Archives par mot-clé : Vierge Marie



NOTRE DAME DE FATIMA

Chers visiteurs, à deux jours du centenaire des apparitions de la Sainte Vierge à Fatima, nous vous proposons une journée avec Marie à Fatima – les mystères lumineux

Voici une proposition pour vivre une  journée de récollection en trois temps, à faire seul ou en groupe, avec Notre-Dame-de-Fatima, cent ans après les apparitions.

Découvrez l’histoire de l’apparition, priez le chapelet en méditant les mystères lumineux de la vie de Marie, et priez la Vierge en chantant.

Découvrez les trois temps, en cliquant sur:

http://croire.la-croix.com/Definitions/Sanctuaires/Le-mois-de-mai-avec-Marie/Une-journee-avec-Marie-a-Fatima-les-mysteres-lumineux



BEAU MOIS DE MARIE

Mois de Mai, mois de Marie ! 

31 prières à Notre-Dame

Que Notre Dame vous bénisse !

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Historique :

On se souvient qu’au XIII° siècle, le roi de Castille, Alphonse X le Sage, avait déjà associé dans un de ses chants la beauté de Marie et le mois de mai ; au siècle suivant, le bienheureux dominicain Henri Suso avait, durant l’époque des fleurs, l’habitude de tresser des couronnes pour les offrir, au premier jour de mai, à la Vierge. En 1549, un bénédictin, Seidl, avait publié un livre intitulé « Le mois de mai spirituel », alors que saint Philippe Néri exhortait déjà les jeunes gens à manifester un culte particulier à Marie pendant le moi de mai où il réunissait les enfants autour de l’autel de la Sainte Vierge pour lui offrir, avec les fleurs du printemps.

Un peu plus tard, les jésuites recommandaient que, la veille du premier mai, dans chaque appartement, on dressât un autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, devant quoi, chaque jour du mois, la famille se réunirait pour réciter quelques prières en l’honneur de la Sainte-Vierge avant de tirer au sort un billet qui indiquerait la vertu à pratiquer le lendemain (pour cela vous pouvez utiliser la liste des bonnes résolutions).

Cette dévotion mariale c’est perpétuée de part le monde jusqu’à aujourd’hui. Alors en ce mois de Mai, comme les enfants du moyen âge, offrons des fleurs et des prières à Marie !

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En cette année 2017 offrons un bouquet de 31 fleurs pour Marie !

Les 7 premiers jours de Mai nous vous invitons à faire mémoire des 7 joies de Marie. Puis chaque jour de nouvelles prières de saints amoureux de Marie, apporteront de nouvelles fleurs à notre Maman du Ciel.

Ajoutez chaque jour :

Un Notre Père puis un Je vous Salue Marie et un petit chant à Marie de votre choix.

Accédez aux prières en cliquant sur le lien suivant:

http://www.mariereine.com/mois-de-mai-mois-de-marie-4/

 



NEUVAINE A NOTRE DAME DE LOURDES

Cher visiteur, du 2 au 10 février se déroulera la neuvaine à Notre Dame de Lourdes, en préparation de sa fête qui sera célébrée le 11 février, pour commémorer les apparitions de la Sainte Vierge à Bernadette.

Pour participer à cette neuvaine, rendez vous sur le site du Sanctuaire de Notre Dame de Lourdes

http://fr.lourdes-france.org/prier/neuvaines/neuvaine-a-notre-dame?utm_source=Sanctuaire+Notre-Dame+de+Lourdes+-+Newsletter&utm_campaign=605c4942d8-INFORMATIONS_Sanctuaire_2_fevrier-2017&utm_medium=email&utm_term=0_0640ff8ddd-605c4942d8-226672817

 

L’IMMACULEE CONCEPTION

FETE DE L’IMMACULEE CONCEPTION

Depuis toujours, les Églises d’Orient fêtaient la pureté originelle de Marie, en une fête de « la Conception de la sainte Mère de Dieu » ou, plus exactement, la fête de la conception de Marie dans le sein de sainte Anne. Les Latins l’adoptèrent progressivement à partir du Xe siècle, mais ce n’est qu’en 1854 que Pie IX la définit comme un dogme de foi (1), fixant la date de sa célébration au 8 décembre. Quelques années plus tard, lorsque Bernadette Soubirous demande son nom à la dame de la grotte de Lourdes, celle-ci lui répond : « Je suis l’Immaculée conception« .

« Ave Maria par Glorious »

(1)    Dogme : Voir l’article de « l’Eglise Catholique de France »

http://www.eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/connaitre-et-aimer-dieu/marie/371604-la-fete-de-limmaculee-conception/



HOMELIE DU PAPE FRANCOIS DU 13 NOVEMBRE 2016

Evangéliser le présent « pour en faire un temps de salut pour tous »

A l’occasion de la Clôture du jubilé extraordinaire de la miséricorde, ce dimanche 13 novembre 2016, Le pape François a invité à évangéliser le présent : « L’Année sainte nous a stimulés d’une part à fixer le regard vers l’accomplissement du Royaume de Dieu, et de l’autre à construire un avenir sur cette terre, en travaillant à l’évangélisation du présent, pour en faire un temps de salut pour tous » a-t-il souligné. En conclusion, le Saint Père nous exhorte à prier la Vierge Marie et a demander son aide.

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Chers frères et sœurs, bonjour!

