Chers visiteurs, en 2016, le film de Martin Scorsese, « Silence », ( voir http://stpierredes2nied.free.fr/?p=188 ) adapté du roman éponyme (Chinmoku en japonais) de l’écrivain Shusaku Endo. Aujourd’hui, nous vous proposons le livre de Tomoko Furui, « Le dernier missionnaire », les éditions Salvator qui relate l’histoire d’un des missionnaires, le Père Jean-Baptiste Sidotti, qui débarqua une nuit au Pays du Soleil levant, pour apporter la Bonne Nouvelle.
(Commentaire déniché pour vous sur « L’homme nouveau »)
Chers visiteurs, voici déniché pour vous sur www.hommenouveau.fr
A l’occasion du cinquantenaire du décès de Padre Pio, les éditions de l’Homme nouveau, vous propose un numéro double pour découvrir son histoire et sa spiritualité.
Pendant toute son existence, l’humble capucin de San Giovanni Rotondo aura apporté aux fidèles venus le voir le réconfort de sa charité et la chaleur qui émanait des pouvoirs extraordinaires dont il bénéficiait. En reprenant le parcours de son existence à l’occasion du cinquantenaire de sa mort, on reste frappé par les difficultés qui s’accumulent devant lui. Pourtant, il est resté fidèle envers et contre tout à la messe et au confessionnal, à sa mission de prêtre qui ne consiste pas à galvauder l’enseignement du Christ mais à y conduire les âmes.
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Il est vrais, ces derniers jours, il était majoritairement question de Johnny Hallyday sur tous les médias, et vous devez en être probablement saturés. Toutefois, nous tenons à relayer l’excellent article , rédigé ce jour par Jean Sévilla et publié dans « Humeur » de
« Par la grâce de Johnny«
« À l’évidence, il n’était pas un enfant de chœur. De l’alcool et de la drogue, il avait plus qu’abusé. Avec ses multiples mariages, divorces, remariages et séparations, il était le contraire du mari modèle. Nul ne songera donc à faire de Johnny Hallyday, tout baptisé qu’il était, le paroissien qu’il n’a jamais prétendu être. Il n’empêche. Personne ne le forçait à porter un petit crucifix autour du cou, ni à s’être fait tatouer sur le torse, il y a quelques années, un Christ en croix. Quarante ans plus tôt, après le scandale déclenché par sa chanson Jésus-Christ, niaiserie typée années 70 (« Jésus, Jésus-Christ, Jésus-Christ est un hippie »…), il s’était justifié ainsi : « On peut me faire ce qu’on voudra, je resterai chrétien. Je suis sûr que Jésus, lui, ne m’en veut pas. Il sait que je n’ai pas voulu l’insulter ni le tourner en dérision, et cela seul compte pour moi. »
Il ne nous appartient pas de sonder les reins et les cœurs : gardons-nous d’émettre une appréciation sur la foi du rockeur, dorénavant saisi par le divin mystère. Il importe de souligner, en revanche, ce qui s’est passé, le 9 décembre, lors de la cérémonie d’adieu à « Johnny ». Bien sûr, ce n’était pas une messe, mais une simple bénédiction. Bien sûr, la succession de mélodies profanes jouées à la guitare électrique et de cantiques entonnés par la chorale de la Madeleine (« Le Seigneur est mon berger ») a fait crisser les oreilles de ceux – dont je suis – qui n’aiment pas le mélange des genres. Bien sûr, comme pour tous les enterrements du show-biz, il y avait quelque chose d’irritant à voir une église envahie par une cohorte de people et de politiques manifestement étrangers au caractère sacré de l’édifice.
Toutefois les centaines de milliers de fans venus rendre hommage à leur idole et 14 millions de téléspectateurs ont pu écouter en silence une épître de saint Paul (lue par l’actrice Marion Cotillard), une prière de sainte Mère Teresa (récitée par la comédienne Sandrine Kiberlain) et l’homélie de Mgr Benoist de Sinety, vicaire général du diocèse de Paris, qui expliquait que « comme Jean-Philippe, devenu Johnny Hallyday, nous sommes tous appelés à laisser percer en nous cette lumière divine qui fait de nous des icônes de l’amour de Dieu plutôt que des idoles dont la vie s’épuise».
Ainsi la star aux cent millions de disques a-t-elle permis au petit peuple de la France périphérique de pénétrer, par écran interposé, dans une église. À l’occasion de sa mort, une foule vraisemblablement éloignée de l’Église s’est tenue avec le chanteur au pied de l’autel. Quelques fruits sortiront bien de cette rencontre inattendue ».
