Archives de catégorie : Bionville



FÊTE DE LA FOI

Le dimanche 21 mai en l’église de Momerstroff, 28 jeunes du secteur de Boulay, dont 8 enfants de notre communauté de paroisses,  ont réaffirmé devant une large assemblée, leur foi en Dieu lors d’une fête de la foi qui clôture leur première année de préparation à la confirmation. Ils ont animé par leurs chants et leurs prières cette belle célébration religieuse. L’ambiance était recueillie et dynamique lors des chants des jeunes. Durant cette célébration, ils ont reçu d’un de leurs parents une lumière qui symbolisait celle portée par leurs parents le jour de leur baptême ; symbole de la Foi transmise, symbole de leur foi assumée et proclamée devant l’assemblée.

Promotion 2017-2018

Les jeunes ont également reçu une bénédiction de la part du prêtre, l’Abbé Gérard Kaiser.

Toutes nos félicitations à Dimitri H, Julien W, Lucas H, Maeva FJ, Romain F, Simon K ,  Théo H et Xavier K.

L’année prochaine, ces jeunes poursuivront leur cheminement et leur préparation pour recevoir le sacrement de confirmation en juin 2018. (EZ)



Bienvenue sur le site de la Communauté de Paroisses St Pierre des 2 Nied

 

Bonjour et bienvenue à tous, St Pierre-20552541_p

Cela faisait un moment que l’idée était dans l’air : « Comment joindre un maximum d’habitants de notre Communauté de Paroisses Saint Pierre des deux Nied, en complément de la traditionnelle feuille de quinzaine ? »

Cette idée a germé et mûri et, grâce à l’aide d’un bon samaritain spécialiste-ès-informatique, nous avons le plaisir de vous présenter  notre site. Site qui se peaufinera au fur et à mesure pour vous apporter un maximum d’informations.

Ce site est ouvert à tous, paroissiens ou simples visiteurs, quelles que soient vos convictions religieuses. Son vœu le plus cher, tout en vous étant agréable, est de vous informer et répondre à vos attentes cultuelles et/ou culturelles, ou à votre curiosité.

 Nous vous souhaitons une bonne et fructueuse visite .



VOEUX PAROISSIAUX

A l’approche de l’Epiphanie, le père Xavier et l’EAP souhaitent inviter chacun d’entre vous à un goûter convivial au cours duquel seront échangés les VŒUX PAROISSIAUX autour d’une galette des rois.

Cette collation aura lieu le samedi 7 janvier à 15h00, à la salle d’œuvre de Varize.

 Afin de pouvoir préparer cette manifestation, nous vous demandons de bien vouloir vous inscrire avant le 6 janvier, auprès des membres de l’EAP : (Voir dans les annonces de la semaine)

 



LE 15 AOUT, PRIER POUR LA FRANCE

2016_08_06_15 aout sonnerie des cloches de FrPrier pour la France a souvent tenu une place particulière le 15 août pour les Catholiques.

En cette fête d’espérance nous invitons à ce que la prière universelle des messes de ce jour mentionne cette intention et qu’à midi sonnent à la volée les cloches de nos églises.

Que Dieu bénisse notre pays dans les épreuves qu’il traverse.

Georges PONTIER
Archevêque de Marseille
Président de la Conférence des évêques de France



BIONVILLE ET MORLANGE

Nota: L’article ci-après, rédigé a partir des éléments disponibles sur le moment, n’est nullement figé et sera mis à jour et complété dès que de nouvelles informations seront disponibles.
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Tous nos remerciements pour leur collaboration à:

Mme HIRTHUM Lucie, Mr CLAUDOT Roland et Mr LUTAT Claude

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BIONVILLE

i57085_jpl_28-09-2011_5_01-Bionville_gimpSource : -Monographies des communes du Pays de Nied N°11 « Bionville sur Nied, Morlange 1238-1947 (SHAN)

Etymomologie :

Boenville, la plus ancienne orthographe connue de Bionville remonte à 1238. L’origine de ce nom viendrait d’un chef germanique Boio ou Bojo, nom qui se transformera en Bio, Bigo ou encore Biho.

