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LA VÉRITABLE HISTOIRE DE JÉSUS, VUE PAR L’ARCHÉOLOGIE

Chers visiteurs, la majorité des archéologues ne doutent plus de l’existence du personnage historique de Jésus et au fil des fouilles en Terre sainte, son portrait s’affine. Kristin Romey qui couvre les sujets civilisations et découvertes archéologique pour le magazine et le site National Geographic, nous emmène dans un jeu de piste vieux de vingt siècles.

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La majorité des archéologues ne doutent plus de l’existence du personnage historique de Jésus. Au fil des fouilles en Terre sainte, son portrait s’affine.

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Piscine de Bethesda

Mais, avant tout, une question explosive: est-il possible que Jésus-Christ n’ait jamais existé ? Quelques sceptiques défendent cette opinion avec véhémence, mais pas les savants,  notamment les archéologues. « Je ne connais aucun chercheur important qui doute du personnage historique de Jésus, affirme Eric Meyers, archéologue et professeur émérite à l’université Duke. On pinaille sur des détails depuis des siècles, mais nulle personne sérieuse ne met en doute son existence. »

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Les chercheurs qui étudient la vie du Christ se divisent en deux écoles : il y a ceux pour qui le Jésus des Évangiles, auteur de miracles, est le véritable Jésus, et il y a ceux pour qui le véritable Jésus (c’est-à-dire l’homme qui a suscité le mythe) est, certes, l’inspirateur des Évangiles, mais aussi un personnage dont la vérité apparaîtra grâce aux recherches historiques et à l’analyse des textes. Les deux camps considèrent l’archéologie comme leur alliée.

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La découverte était de première importance, car elle réduisait à néant l’argument des sceptiques selon lequel les premières synagogues de Galilée apparurent plusieurs décennies après la mort de Jésus –une théorie incompatible avec le portrait que les Évangiles dressent de lui, celui d’un Juif pratiquant qui prêchait souvent et accomplissait ses miracles dans les synagogues.

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Je me souviens avoir été seule dans le tombeau après que la dalle de

Pierre d’onction

marbre avait été momentanément retirée. J’étais submergée par l’émotion en contemplant l’un des plus importants monuments de l’histoire humaine une simple banquette de calcaire que les gens révèrent depuis des millénaires, une chose qui n’avait peut-être pas été vue depuis un millier d’années. …/…

Je me rends compte que, pour les croyants sincères, les études entreprises par les chercheurs sur le Jésus historique, le Jésus terrestre, pure – ment humain, sont de peu d’effet. Cette quête produira d’innombrables théories contradictoires, des questions sans réponse, des faits inconciliables. Mais, pour les véritables croyants, la foi dans la vie, la mort et la résurrection du Fils de Dieu est amplement suffisante. 

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UN VOYAGE INATTENDU DE L’ISLAM AU CHRISTIANISME

Chers visiteurs, nous vous proposons aujourd’hui le récit d’une conversion inattendue, celle de Nabeel Qureshi(*) qui découvre malgré lui, l’évidence de la résurrection de Jésus et de son affirmation d’être Dieu.

Pour nous faire partager son expérience, il a écrit un livre  (« A la recherche d’Allah, j’ai trouvé Jésus » ) dans lequel il décrit son périple dramatique de l’islam au christianisme, avec tout au long des amitiés ; des recherches et des rêves surnaturels. Il nous donne un aperçu intime d’une famille musulmane aimante, et nous partage comment il a développé une passion pour l’islam avant de découvrir la résurrection de Jésus et de son affirmation d’être Dieu.

(*) Nabeel Qureshi est un conférencier avec Ravi Zacharias International Ministries. Il a un doctorat en médecine de l’école médicale de l’ Eastern Virginia Medical School. Un doctorat en art apologétique chrétien de l’université de Biola et un doctorat en religion de l’université de Duke.

https://www.editionsoasis.com/A-la-recherche-d-Allah-j-ai-trouve-Jesus-cbaaaacaa.asp



ON NE PEUT PAS MÉPRISER LA VIE HUMAINE – PAPE FRANCOIS

Chers visiteurs, voici un article et une vidéo du Saint Père, dénichés pour vous sur ALETEIA

 » On ne peut pas « mépriser » la vie humaine« 

La vie humaine est une œuvre de Dieu que les hommes ne peuvent “mépriser”, a déclaré le pape François lors de l’audience générale du mercredi sur la place Saint-Pierre au Vatican le 10 octobre 2018.

