Archives par mot-clé : La Vie



POLEMIQUES AUTOUR DE MGR AUPETIT

Chers  Visiteurs. Depuis deux jours différents médias se sont penchés sur l’actualité de Mgr Aupetit. Voici l’article que lui consacre le site de

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L’archevêque de Paris, Michel Aupetit, remet sa charge au pape François

LV: « Presque quatre ans après sa nomination à la tête du diocèse de Paris, Michel Aupetit remet sa charge au pape. Une décision qui intervient dans un contexte lourd et polémique autour de la personnalité de l’archevêque. 

 Photo Raphael Lafargue pour ABACAPRESS.COM 

L’archevêque de Paris est dans la tourmente. Le 23 novembre dernier, l’hebdomadaire Le Point a publié un long article sur « les méthodes contestées » de Michel Aupetit à la tête du diocèse de la capitale. Les journalistes l’accusent également d’avoir entretenu une liaison avec une femme, en s’appuyant sur un courrier électronique datant de 2012, que le prêtre, alors vicaire général de Paris, aurait envoyé par erreur à sa secrétaire.

Devant l’ampleur du scandale, Michel Aupetit, qui nie toute relation sexuelle avec cette personne, a envoyé une lettre au pape François le 25 novembre, pour lui remettre sa charge. « Je l’ai fait pour préserver le diocèse, car comme évêque, je dois être au service de l’unité », déclare-t-il le lendemain au quotidien La Croix. (…)

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PLUME ET FOI – FEVRIER 2021

Chers Visiteurs, notre rendez vous littéraire mensuel a pour invité Eric-Emmanuel Schmitt pour lequel le site du magazine

a réservé un article à l’occasion de la parution du premier tome de sa grande histoire romanesque de l’Humanité « La traversée des temps« .

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Éric-Emmanuel Schmitt : « Les humains sont frères en questions, pas en réponses »

LV: Comment vous êtes-vous saisi des grands récits des origines ?

EES: « C’est le cœur de mon projet. Les hommes se sont toujours rassemblés autour de fictions. Le véritable ciment d’une société, ce sont les fictions auxquelles on adhère : des mythologies, des récits fondateurs, des religions, des idéologies. Fiction ne veut pas dire mensonge, mais organisation du sens. La fiction est l’interprétation des faits, pas leur négation.(…) »

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Interview par Marc Philipson pour Filigranes.be

 



UNITE DES CHRETIENS: NOUS SOMMES TOUS DES FRERES

Chers Visiteurs, nous avons le plaisir de partager avec vous ce témoignage puisé dans le cadre de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, sur le site de

Interview de Moïz Rasiwala, astrophysicien d’origine indienne et musulmane, est devenu diacre dans l’Église catholique. L’occasion, en cette Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, du 18 au 25 janvier, de le rencontrer.

LV: Né à Bombay dans une famille modeste ancrée dans l’islam ismaélite et marquée par l’hindouisme, vous avez été baptisé en France, à Taizé, à l’âge de 34 ans. Quelles sont les grandes étapes de votre itinéraire singulier ?

MR: C’est un lent mûrissement que j’hésite à définir comme conversion. Est-ce que le terrain avait déjà été labouré durant ma scolarité chez les Jésuites de Bombay, qui n’ont pourtant pas eu la moindre attitude prosélyte ? Est-ce dû à mon intérêt pour la philosophie et la métaphysique durant mes études de physique à Heidelberg, en Allemagne ? Ce sont surtout des rencontres et des amitiés qui ont été marquantes, à commencer par la famille luthérienne d’un camarade d’études à Heidelberg chez qui je passais mes vacances. C’est leur style de vie et la liberté de pensée de son beau-frère pasteur qui m’ont interpellé. Alors que j’avais déjà pris mes distances avec l’islam très ritualisé de mon enfance, j’étais confronté à un christianisme vécu au quotidien dans sa dimension sociale.

Puis, ce qui a certainement bouleversé mon existence, c’est la rencontre de la communauté de Taizé et de son prieur, frère Roger, dans le Paris des années 1968, où je terminais ma thèse d’astrophysique. Il y eut enfin, lors de ma coopération en Algérie, ce partage fraternel dans un groupe œcuménique avec un jésuite et des jeunes coopérants, dont ma future femme, Françoise. Dieu, patient, attendait ma propre décision. Et pour moi, c’était une attente de quelque chose de joyeux et précieux, sans savoir quoi exactement. (…)

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Voir aussi la bibliographie de Moïz  Rasiwala

 



LE 8 DECEMBRE, ILS ETAIENT DES MILLIERS

Chers Visiteurs, le continent africain est une terre où la persécution des chrétiens est quasi présente au nord de l’Equateur. Mais c’est aussi un continent où la Foi chrétienne est aussi très forte, malgré la pauvreté, la malnutrition, la menace. Cette Foi s’est encore manifestée en Centre Afrique, lors de la Solennité de l’Immaculée Conception, comme le rapporte le magazine