RACCOURCIS HISTORIQUES

Seigneurie :

1245 : Bionville est un fief dépendant de l’évêché de Metz.

1299 : L’abbaye de St Nabor achète la propriété de la seigneurie de Bionville ainsi que les terres, et les conservera jusqu’en 1555.

1555 : Le village est cédé au comte de Nassau-Sarrebruck, sortant ainsi du giron de l’Eglise.

La paroisse:

-La paroisse de Bionville est de fondation très ancienne et, depuis des temps immémoriaux Morlange était partagé avec Varize (2 ans) et Bionville (1 an)

-1332 : la paroisse de Bionville appartient à l’abbaye de St Nabor

-1563 : L’Abbé de St Nabor cède les dimes de Bionville au comte de Sarrebruck. Les pouillés(1) du XVI siècle donnaient toujours le patronage de la Cure à l’abbaye. Mais dès 1607, c’est un droit qui revient aux comtes de Nassau-Sarrebruck. Jusqu’au milieu du XVIIème, Bionville était considéré comme annexe de Raville ce qui évitait de payer 2 curés.

-A la fin du XVIIème siècle le patronage de la paroisse était attribué au seigneur des lieux et  toutes les institutions canoniques étaient proposées par ce dernier.

-1620 : Bionville et Varize étaient desservis par le même curé.

-1645 : l’archiprêtre de Varize était aussi curé de Bionville et de Raville

(1) Pouillé : Etat des biens ecclésiastiques situés sur un territoire donné.

L’ancienne église :

L’emplacement de l’ancienne église, de style roman, orienté à l’est, était légèrement différent de celui de l’église contemporaine. Son chœur se trouvait sous l’actuel clocher. La nef s’étendait à gauche du portail vers la Nied. Le porche actuel était donc l’ancien cœur qui comprenait des colonnettes datant du style roman de la fin du XIIème siècle. Ce chœur bordé de chaque côté par deux petites pièces, dont la sacristie, était très étroit. Sur les murs collatéraux deux petits autels se faisaient face. L’un consacré à la Sainte Vierge et l’autre à St Eloi. Le maitre autel était décoré d’un tableau consacré à St jean baptiste. La nef trop petite pour le nombre de paroissiens mesurait environ 15 mètres sur 11. Enfin, cette église était enfoncée en terre et ses fenêtres étaient au ras du sol.

L’église actuelle:

100px-Eglise_Bionville_NiedEglise Saint Jean Baptiste

Construite entre 1767 et 1770 avec des matériaux venant de Bionville et de Servigny, elle est prévue pour accueillir 320 personnes.

Selon les usages de l’époque, La construction de la nef était à la charge des seigneurs locaux tandis que le clocher, l’aménagement intérieur et le cimetière revenaient à la communauté, qui devait aussi fournir le terrain nécessaire à l’agrandissement.

Lors de la révolution, l’église connu les inévitable dégradations, et son mobilier fut vendu. En 1803 des crédits furent votés pour l’église et le presbytère et pour racheter des objets du culte. Mais en 1804, il manquait toujours les autels latéraux. Malgré les quelques travaux entrepris pour la remise en état de l’église, celle-ci était toujours dans un état déplorable, jugé identique à celui de la révolution.  Finalement, les plans et devis pour la réparation de l’église et du presbytère ne furent dressés qu’en 1820. Le chemin de croix fut érigé en 1856 et, beaucoup plus tard en 1904, l’église fut dotée de rosaces de part et d’autre du clocher(1),  et de nouveaux bancs furent installés en 1907. Enfin, avec l’arrivée de l’électricité, l’édifice fut équipé en 1926, trois ans avant l’électrification des cloches et de la soufflerie des orgues.