Le Souverain pontife a poursuivi son cycle de catéchèses sur les Dix commandements ce mercredi 10 octobre. Il s’est penché cette fois-ci sur le 5e du Décalogue, une formule “concise et catégorique” : « tu ne tueras point » (Ex 20, 13). « Ne méprisez pas la vie » a lancé le successeur de Pierre. Car l’interdiction de tuer vaut pour toutes les vies, pour la vie des autres, ainsi que pour la sienne. Mépriser la vie, a-t-il expliqué, revient à rejeter « l’œuvre de Dieu ». Or, pour le chef de l’Eglise catholique, on ne peut rejeter « ce que Dieu a tant aimé ».

Dans chaque vie « fragile et menacée », a poursuivi le pontife, le Christ cherche le cœur des hommes pour leur révéler « la joie de l’amour ». Cela vaut la peine d’accepter chaque vie, selon lui, car « chaque homme vaut le sang du Christ lui-même ». Pour l’évêque de Rome, c’est la peur qui conduit l’homme à rejeter la vie. Mais aussi « les idoles de ce monde », tels que l’argent, le pouvoir ou le succès.

Lire la suite de l’article et accéder à la vidéo en cliquant sur:

https://fr.aleteia.org/2018/10/11/on-ne-peut-pas-mepriser-le-vie-humaine/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr



HOMÉLIE DOMINICALE

(Homélie du Père Yvon-Michel Allard, s.v.d., directeur du Centre biblique des Missionnaires du Verbe Divin, Granby, QC, Canada)

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« Il n’est pas des nôtres »

Les lectures d’aujourd’hui nous invitent à respecter ceux et celles qui ne sont pas de notre groupe. Josué demande à Moïse d’empêcher ceux qui ne sont pas des «officiels» de prophétiser. Et Moïse de répondre : «Si le Seigneur pouvait faire de tout son peuple un peuple de prophètes!» Dans l’évangile, Jean dit à Jésus : «quelqu’un qui n’est pas de notre groupe chassait les démons et nous voulions l’empêcher». Jésus demande de le laisser faire. Moïse et Jésus invitent à la tolérance et à l’ouverture envers ceux et celles qui sont différents de nous. Ce dimanche pourrait être celui de l’œcuménisme et du respect des diversités.

Le Pape Jean XXIII disait: «l’Église est comme une vieille fontaine de village qui a abreuvé des générations pendant des siècles. Les gens passent et la fontaine reste. La fontaine ne distingue pas entre les sympathiques et les antipathiques, entre les bons et les mauvais, entre les marginaux et les bien-pensants. Elle les accueille tous avec sa générosité proverbiale.»

L’objection de Jean dans l’évangile est celle de tous les intégristes, de toutes les personnes fermées aux autres : «Il n’est pas des nôtres!». C’est la tentation des esprits sectaires. Heureusement, il y a Jésus pour interdire les excommunications : «Ne les empêchez pas, acceptez la diversité, respectez ceux et celles qui sont différents de vous». Le Christ veut nous guérir de notre mesquinerie, de notre vision trop étroite.

Les intégristes et les sectaires sont plus rapides à fermer la porte qu’à l’ouvrir: «Ils ne sont pas des nôtres! ils ne sont pas chrétiens, pas de notre parti politique, pas de notre idéologie. Montrez vos papiers! Vous n’êtes pas francophones, pas anglophones, pas catholique, pas pratiquant, pas libéral, pas péquiste (*), pas caquiste (*)! Vous n’appartenez pas à mon syndicat, à mon école, à mon club. Vous êtes de la gauche, de la droite, du centre… alors, je ne vous écoute pas! Si je le peux, je vous ferai taire, je vous empêcherai de parler et d’agir.» Le sectarisme n’est pas mort !

(*) Ndlr: Péquiste et Caquiste sont deux partis politiques québécois opposés

Il n’y a pas si longtemps, avant le Concile Vatican II, l’Église défendait aux catholiques d’avoir des contacts avec les protestants et avec les non-chrétiens. Il fallait la permission du curé pour s’inscrire dans une école anglaise et il était interdit d’entrer dans une église protestante.

