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RIEN N’EST PLUS FORT QUE LES LOIS DE LA REPUBLIQUE ?

Chers Visiteurs, nous partageons avec vous cet article de

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Au quotidien n°266 : rien n’est plus fort que les lois de la République

HN: « Vraiment ? Cette affirmation du porte-parole du gouvernement et de toute une partie du petit monde médiatico-politique en réponse à la défense du secret lié au sacrement de pénitence par Mgr de Moulins-Beaufort a conduit le Figaro (9 octobre 2021) à interroger le philosophe Rémi Brague à ce sujet.

HN: Que vous inspire cette polémique ?

Rémi BRAGUE. – Elle m’inspire avant tout de la tristesse devant l’ignorance de certaines données de base du sacrement de la réconciliation, qu’on appelait naguère « pénitence » et jadis « confession ». Que le prêtre a le devoir de demander à son pénitent non seulement, pour le futur, de renoncer à ce qu’il fait de mal, mais, pour le passé, de réparer dans la mesure du possible le préjudice commis. Il y a cent façons de le faire : rendre ce qui a été volé, demander pardon, dédommager, etc. Et enfin, se réconcilier avec Dieu entraîne l’exigence de se réconcilier avec la société. C’est pourquoi le confesseur doit demander à son pénitent de se dénoncer aux autorités et, s’il s’agit d’un délit, à plus forte raison d’un crime, et dans le cas concret qui nous préoccupe depuis la publication du rapport Sauvé, un crime abominable, d’accepter d’être jugé, éventuellement conda­mné et de purger sa peine. (…)

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POURQUOI LE SECRET DE LA CONFESSION L’EMPORTE SUR LES LOIS DE LA REPUBLIQUE

Chers Visiteurs, voici l’article du site

publié en réponse à la « convocation » de Mgr de Moulins-Beaufort par le Ministre de l’Intérieur.

BV: « « Vous avez la  de contester les lois, Monseigneur, de vous battre pour qu’elles changent. » Qu’elles semblent lointaines, ces déclarations de Gérald Darmanin, le 26 juin dernier, en présence de Mgr Lebrun, archevêque de Rouen. C’était à l’occasion de la cérémonie républicaine pour la paix et la fraternité organisée en  au père Hamel, assassiné cinq ans auparavant par des terroristes islamistes. Aujourd’hui, après que Mgr de Moulins-Beaufort a affirmé que le secret de la confession était plus fort que les lois de la République, le ton a sensiblement changé : « La loi de la République s’impose aux églises », martèle le matamore de la place Beauvau qui a convoqué le président de la Conférence des évêques de France au ministère de l’Intérieur, ce mardi 12 octobre. (…) « 

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