Bionville by Mr Claudot(1) Carte postale antérieure à 1904, où ne figurent pas les deux rosaces (Collection R Claudot)

Les orgues: La tribune fut construite en 1904. Un an plus tard, les orgues furent commandées auprès de Dalstein et Haerpfer de Boulay. Le buffet est une réplique de celui d’Elvange, œuvre du facteur d’orgues Verschneider. Selon un inventaire effectué en 1992, le grand orgue comprend 56 notes, un récit (clavier) expressif et 27 notes à la pédale.

Les cloches : En 1803, il y a trace de l’existence d’une cloche fondue par la maison Valente

En 1895, une facture fut établie auprès du fondeur Bour et Guenser de Metz, pour une cloche de 957 kg (note FA) et une de 477 kg (note LA).

En 1924, trois cloches furent commandées à la maison L Debaille, en remplacement de celles réquisitionnées par les allemands pendant la 1ère guerre mondiale. La plus grosse, 1050kg (note Mi) portait une gravure de St Jean Baptiste et une inscription à son intention. La seconde, dédiée à la Sainte famille, pesait 530 kg (sol dièse), la 3ème devait peser 275 kg (Si) mais elle ne fut jamais livrée. Les deux cloches furent livrées le vendredi saint 18 avril 1924,  bénites le lundi de Pâques suivant  pour être installées avant l’Ascension. Ces cloches seront enlevées par les allemands lors de l’évacuation de la population en 1940.

Le cimetière:

L’ancien cimetière datait de 1766. Il n’était pas fermé, l’ossuaire était en très mauvais état et les enfants non baptisés étaient ensevelis sous les décombres d’un bâtiment voisin en ruine. Le nouveau cimetière fut opérationnel en 1913. Une place y était réservée aux criminels et une autre aux enfants non baptisés. Mais rien n’était prévu pour les protestants qui étaient quatre au village.

Le presbytère :

En 1766, le presbytère était complètement en ruine. En 1775, une maison fut achetée par la communauté pour le remplacer. Pour cela il fallut vendre une maison et deux jardins pour réunir les fonds nécessaires. En 1803, il fut décidé de rebâtir le presbytère. Mais la dégradation de ce nouvel édifice nécessita une nouvelle reconstruction en 1887. En 1933, ce dernier bâtiment nécessita encore une remise en état et sa toiture sera refaite 6 ans plus tard.

En conclusion de ce raccourci historique, voici l’extrait d’un écrit de l’abbé MAYER, ancien curé de la paroisse :

« Evacué le 18 mai 1940 et de retour le 24 août suivant, il sera expulsé avec 115 de ses paroissiens le 18 novembre 1940, après avoir remis à la Gestapo l’encaisse de la Fabrique ainsi que le livret d’environ 5000 francs déposés à la caisse rurale de Varize. De retour le 6 avril 1945, il retrouva une église à peu près intacte mais, deux vitraux étaient détériorés, deux cloches bénites en 1924 avaient disparu. Les murs du presbytère étaient en assez bon état mais le mobilier avait été éparpillé dans les villages voisins et remplacés par des meubles étrangers. Enfin, les registres, en piteux état, étaient retrouvés dans le grenier du presbytère ».

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MORLANGE

SOURCES : -Monographies des communes du Pays de Nied N°11 « Bionville sur Nied, Morlange 1238-1947 (SHAN)

-Bulletin « Joies et Espérances »  n°56 de l’archiprêtré de Boulay-Février 1973

TOPONYMIE :

A la fin du XIIème siècle, Morlange est connu sous les noms de Moreldanges ou Mordelanges. Ce nom évolua au cours des siècles pour devenir Morlingen ou Morlangen au cours de l’annexion de 1870.

Ce nom viendrait d’un germain qui pouvait s’appeler : Mauroald ou Morold, transformé en Morillo avec le suffixe « ing » ou « ange ».

REPERE HISTORIQUE:

Une des premières traces écrites de Morlange remonte à 1258, lorsque le seigneur local, Konrad von Remeringen, rejoignit l’Ordre des chevaliers teutoniques et légua ses biens situés sur le ban du village à la commanderie de Metz. A la révolution, l’Ordre possédait encore des propriétés à Morlange.