Il fut un temps où l’on interdisait tout ce qui ne répondait pas à nos valeurs et à nos critères : livres, films, musique, pièces de théâtre, etc. «La censure nous protégeait» de tout ce qui ne répondait pas à nos normes, sans se soucier de ce qui pouvait être bon dans ce que l’on rejetait.

Jésus est le «catholique» par excellence, l’homme universel (c’est le sens du mot «catholique»)  Il présente Dieu comme celui qui fait pleuvoir sur les bons et sur les mauvais, qui fait briller son soleil sur tous. Il protège la femme adultère, contrevient à la loi qui interdit de s’approcher des lépreux, s’assoie à la table des pécheurs, côtoie les publicains, les prostituées, les samaritains.

L’encyclique Ecclesiam suam affirmait: «l’Église doit être prête à soutenir un dialogue ouvert avec tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté, à l’intérieur et à l’extérieur de ses cadres. Personne ne doit être considéré comme étant en dehors de son cœur. Personne ne doit être considéré comme son ennemi, à moins qu’il ou qu’elle ne choisisse de l’être.» Le cardinal Martini, qui est décédé il y a peu de temps, était un exemple de cette ouverture à toutes et à tous.

Le Pape Jean XXIII disait : «L’Église a de nombreux ennemis, mais elle ne doit être l’ennemi de personne

Les textes d’aujourd’hui nous invitent à réfléchir sur nos préjugés, nos exclusions, nos rejets des autres. L’ouverture ne nous oblige pas à renoncer à notre propre identité chrétienne, au contraire elle la renforce, non dans l’affrontement mais dans le dialogue. Dialoguer pour comprendre, être émerveillé, être enrichi! Lorsque l’on s’approche des autres, que ce soit des Anglicans, des Méthodistes, des Mormons, des Musulmans, des Indus, des Juifs, des non-croyants, des athées, des animistes, on y découvre des perles d’humanité et de spiritualité.

On se rend compte qu’en dehors de l’Église, il y  plein de salut, que des milliers de gens chassent les démons, c’est à dire qu’ils luttent contre le mal, la maladie, les préjugés et la discrimination. Il existe de nombreuses personnes qui font un travail exceptionnel dans un grand esprit de fraternité et d’engagement…

Ni le groupe des Douze, ni aucune Église n’est seul dépositaire de l’Esprit de Dieu. Hors de nos cénacles, l’Esprit souffle, imprévisible, libre comme le vent (Jean 3,8).

Le Christ nous invite aujourd’hui à être ouvert à ceux et celles qui veulent faire le bien, à être édifiés par leurs engagements, à admirer le beau travail que font ceux et celles qui ne sont pas de notre groupe, de notre parti politique, de notre nationalité. «Ne les empêchez pas, même s’ils ne sont pas des nôtres



HOMÉLIE DOMINICALE

Dimanche 23 septembre 2018

25e dimanche ordinaire – B

 (Homélie du Père Yvon-Michel Allard, s.v.d., directeur du Centre biblique des Missionnaires du Verbe Divin, Granby, QC, Canada).

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« Si quelqu’un veut être le premier, il sera le serviteur de tous »

Aujourd’hui, le Christ nous dit : «Que celui qui veut être le plus grand, qu’il se fasse le serviteur de tous.» Mais alors qu’il invite ses disciples au service, au don de soi… eux discutent pour savoir qui est le plus grand parmi eux.

Cette lutte de pouvoir et de recherche de grandeur provoquent toutes sortes de conflits. Chaque jour, les médias nous parlent de ces conflits dans notre monde :

  • À l’échelle internationale : guerres et terrorisme, représailles, manifestations de toutes sortes.
  • À l’échelle nationale : conflits entre les partis politiques, entre les groupes ethniques, entre les nombreuses opinions au sujet de l’avortement, du mariage, des soins de santé, de l’éducation…
  • À l’échelle communautaire et familiale : infidélités, drames passionnels, divorces, séparations, drogue, rancunes, jalousies, haines.

Parfois, nous répétons aux enfants que le plus important n’est pas de gagner mais de participer, que les défaites forment le caractère, etc. Mais, dans notre civilisation de grande compétition, essayez de convaincre les jeunes d’être bons perdants quand souvent les parents eux-mêmes crient contre l’arbitre, insultent les joueurs du club adverse et commencent des bagarres avec les parents de l’équipe opposée.

