Un vieil avare est en train de mourir… Il appelle son curé pour lui apporter le « Sacrement des malades » et obtenir des paroles réconfortantes qui l’aideront à affronter le départ.
-« Ah, monsieur le curé, j’ai travaillé tellement dur toute ma vie pour obtenir tout ce que j’ai, cela me fait mal de laisser tout ça ici. Si seulement je pouvais amener tout mon or avec moi…! »
– Le prêtre, un peu sec mais réaliste, de lui répondre : » Ce n’est pas la peine, là où vous risquez d’aller, il fondrait... »