LA PAROISSE :

Depuis des temps immémoriaux Morlange n’a jamais été paroisse indépendante. En 1607, le village est cité comme annexe de la paroisse de Varize. Puis, vers 1782, il est cité alternativement comme annexe de la paroisse de Bionville et de celle de Varize (respectivement, une année sur trois). Cette situation serait due au fait que les habitants de Morlange parlaient allemand et français, mais surtout à cause des dîmes (1) de Morlange auxquels le curé de Bionville ne voulait renoncer. Cette disposition ne manqua pas de provoquer des dissensions car les morlangeois se plaignaient de payer une part trop importante des dépenses de Bionville qui était soupçonné d’engager de grosses dépenses lorsque Morlange lui était rattaché. D’autre part, se basant sur les pouillés (2) de Metz, Morlange ne se réclamait que l’annexe de Varize d’où dépendaient les fondations religieuses des ancêtres morlangeois.

Pour aggraver encore les désaccords, les morlangeois étaient majoritairement germanophones et leurs enfants, qui allaient à l’école allemande de Varize, devaient parler le français l’année où ils étaient rattachés à Bionville. Par ailleurs, cette différence linguistique ne manquait pas de créer des incompréhensions lors des confessions à Bionville.

Les morlangeois connurent un autre désagrément avant que toute la Moselle ne soit rattachée au royaume de France. Séparés de Varize par le village de Bannay, les morlangeais étaient soumis à des droits de passage lorsqu’ils devaient se rendre dans leur paroisse de rattachement. En effet, Bannay était enclave hispano-luxembourgeoise, et les morlangeais devaient traverser la frontière pour aller à Varize.

Enfin, jusqu’en 1802, Morlange fait partie de l’archiprêté de Varize puis, après cette année, de l’archiprêtré de Boulay.

(1) Dîme : Est la fraction variable, en principe 1/10ème partie, des produits de la terre et de l’élevage versée à l’Église. Elle fût abolie en 1789.

(2) Pouillé : État et dénombrement de tous les biens ecclésiastiques qui étaient situés dans une étendue de pays déterminée.

1280px-Chapelle_MorlangeChapelle Saint Pierre

LA CHAPELLE :

« Discrète comme les habitants de Morlange, la chapelle se distingue à peine du pâté de maisons dans lequel elle est incluse » (3). La fondation de cette vieille Dame, remonte à l’ère carolingienne. Historiquement, on peut la dater de la première moitié du XIème siècle, en témoigne l’architecture romane de l’édifice. Cette hypothèse est, par ailleurs, confortée par le fait que, traditionnellement, les sanctuaires dédiés aux apôtres ont une origine très antique.

Des traces écrites du XIIème siècle atteste de l’existence d’une chapelle. Mais la datation exacte de l’édifice actuel est inconnue. Plusieurs éléments ne semblent pas dater de la même époque, à savoir les colonnettes octogonales et le clocher, en bâtière, qui est accolé au nord de la nef et du chœur et non dans leur prolongement. A noter qu’en 1599, les textes citaient l’existence d’une cloche dans la chapelle.

Au XVIII la communauté entrepris un programme de légère rénovation de la chapelle au cours duquel le tabernacle est réparé et un ciboire acheté.

Autel-Morlange_gimpLes autels dont le maitre autel « de pierre » (coll Mme L Hirthum).

Entre 1905 et 1908 la chapelle subit une profonde restauration. Puis, au début du XIXème siècle (1917), en raison de son homonymie, la chapelle hérite d’un autel de pierre en remplacement de son vieil autel de bois. En effet, confondant « notre » Morlange et Morlange lès Fameck, une entreprise vint remplacer l’autel d’origine. Lorsque les ouvriers s’aperçurent de leur méprise, « le bien était fait » et l’autel resta en place (4).

