UN GOÛT DE CENDRES ?

Chers visiteurs, faisant suite à la tragédie de ND de Paris, les différents sites et médias couvrent les suites de cette catastrophe et les regrettables polémiques qui naissent. Pour notre part, tout gardant un cœur meurtri,  nous préférons  nous tourner vers l’éditorial de qui traite aussi du sujet et de son interprétation, mais se tourne aussi vers le grand rendez-vous annuel des chrétiens, le Triduum pascal.

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« Tout est noir, brûlé, consumé… Et dans ce désastre, seuls subsistent, intacts, la croix dorée, l’autel et la Vierge au pilier. Ceux qui ont pu s’introduire dans la nuit de mardi dans la nef de la cathédrale en ont été saisis. C’était comme une injonction à ne pas désespérer. La semaine dernière, nous évoquions l’inexorable déchristianisation de notre société. Mais il aura fallu un brasier insoutenable pour que remonte du plus profond de notre pays une immense clameur : Notre-Dame en feu ! Comment ne pas se sentir profondément bouleversé ? Le triduum pascal de cette année n’aura pas un goût de cendres. Il aura le goût de la ferveur retrouvée. Après l’étonnante communion qu’aura provoqué cet incendie, chacun, à sa place, à sa manière, vivra les fêtes pascales comme un pèlerin de Notre-Dame : ébloui et heureux de ce Dieu qui veille. Bonne Pâques à tous ! »

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