Dans les lectures d’aujourd’hui, le Christ affirme que le service, le respect de l’autre, la tolérance favorisent la justice et la paix. Chacun et chacune de nous avons un choix à faire entre la paix, la justice et l’amour d’un côté, et de l’autre l’injustice, la cupidité et le manque d’amour.

Dans notre monde de violence, nous avons de nombreux exemples de respect et d’amour :

  • Saint Pierre Claver qui attendait les bateaux d’esclaves sur les rives de la Colombie pour leur venir en aide, plutôt que de les exploiter à mort.
  • Le bienheureux Pierre Damien, un menuisier devenu prêtre, qui s’était installé sur l’île de Molokai pour vivre avec les lépreux. Le journaliste Raoul Follereau et sa femme qui ont lutté pour vaincre cette terrible maladie et qui l’ont font connaître en proposant «la journée mondiale des lépreux».
  • Mère Teresa de Calcutta, avec les sœurs de la communauté qu’elle a fondée, qui venaient en aide aux mourants et aux nécessiteux de l’Inde et d’ailleurs.

Nous pouvons aussi trouver de nombreux exemples semblables dans notre monde d’aujourd’hui :

  • Un jeune exécutif qui décide de refuser un emploi très lucratif afin d’être plus près de sa famille.
  • Un dirigeant d’entreprise qui décide de passer moins de temps au tennis ou au golf, pour faire du travail volontaire avec la Croix Rouge.
  • Un homme qui décide de mettre de côté la haine qu’il a envers son frère pour le rencontrer et lui pardonner.
  • Un couple qui renonce à une semaine de soleil et de golf en Floride afin d’aider un voisin en difficultés financières.

C’est à travers l’amour et la bonté que nous avons pour les autres que nous devenons disciples du Christ et que nous trouvons notre propre épanouissement.

Dans sa vie, le Christ ne nous a pas seulement montré le chemin, il nous a donné l’exemple : «Vous m’appelez Maitre et Seigneur, et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi le Seigneur et le Maître, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres.» (Jn 13, 14-15) Il a redonné espoir à de nombreux malades, a combattu tous les préjugés, a accepté Marie-Madeleine come disciple, protégé la femme adultère, s’est invité chez Zachée le publicain, a engagé la conversation avec la Samaritaine aux six maris, a osé toucher aux lépreux et les a réintégré dans leur famille et leur communauté… il a été le serviteur de tous.

Longtemps avant Martin Luther King, le Seigneur nous a dit : «J’ai fait le rêve… qu’un jour les politiciens, les enseignants, les médecins et les infirmières, les prêtres, les marchands, les journalistes seraient vraiment au service de la population, qu’un jour tous les Chrétiens le seraient aussi pour leur famille, leurs compagnons et compagnes de travail, leurs voisins. Il a donné sa vie pour que ce rêve devienne réalité.

Jésus disait à ses disciples : «Les rois des nations et ceux qui les gouvernent aiment bien paraître et se faire appeler «bienfaiteurs». Qu’il n’en soit pas ainsi pour vous. Que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert.» (Luc 22, 24)

Chacun et chacune d’entre nous pouvons nous demander ce que nous pourrions faire pour que ce rêve du Christ se réalise.



LE CHRIST M’EST APPARU TRANSFORMANT MA VIE

Chers visiteurs, nous vous proposons aujourd’hui de visionner une vidéo dénichée sur 

Puis de visiter le lien de 

tous deux dédiés à un personnage d’exception: Jean Marc Potdevin.

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« Le Christ m’est apparu et a radicalement transformé ma vie ! »

Jean-Marc Potdevin est un homme d’affaires qui réussit professionnellement. À l’âge de 40 ans, il se demande quel est le sens de sa vie et décide de partir seul sur les chemins de Compostelle. Au Puy-en-Velay, il fait une rencontre mystique avec le Christ qui a profondément bouleversé sa vie.