Enfin, en 1926 la toiture est rehaussé et re-tuilé

(3) Extrait du bulletin « Joies et Espérances »  n°56 de l’archiprêtré de Boulay-Février 1973

(4)  Anecdote de Mme Hirtum Lucie,  hérité de sa mère.

LA COMMUNAUTE :

Bien qu’ayant toujours été une communauté indépendante sous l’ancien régime, Morlange n’a été une commune indépendante que de 1790 à 1812, année de son rattachement à Bionville par decret impérial. En 1848 et 1851, Morlange redemanda sans succès son indépendance



CONFIRMATION A LA PASTORALE DE BOULAY

En ce dimanche 5 juin, les trente confirmands du secteur pastoral de Boulay, dont sept de notre Communauté (*),  étaient rassemblés en l’église Saint Etienne pour recevoir le Sacrement de la Confirmation, après deux années de préparation. Préparation qui a été ponctuée par les séances périodiques de formation, les chemins de croix en extérieur pendant le temps pascal et les temps forts tout au long de ces deux années. La dernière de ces étapes s’est déroulée à Wallerfangen  en Sarre. Ce jour-là, 160 jeunes de tout l’archiprêtré de Boulay-Bouzonville, 1ère et 2ème année confondues, étaient réunis pour la première fois.

IMG_4920 - Copie1                        Sous la protection de la Sainte Vierge Marie

A l’extérieur la météo était incertaine, mais dans le for intérieur de ces jeunes, tous étaient là, prêts, certains d’avoir fait le parcours nécessaire pour recevoir le Sacrement de la Confirmation. Célébrée par le Vicaire Général Jean Christophe MEYER, représentant Monseigneur LAGLEIZE, et co-célébrée par l’abbé Gérard Kaiser, la très belle liturgie fut activement vécue par nos « aspirants » sous la direction de leurs animatrices. Aussi, les familles venues nombreuses, purent apprécier la conviction, le degré de préparation souligné par la qualité des chants, et le sérieux de ces « jeunes ado » qui d’habitude sont… « si adolescent ». « Désormais l’esprit Saint est en vous, et vous suivra tout au long de votre vie, félicitations les jeunes« .

IMG_4916 - Copie1      (*) Pierre, Simon, Clémentine, Maxime, Manon, Zoé et Pauline

Félicitations aussi, aux formatrices qui vous ont guidés pendant deux ans et, bien sûr, merci au Vicaire Général Jean Christophe MEYER et à l’abbé Gérard KAISER pour cette très belle cérémonie qui restera gravée dans la mémoire des confirmands, de leurs parents et parrain-marraine.

 



PEUT-ON ETRE CONFIRME A L’AGE ADULTE ?

Dimanche 5 juin 2016, sera un grand jour pour sept jeunes de notre Communauté qui recevront l’Esprit Saint après deux années de préparation : Clémentine (Macker) – Manon, Maxime, Pauline, Simon et Zoé (Hinckange) et Pierre (Volmerange),

Mais en cette veille de célébration, certains adultes peuvent se poser la question suivante : « Peut-on être confirmé étant adulte ? ».

2016_06_04_confirmationBeaucoup ignorent qu’on peut le demander tout au long de la vie. C’est souvent à l’occasion d’une évolution personnelle – mariage, proposition d’être parrain ou marraine – que se réactive, à l’âge adulte, le désir d’être confirmé. Selon les études récentes, les catéchumènes composent l’essentiel des effectifs d’adultes faisant la démarche, même si les pratiquants « ordinaires » n’hésitent plus à franchir le pas.

Pour plus d’information sur ce Sacrement contacter:

  • Le père CERECKI : 03 87 57 00 59
  • Mme Monique HARMENT: 03 87 64 27 62
  • Mme Blandine HAYOTTE: 03 87 79 22 55
  • Vous pouvez aussi aller sur le lien suivant :

http://cybercure.fr/je-celebre-les-sacrements/confirmation/article/la-confirmation-des-adultes