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« 8 décembre : en Centrafrique, des milliers de pèlerins pour prier Marie »

 La Vie

La Vie: « Depuis 2005, des milliers de Centrafricains convergent chaque année, autour du 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception, vers le sanctuaire de Ngukomba dédié à la Vierge Marie. Pendant trois jours de rencontres et de prières, ils viennent se ressourcer et prier pour la paix. La Vie y était en 2019 et vous propose de découvrir en images ce pèlerinage unique.(…) « 

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JOURNALISME ET CHRÉTIENTÉ NE SONT PAS ANTINOMIQUES

Chers visiteurs, voici un article sur un Monsieur du journalisme, déniché pour vous sur 

Hommage : « Jean Mercier nous a montré qu’il était possible d’être à la fois journaliste et chrétien »

 

Écrivain et journaliste au magazine La Vie, Jean Mercier est décédé le 19 juillet. Retour sur un formidable itinéraire du protestantisme au catholicisme qui s’est achevé avec bonheur avec son roman « Monsieur le curé fait sa crise » (Quasar  éditions).

C’était à la fois une grande plume et un grand chrétien. Jean Mercier, décédé le 19 juillet, était rédacteur en chef adjoint à La Vie en charge des questions religieuses. Journaliste reconnu par ses pairs, il n’était pas vraiment du genre à avoir volé sa carte de presse. Ni à se prendre au sérieux, même s’il n’ignorait rien du tragique de l’existence. « On se demande parfois si on peut être journaliste et chrétien témoigne Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction à La Vie. Jean a été un grand exemple. Il nous montre qu’on peut-être les deux de manière intime et indissoluble. Le journaliste chrétien est celui qui cherche la vérité quitte à être transformé par elle. Jean a fait cette expérience en commençant son itinéraire dans le protestantisme. Je me souviens lui avoir demandé de réécrire complètement un de ses articles… Il lui fallait repartir à zéro après une nuit de travail. Jean a pesté mais il s’est remis au travail. Et le résultat a été magnifique… » Il ajoute à propos de sa manière de suivre l’actualité romaine : « Cette honnêteté l’a amené à reconsidérer beaucoup d’idées reçues par exemple sur Benoît XVI. Quand ce dernier a été élu, il n’était pas très enthousiaste… Mais il est devenu, avec un courage intellectuel certain, un des meilleurs spécialistes de ce pontificat méconnu. »…/…

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LES SCOUTS, ENQUÊTE D’OPINIONWAY

« Les scouts, on les aime bien… mais on les connaît mal« 

Cette deuxième enquête d’OpinionWay pour les Scouts et Guides de France, avec Ouest-France et La Vie, confirme l’image positive du scoutisme. Mais les Français sont peu informés sur les différentes branches qui le composent.

Ringard le scoutisme ? Bien au contraire, le centenaire, créé en Angleterre par Baden-Powell, en 1907, se porte comme un charme. 67 % des personnes sondées par OpinionWay pour Ouest-France et La Vie en ont une image positive ou très positive. C’est 4 points de mieux que lors de la première enquête, en 2014. Par endroits, des jeunes patientent en liste d’attente pour être scout ou guide. Les Scouts et Guides de France estiment que 5 000 demandes n’ont pas pu être satisfaites cette année. 

« Le scoutisme est fortement perçu comme une activité qui permet aux enfants de développer des savoir-faire et des savoir-être », analyse l’institut de sondage. Ses deux plus grands mérites sont ainsi celui d’apprendre à respecter la nature (86 %) et celui de rendre les jeunes débrouillards (86 %).

Une vie simple, connectée avec la nature

Pourtant, seuls 42 % des Français inscriraient leur enfant. Pourquoi le feraient-ils ? Au hit-parade des bonnes raisons, l’apprentissage des valeurs arrive en tête suivi de :

  • apprendre à être débrouillard,
  • apprendre à vivre avec les autres
  • et à se former à la citoyenneté et à l’engagement social.

« Notre projet d’une vie simple, très connectée avec la nature, avec des valeurs de solidarité, de respect de l’environnement, d’égalité filles-garçons, d’éducation à la paix séduit les parents et les enfants », explique Nadine Marchand, secrétaire générale des Éclaireuses et Éclaireurs unionistes de France, dans Réforme.

Malgré cette image positive, une majorité de personnes interrogées – 56 % – ne sont pas prêtes à faire participer leur enfant à cette activité. Ils étaient 58 %, il y a quatre ans. Principal obstacle avancé, parce que le scoutisme est « lié à la religion », alors qu’il existe pourtant des mouvements laïques. Cette prudence s’explique aussi peut-être par la méconnaissance « de la richesse de ses courants et inspirations », analyse OpinionWay (1)…./…

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https://www.ouest-france.fr/societe/les-scouts-les-aime-bien-mais-les-connait-mal-5746230