 

Lien de l’Express:

« Jean-Marc Potdevin, l’ancien patron qui aide les SDF »

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/jean-marc-potdevin-l-ancien-patron-qui-aide-les-sdf_2008293.html

 



ENTRETIEN VÉRITÉ D’OLIVIER GIROUD

Chers visiteurs, voici en entretien d’Olivier Giroud, déniché pour vous sur ALETEIA.

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Dans un entretien au Parisien, le footballeur Olivier Giroud revient sans détour sur son dévouement pour la France, et sa foi.

Alors que les Bleus, auréolés de leur tout frais titre de champions du monde, ont retrouvé jeudi soir la compétition…/… le buteur des  s’est livré avec sincérité au Parisien.

Ainsi, à la question « Si vous pouviez remercier une personne pour ce titre, quelle serait-elle ? », celui qui avait embarqué le livre sacré dans ses bagages lors du dernier Mondial, ne fait pas de mystère. « Jésus-Christ » affirme-t-il, puis de développer sa réponse. « Il m’a construit, aidé en tant qu’homme et joueur professionnel, en me donnant confiance, persévérance et foi pour ne jamais rien lâcher. Pendant ce tournoi, on avait une bonne étoile au-dessus de nous. Un ange gardien ». Une authentique déclaration d’amour qui s’est manifestée lors de la dernière Coupe du monde par des moments de prière que s’accordait Giroud quelques minutes avant le coup d’envoi de chaque rencontre. « A chaque fois, j’en demandais un peu plus au Seigneur. Parce que c’était la dernière marche et que j’avais encore plus besoin de lui. J’ai été entendu », dit-il.

« Je pense surtout aux combattants de la guerre »

Lire l’intégralité de l’interview sur: https://fr.aleteia.org/2018/09/07/amour-pour-la-france-foi-en-christ-lentretien-verite-dolivier-giroud/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr

 

TÉMOIGNAGE: SENTIR LA PRÉSENCE DE DIEU

Chers visiteurs, voici déniché pour vous un témoignage de Marie G, publié en mars 2018 sur CHRÉTIEN WEB. 

« Sentir la présence réelle« 

« Jusqu’à il y a un peu plus de 2 ans j’avais encore une foi que je qualifierais de croyance à la religion catholique . Mon esprit  adhérait intellectuellement à l’histoire de Jésus mort pour nous sur la Croix .Mes parents n’étaient pas croyants bien que baptisés  , et  nous avons été baptisé et suivi le catéchisme et les communions .

J’essayais d’avoir un dialogue avec Jésus , mais c’était quelque chose d’abstrait, intellectuel: Lui était au Ciel et moi sur terre, je n’étais pas sûre qu’il soit là et qu’il m’écoute. Quand je priais pour obtenir la guérison d’un proche, il est arrivé que la personne se remette, même à l’article de la mort , mais je n’étais jamais certaine que ce fût grâce à mes prières , je me disais que cela pouvait être dû au hasard ou que ça devait être ainsi, même si sur le coup je priais avec ferveur. J’avais la foi sans pratiquer, j’allais rarement à la messe qui me barbait plutôt sauf les chants , les sermons m’ennuyaient. Par contre j’allais souvent me recueillir dans les lieux de culte dont j’apprécie l’architecture et l’ambiance.

Quand j’ai eu un cancer je dialoguais  avec Jésus sans être certaine qu’il m’écoute , mais je me sentais quand même apaisée, même s’il ne répondait pas franchement avec des signes tangibles. Ainsi je lui ai dit que j’acceptais de mourir si c’était Sa volonté; le cancer ne m’est pas apparu comme un ennemi, un  étranger que je devais chasser , mais une partie de  moi qui était malheureuse et dont il fallait s’occuper. J’essayais de négocier avec Jésus , mes enfants avaient 2 et 5 ans à l’époque : « je veux bien faire Ta volonté mais à choisir je préfères que tu me laisses encore 10 ans le temps de les élever » , 8 ans plus tard j’ai rechuté et j’ai demandé encore 10 ans pour eux , ce qui fût ..

