit « je mériterais bien quand même quelque chose ». L’un et l’autre envisagent leur attitude filiale en termes de comptabilité.

Le Père, lui, est à cent lieues des calculs : il ne veut pas entendre parler de mérites, ni dans un sens, ni dans l’autre ! Il aime ses fils, c’est tout. Il n’y a rien à comptabiliser. Le cadet disait « donne-moi ma part, ce qui me revient… » Le Père va beaucoup plus loin, il dit à chacun « tout ce qui est à moi est à toi ». Il ne laisse même pas le temps au fautif d’exprimer un quelconque repentir, il ne demande aucune explication ; il se précipite pour faire la fête « car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu et il est retrouvé ».

Elle est bien là la leçon de cette parabole : avec Dieu, il n’est pas question de calcul, de mérites, d’arithmétique : or c’est une logique que nous abandonnons très difficilement ; toute la Bible, dès l’Ancien Testament est l’histoire de cette lente, patiente pédagogie de Dieu pour se faire connaître à nous tel qu’il est et non pas tel que nous l’imaginons. Avec lui il n’est question que d’amour gratuit… Il n’est question que de faire la fête chaque fois que nous nous rapprochons de sa maison.

Deux remarques pour terminer : d’abord un lien avec la première lecture qui est tirée du livre de Josué : elle nous rappelle que le peuple d’Israël a été nourri par la manne pendant sa traversée du désert ; mais ici il n’y a pas de manne pour le fils qui refuse de vivre avec son père ; il s’en est coupé lui-même. Deuxième remarque ; dans la parabole de la brebis perdue, dans ce même chapitre 15 de Luc, le berger va aller chercher lui-même et rattraper sa brebis perdue, mais le père ne va pas faire revenir son fils de force, il respecte trop sa liberté ».



La grande guerre des hommes de Dieu

En ce 100ème anniversaire de la bataille de Verdun, il était opportun de rappeler la parution de cet ouvrage relatant le comportement héroïque des hommes de Dieu pendant la « Grande guerre ».

la grande guerre des hommes de dieuEn ce XXe siècle naissant, la loi de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, amena des dizaines de milliers de religieux à un exil forcé. Mais voici que la patrie est déclarée en danger. Alors, d’un seul élan, des dizaines de milliers de religieux et de religieuses, de curés et de séminaristes, taisent leur amertume et répondent massivement à l’appel à l’Union sacrée que le gouvernement de leur pays, la France, lance à tous ses enfants.

La Grande Guerre des hommes de Dieu raconte l’Odyssée de ces hérauts de la foi qui vont faire preuve, au front, d’un héroïsme extraordinaire dans les divers postes où ils seront affectés : aumôniers, combattants de tous grades, brancardiers, infirmier(e)s. Ils vont rapidement devenir « le sel de la terre » et leur comportement hautement exemplaire, honoré de près de 50.000 citations à l’ordre des armées et décorations de toutes sortes, sera cause d’un rayonnement incontestable auprès de leurs frères d’armes, et d’un retour de beaucoup à la foi.
Mais la paix entre nations s’étant imposée, un nouveau gouvernement voulut expulser à nouveau les religieux revenus du front. Ils seront condamnés à livrer un dernier combat pour arracher, au bout d’un quart de siècle, le droit de rester au pays et d’être enfin « égaux comme au front » avec leurs camarades anciens combattants civils. Ce sera l’œuvre de l’association DRAC (Droits du religieux Ancien Combattant) créée en 1924 par les représentants de congrégations et ordres religieux.

La Grande Guerre des hommes de Dieu (éd. DRAC, 192 pages, nombreuses illustrations) est vendu 20 € (port non inclus) et se trouve également dans certaines librairies (on peut toujours demander à son libraire d’en commander à DRAC , 8 bis rue Vavin, 75006 Paris. T. 01 43 26 01 50 – Courriel : drac75006@yahoo.fr



Elaboration d’une rubrique « Patrimoine »

Afin d’étoffer votre site, qui se veut ouvert à tous et utile de ses richesses, une rubrique traitant de notre patrimoine religieux est envisagé. Aussi, pour la créer et la documenter qui mieux que vous, habitants de nos villages, pouvez au mieux nous renseigner sur l’histoire de nos églises, chapelles, oratoires et calvaires et prendre des clichés aux meilleurs moments de la journée, lors d’une journée ensoleillée ?

Nous faisons donc appel à vous tous, de Bionville, Condé, Helstroff, Hinckange, Les Etangs, Varize et Volmerange. Fouillez dans vos archives et vos greniers, faites crépiter vos « Reflex ». Tous vos documents seront les bienvenus sur l’adresse email: stpierredes2nied@free.fr , ou bien remis directement à notre Abbé ou à un des membres de l’EAP.



Journée à Marienthal pour les enfants préparant la 1ère Communion

Eduquer ses enfants dans la Foi, signifie leur faire avoir accès aux sacrements pour qu’ils en vivent. Nous sommes chrétiens pour vivre de Jésus le Christ qui donne sa vie divine avant tout, dans les sacrements.  Le fait de recevoir le Seigneur dans le sacrement de l’Eucharistie fait comprendre la nécessité d’un cœur bien disposé pour Le recevoir, la nécessité d’un cœur purifié. C’est pourquoi il est important de recevoir le pardon du Seigneur dans la confession.

Nos enfants se préparant à la 1ère Communion vont donc avoir la joie de recevoir le sacrement du pardon pour la première fois. Pour les aider à découvrir ce sacrement et à le recevoir, ils reçoivent déjà un enseignement au catéchisme paroissial depuis quelques semaines. Nous arrivons ainsi à cette belle journée du pardon au cours de laquelle ils recevront ce sacrement de la réconciliation.

Les enfants vivront cette journée, le 12 mars, dans un sanctuaire bien connu des Alsaciens : la basilique Notre Dame de Marienthal. L’accueil et l’animation de ce lieu de pèlerinage séculaire ont été confiés aux bénédictins du Sacré-Cœur de Montmartre par l’archevêque de Strasbourg.

Au cours de cette journée, les enfants apprendront à se confesser, se confesseront, participeront à la Messe quotidienne à la basilique. Mais ils pourront aussi se détendre, et jouer… Il y aura des moments pour cela, ainsi qu’un moment de bricolage pendant lequel ils confectionneront une icône pour prier dans leur chambre, et qui restera un souvenir de cette belle journée de pardon.