Chers Visiteurs, voici une analyse de
sur les guerres en Afrique.
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Afrique, Covid-19 n’arrête pas les guerres
Plus de trois mois après l’appel à la trêve mondiale, lancé par le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres et par le Pape François, les représentants de l’Église catholique de trois pays où le conflit fait rage depuis des années illustrent la situation et les raisons qui la sous-tendent un refus de suspendre la belligérance, au moins temporairement.
Lorsque – au cours de la dernière semaine de mars – le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, puis le pape François, au moment même où la pandémie prenait des dimensions effrayantes, ont lancé un appel sincère à proclamer un cessez-le-feu universel, le monde il semblait les écouter. En Syrie, au Cameroun, aux Philippines, au Yémen, au Congo, par exemple, des signes de détente sont apparus et, grâce également à la terreur de contracter le virus, certaines armées ou milices des 70 guerres qui ont enflammé la planète, ont fait taire leurs armes. Ces signes encourageants n’ont pas suivi. L’invitation du Pape à saisir l’opportunité dramatique de « suspendre toutes les formes d’hostilité de guerre » et d’encourager l’ouverture « à la diplomatie, l’attention à ceux qui se trouvent dans une situation de plus grande vulnérabilité « est restée dans de nombreuses régions du monde » lettre morte « . Depuis la mi-avril, dans la plupart des endroits qui avaient au moins partiellement cessé les combats, il a recommencé à tirer, dans tous les autres, en réalité, il ne s’est jamais arrêté.
Plus de trois mois plus tard, on peut dire que les messages du pape et de Guterres sont restés lettre morte. L’Agenzia Fides s’est entretenue avec des représentants de l’Église catholique de trois pays où le conflit fait rage depuis des années et a tenté de comprendre quelle était la situation et les raisons d’un refus de suspendre – au moins temporairement – la guerre.(…)
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