Depuis cette époque j’ai été attentive à tout ce qui se passait dans mon corps ,aux énergies qui circulaient , ce qui explique peut-être l’événement suivant : 

Il y a un peu plus de 2 ans je me trouvais dans une église ou se trouvait un ostensoir, c’était l’Adoration et je ne savais pas ce que c’était. Je me suis approchée et j’ai senti une douce chaleur autour de moi , comme une énergie d’amour dans mon corps. Je me suis mis à aller régulièrement entre 1 et 3 fois par semaine,  devant cet ostensoir parce que ça me faisait du bien de ressentir cette  énergie qui me pénétrait, c’est quelque chose de physique, un très grand bien-être  et si je devais la définir j’emploierais les termes : elle guérie et elle nourrieJe restais entre 15 mn et 1 h , et au fil du temps je me suis mis a ressentir cette énergie encore plus fort, au point de pleurer de reconnaissance devant tant de délices, je suis comme clouée sur place, tellement c’est fort. Parfois c’est comme un éclair, il n’y a pas la même intensité. C’est comme un courant d’amour qui prend possession de moi et agit en moi, et ça peut être tellement intense que ça peut devenir presque insupportable comme une blessure exquise qui fait pleurer de joie. Et cette énergie  reste dans la journée jusqu’à s’évaporer petit à petit, si bien que lorsque je reste trop longtemps je suis comme  sur un petit nuage et peu réactive pour mon entourage, ce qui peut agacer prodigieusement les gens, à qui je ne peux pas répondre quand ils me parlent.

Et puis il y a une quinzaine, suis tombée sur une messe en semaine, je n’ai pu aller devant l’ostensoir qui est comme un rdv d’amour. J’ai assisté à la messe déjà bien entamée, et lors de l’élévation de la coupe, même si j’étais très loin, j’ai ressenti cette énergie d’amour qui m’inondait et me faisait verser des larmes de joie devant tant de Beauté. Je suis secouée malgré moi par les sanglots. Suis allée communier et pour la première fois (j’avais déjà communié mais jamais rien ressenti) , j’ai ressenti comme si l’hostie vibrait , j’ai senti quelle était une boule d’amour et quand je l’ai avalé , quelque chose d’indescriptible. J’ai bien ressenti la Présence dans mon cœur, et cela physiquement . Depuis j’attends avec impatience la messe, mais cette énergie je la ressens aussi chez moi, le soir, en moindre intensité, même quand je suis en train de faire quelque chose c’est comme un courant bienfaisant qui vient me visiter .

Ma foi n’est plus une croyance mais une expérience vécue.

Je sais que Jésus est là dans l’hostie parce que je ressens son Amour dans mon corps et mon âme. J’ai une grande reconnaissance envers les prêtres capables de faire descendre Jésus dans l’hostie . Je pense que tout le monde peut le ressentir avec de l’attention, de la volonté et beaucoup de foi, car Il est là pour tous. C’est nous qui ne le sentons pas. Ça ne m’arrive plus  mais au début, parfois quand j’étais stressée, trop préoccupée je ne sentais presque rien, j’étais trop fermée.

Quand je suis inondée par cet amour de Jésus , je lui demande de faire que les autres ressentent aussi sa Présence. Mais Il ne peut rien si les hommes ne sont pas ouvert, c’est à nous de le chercher, de lui offrir notre vie aussi misérable soit-elle. Je me suis souvent sentie misérable et indigne, écrabouillée et vraiment rien sans Jésus. Si bien que je ne souhaite faire que Sa Volonté .

Je voulais aussi  partager avec vous cette merveilleuse  musique , qui est la musique des anges, et si vous l’écoutez avec une bougie allumée dans la pénombre, les yeux fermés et en conscience de façon à vous laisser pénétrer, vous risquez de sentir vos larmes couler devant tant de Beauté :



UN ENSEIGNANT DU CORAN DÉCIDE DE SUIVRE JÉSUS

Chers visiteurs, voici un article déniché pour vous sur 

Depuis qu’il a découvert la vérité sur Jésus, Omar a cessé d’enseigner le Coran. Une décision qui lui a valu de graves ennuis et qui a divisé sa famille.

Omar, un père de famille de 31 ans, était très respecté dans son village à l’extrême Nord du Cameroun : il enseignait le Coran. Mais le 5 avril dernier, il a entendu le message de l’Évangile et cela est venu bousculer ses convictions.

«Je suis rentré chez moi. Connaissant bien le Coran, j’ai décidé d’y lire ce qu’il disait sur Jésus. J’en ai tiré la conclusion que Jésus est le chemin», se souvient Omar.

Les ennuis commencent…/…

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