Les JMJ chez soi
Les JMJ c’est l’occasion de vivre une expérience forte. Tu ne peux pas aller à Cracovien ? Ce n’est pas grave, nous te proposons de les vivre chez toi.
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Attentat islamiste de Nice: que faire ?
Extrait de l’article d’Anne DOLHEIN, paru sur le site Reinformation.tv
Les « unes » des quotidiens français ce vendredi matin étaient remarquablement discrètes sur la dimension politico-religieuse de l’affreux carnage de la Promenade des Anglais lors des festivités du 14 juillet à Nice…/… il faut se tourner vers la presse britannique pour lire en première page que l’attentat était islamiste…/… Une chose est sûre, l’objectif du terroriste a été parfaitement atteint : semer la terreur avec un maximum de retentissement médiatique …/…
L’Etat islamique, ou ce qu’il représente, s’en prend à un Occident apostat…/…le peuple d’Occident s’enferre dans ce rejet de Dieu qui envahit en vérité tous les aspects de la vie parmi le plus grand nombre. L’islam nous méprise-t-il pour cela ? Sans aucun doute – même s’il vise avant tout l’« Infidèle » et le « Croisé », donc le chrétien…/…
Les attentats visent les chrétiens, la réponse doit être chrétienne
Les attaques contre l’Occident visent les chrétiens, il faut donc se battre avec les armes du chrétien. Qui sont la disposition au martyre pour témoigner de la vérité du Christ, l’amour des ennemis qui sont eux aussi appelés à la conversion et au bonheur éternel, la lucidité pour défendre le bien commun – tout cela n’interdit ni la force, ni le bon sens – et avant tout, la fin des idolâtries. Si l’Europe est chrétienne, si ses racines sont chrétiennes, c’est là qu’elle doit puiser la réponse à une terreur politico-religieuse sous peine d’être brûlée comme un arbre sec.
Les armes du chrétien sont d’accès immédiat et gratuit, à la portée de chacun. Elles se nomment prière, pénitence et abandon à Dieu, et ce sont des armes de reconstruction massive, ou encore des munitions indispensables dans un combat qui ne saurait rester horizontal. Notre Dame de Fatima disait la force du chapelet. On sait le rôle du Rosaire à la bataille de Lépante (*)…
Prière et pénitence pour le pays, prière et pénitence pour le repos de l’âme des victimes, pour leurs proches aujourd’hui dans une peine indicible : seule une France à genoux peut espérer sortir de l’horreur où la haine de Dieu l’enfonce.
(*)http://www.mariedenazareth.com/qui-est-marie/1571-la-bataille-de-lepante
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Pour accéder à l’article original, cliquer sur: http://reinformation.tv/attentat-nice-que-faire-dolhein-57643-2/
Le 14-Juillet, symbole de la « Foi » patriotique
Il y a quelques jours encore, le drapeau tricolore envahissait nos rues, nos fenêtres et nos voitures. Mais!…Où est-t-il aujourd’hui, 14 juillet, Fête nationale française ? Que sont devenus nos repères patriotiques et …religieux ?
Ci dessous, extrait d’ un texte de Christine Pignarre, publié le 13 juillet 2011, dans http://www.lemondedesreligions.fr/
En 1790, un an après la prise de la Bastille, était célébrée à Paris la fête de la Fédération. Première fête nationale glorifiant l’unité de la patrie, sa mise en scène autant que son contenu puisaient largement dans le symbolisme chrétien…/…
Paris, en ce 14 juillet, a des allures de pèlerinage et la Bastille en est le lieu saint incontournable. A la manière des anciennes processions, avec leurs effigies et leurs banderoles corporatives, la fête commence par le défilé des 20 000 fédérés. Tous déambulent derrière leurs bannières jusqu’à rejoindre l’autel de la patrie au centre de la place, où les bannières reçoivent la bénédiction de l’évêque Talleyrand…/…
La fête se prolonge par la célébration de la messe à la gloire de la patrie. Enfin, le serment prononcé par La Fayette, commandant de la garde nationale, clôture la journée. Il réaffirme la fidélité de tous à la nation, à la loi et au roi. Ce triptyque révolutionnaire résonne comme un nouveau credo, que vient consacrer le Te Deum final, chant traditionnellement utilisé lors des fêtes religieuses.
Te Deum en grégorien
Si autant de réappropriations religieuses peuvent de prime abord apparaître surprenantes, elles le sont moins au regard des sensibilités et des motivations des principaux instigateurs de la Révolution. Pour la plupart déistes, ils ne se représentent pas le monde en dehors de l’existence d’un Dieu…/…
Par ailleurs pragmatiques, ils sont convaincus que la Révolution ne peut remporter l’adhésion du peuple que si elle est en bonne entente avec la religion, tant les expressions et les représentations de cette dernière sont importantes dans le quotidien populaire.
Précisément, les luttes qui divisent la France au cours des années suivantes se cristallisent autour de la question religieuse. Le vote de la constitution civile du clergé, le 12 juillet 1790, plaçant l’ensemble des religieux sous la tutelle de l’Etat, sonne le point de départ de la rupture de l’unité nationale…/…
Opposant les « constitutionnels » aux « assermentés » (ceux ayant refusé de prêter serment), les inimités réciproques s’accroissent et laissent préfigurer le mouvement de déchristianisation de 1793. Ce vide religieux sera très vite réinvesti par d’autres cultes populaires, comme le célèbre culte de l’Etre suprême, pensé par Maximilien Robespierre.
Fête et religion indissociablement liées, c’est ce qui transparaît au travers du discours énoncé par Robespierre devant la Convention le floréal an II (7 mai 1794) : « Rassemblez les hommes, vous les rendrez meilleurs; car les hommes rassemblés chercheront à se plaire, et ils ne pourront se plaire que par les choses qui les rendent estimables. […] Invitons à nos fêtes, et la nature, et toutes les vertus; que toutes soient célébrées sous les auspices de l’Être suprême; qu’elles lui soient consacrées; qu’elles s’ouvrent et qu’elles finissent par un hommage à sa puissance et à sa bonté. […] »
En ce 100ème anniversaire de la bataille de Verdun, nous vos proposions en février dernier, l’ouvrage « La grande guerre des hommes de Dieu » (voir rubrique : Divers/Librairie/28 février 2016).
Dans la continuité, nous vous proposons aujourd’hui un véritable document d’archive, d’une époque où la Foi de la « Fille ainée de l’Eglise » était d’une autre force qu’aujourd’hui.
Ce document a été rédigé par le père Lenoir sur son lit d’hôpital, à la suite d’une blessure reçue en Argonne. Aumônier militaire dès le début de la guerre, c’était un soldat exemplaire, ayant fait l’objet de trois citations et décoré de la Légion d’honneur. Les soldats l’aimaient comme leur père, leur ami et le vénéraient comme un saint et un héros. Il sera tué en Serbie le 9 mai 1917, en allant secourir un blessé.
Ce livret est:
Outre les prières usuelles, la messe, des extraits de la Bible, des cantiques, il comporte aussi des prières et des conseils propres aux combattants, quelle que soit la situation rencontrée. Ce livret devait incontestablement être un élément de réconfort et un guide pour nos anciens : dans le doute, la peur ou encore dans la victoire. Témoin d’un temps passé, il mérite d’être consulté et lu.
Pour le télécharger, cliquer sur le lien suivant :
En cours d’élaboration