(ndlr) « Ce sera alors, en quelque sorte, grâce à Johnny »
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Chers Visiteurs, en ce temps de l’Avent menant à la fête de Noël, nous ne pouvons clore cet article sans vous offrir cette chanson de Johnny,
Nous vous proposons de débuter cette semaine par cette nouvelle émission de Terre de Mission, diffusée par
Au sommaire de ce numéro de Terre de mission :
Daniel Hamiche, rédacteur en chef de l’Observatoire de lachristianophobie, évoque “l’affaire de la croix de Ploërmel”.
En deuxième partie, Philippe Maxence, rédacteur en chef de “L’Homme nouveau”, évoque le livre de Danilo Castellano, doyen émérite de la faculté de droit d’Udine en Italie, sur “Martin Luther.
Enfin, le RP Jean-François Thomas, sj, parle de ses deux derniers livres : le traité de spiritualité “Les Mangeurs de cendres” et le roman “Les larmes de la forêt”.
(Extrait d’un article d’Anne Bernet publié le 27 juillet 2017 dans Religion)
Chers visiteurs, lisez-vous l’anglais ? Si oui, procurez-vous Reflections from Rome, practical thoughts on faith and family (250 p ; 17,95 $ ; 2013, à commander sur BooksforCatholics.com, ou à Roman Catholic Books, PO box 2286. Fort Collins. CO 80522. USA), autrement dit Réflexions de Rome, pensées pratiques sur la foi et la famille, de Monsignor Richard S. Soseman.
De quoi s’agit-il ? Non, comme le titre pourrait, à tort, le laisser entendre, d’un recueil de potins indiscrets concernant les coulisses du Vatican, mais du moyen qu’un jeune prélat américain, en poste auprès de la Congrégation pour le Clergé à Rome, exilé loin de son Illinois natal, a trouvé afin de rester en contact avec sa nombreuse famille, ses amis, ses proches, ses anciens paroissiens.
Très vite, Monsignor Soseman qui, déjà, au cours de sa vie pastorale, avait utilisé efficacement Internet, s’est rendu compte que la Toile lui offrait un moyen d’élargir son audience aux dimensions du monde, au moins anglophone, et d’évangéliser une immense paroisse virtuelle.
Ce faisant, ce postulateur de la cause de béatification du Vénérable Mgr Fulton Sheen, archevêque auxiliaire de New York, mort en odeur de sainteté en 1979, n’a fait que suivre l’exemple de ce pionnier de la communication catholique, qui sut, sa vie durant, user de tous les médias disponibles afin de faire passer l’évangile et ramener les âmes au Christ et à l’Église.
L’idée n’est pas neuve, direz-vous, et les prêtres blogueurs de toutes nationalités sont nombreux à s’exprimer sur le Net, y gagnant parfois une immense notoriété.
Effectivement, Monsigneur Soseman est très connu Outre-Atlantique, mais pas encore en Europe. C’est dommage car il propose de la foi une approche décomplexée, intelligente, profonde, traditionnelle en même temps que très accessible, et cela avec beaucoup d’humour.
Le Père Jean-Marc Bot propose dans son ouvrage Les mystères de la vie éternelle, de s’y confronter. Il expose ainsi les mystères de l’enfer, de la fin du monde et du paradis.
Chercher à percer les mystères de la vie éternelle n’est-il pas au-dessus de notre entendement ?
Extrait de l’interview du père Jean Marc Blot, paru sur:
Jean-Marc Bot: « Mon livre ne vise pas à « percer » les mystères mais à les exposer et les annoncer, dans le contexte de notre culture contemporaine. C’est ce que faisait Jésus en utilisant les paraboles. À propos du bon grain et de l’ivraie, il répond au questionnement de ses apôtres avant de leur offrir son interprétation : « C’est à vous qu’est donné le mystère du royaume de Dieu ; mais à ceux qui sont dehors, tout se présente sous forme de paraboles » (Mc 4, 11 ; Mt 13, 11 ; Lc 8, 10). Ce qui est caché le plus souvent aux sages et aux savants est volontiers révélé aux touts petits qui n’ont aucune prétention théologique. Ma meilleure satisfaction est de savoir, par exemple, que Thérèse de Lisieux, à l’âge de 14 ans, a puisé dans la lecture du livre du père Charles Arminjon intitulé « Fin du monde présent et mystères de la vie future » l’une des plus grandes grâces de sa vie ».