Le passage évangélique d’aujourd’hui (Lc 21,5-19) contient la première partie du discours de Jésus sur les derniers temps, dans la version de saint Luc. Jésus le prononce alors qu’il se trouve en face du Temple de Jérusalem. Et il part des expressions d’admiration des gens pour la beauté du sanctuaire et de ses décorations (cf. v. 5). Jésus dit alors : « Des jours viendront où il ne sera pas laissé pierre sur pierre de ce que vous voyez » (v. 6). Nous pouvons imaginer l’effet de ces paroles sur les disciples de Jésus ! Or, il ne veut pas offenser le Temple, mais faire comprendre, à eux et aussi à nous aujourd’hui, que les constructions humaines, même les plus sacrées, sont passagères et qu’il ne faut pas mettre en elles notre sécurité.

Combien de présumées certitudes de notre vie avons-nous tenues pour définitives, et se sont ensuite révélées éphémères ! D’autre part, combien de problèmes nous ont semblé sans issue et ont été ensuite surmontés !

Jésus sait qu’il y a ceux qui spéculent sur le besoin humain de sécurités. C’est pourquoi il dit : « Prenez garde de ne pas vous laisser tromper » (v. 8), et il met en garde contre les nombreux faux-messies qui se présenteraient (v. 9). Il y en a aujourd’hui aussi ! Et il ajoute de ne pas se laisser terroriser ni désorienter par les guerres, les révolutions et les calamités, parce qu’elles aussi font partie de la réalité de ce monde (cf. vv. 10-11). L’histoire de l’Eglise est riche en exemples de personnes qui ont affronté des tribulations et des souffrances terribles avec sérénité, parce qu’elles étaient conscientes d’être solidement dans les mains de Dieu. C’est un Père fidèle, c’est un Père plein de sollicitude, qui n’abandonne pas ses enfants. Dieu ne nous abandonne jamais ! Cette certitude doit habiter notre cœur : Dieu ne nous abandonne jamais !

Demeurer fermes dans le Seigneur, avec la certitude qu’il ne nous abandonne pas, marcher dans l’espérance, travailler à construire un monde meilleur, en dépit des difficultés et des événements tristes qui marquent notre vie personnelle ou collective, voilà ce qui compte vraiment ; c’est ce que la communauté chrétienne est appelée à faire pour aller au-devant du « Jour du Seigneur ».

C’est justement dans cette perspective que nous voulons situer l’engagement qui jaillit de ces mois pendant lesquels nous avons vécu avec foi le Jubilé extraordinaire de la Miséricorde, qui se conclut aujourd’hui dans les diocèses du monde par la fermeture des Portes saintes des églises cathédrales. L’Année sainte nous a stimulés d’une part à fixer le regard vers l’accomplissement du Royaume de Dieu, et de l’autre à construire un avenir sur cette terre, en travaillant à l’évangélisation du présent, pour en faire un temps de salut pour tous.

Dans l’Evangile, Jésus nous invite à avoir bien en tête et dans le cœur la certitude que Dieu conduit notre histoire et connaît la fin dernière des choses et des événements. Sous le regard miséricordieux du Seigneur, l’histoire se déploie avec son flux incertain et l’intrication du bien et du mal. Mais tout ce qui se passe est conservé en lui, notre vie ne peut pas se perdre parce qu’elle est dans ses mains.

Prions la Vierge Marie, afin qu’elle nous aide, à travers les événements joyeux et tristes de ce monde, à garder une espérance ferme dans l’éternité et dans le Royaume de Dieu. Prions la Vierge Marie pour qu’elle nous aide à comprendre en profondeur cette vérité : Dieu n’abandonne jamais ses enfants !

Angelus Domini nuntiavit Mariae…

 (Extrait d’un article publié sur https://fr.zenit.org/ )



FETE DE SAINTE MARIE REINE

La fête de « Marie Reine » a été instituée dans le sillage de l’Assomption. La fête de Marie Reine est en effet célébrée le 22 août par l’Eglise catholique latine, huit jours après la fête de l’Assomption. Elle est inscrite au calendrier liturgique comme « mémoire obligatoire ». C’est en la fête de la Maternité divine de la Vierge Marie, le 11 octobre 1954, que le pape Pie XII proclamait à Rome, par la Lettre encyclique « Ad Cæli Reginam », l’institution de la fête concernant sa royauté bienheureuse : les litanies chantaient depuis des siècles les louanges de Marie, « reine des anges, … reine des patriarches, … reine des apôtres … ».

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Extraits de l’Encyclique du Vénérable Pie XII

« Ad Cæli Reginam » §22-26, §36, §39

L’argument principal sur lequel se fonde la dignité royale de Marie, déjà évident dans les textes de la tradition antique et dans la sainte Liturgie, est sans aucun doute sa maternité divine. Dans les Livres Saints, en effet, on affirme du Fils qui sera engendré par la Vierge : « Il sera appelé Fils du Très-Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père, et il régnera dans la maison de Jacob éternellement et son règne n’aura pas de fin » (Luc. 1, 32, 33) ; en outre, Marie est proclamée « Mère du Seigneur » (Luc 1,43). Il s’en suit logiquement qu’elle-même est Reine, puisqu’elle a donné la vie à un Fils qui, dès l’instant de sa conception, même comme homme, était, à cause de l’union hypostatique de la nature humaine avec le Verbe, Roi et Seigneur de toutes choses. St Jean Damascène a donc raison d’écrire : « Elle est vraiment devenue la Souveraine de toute la création au moment où elle devint Mère du Créateur » (St. Jean Damascène, De fide orthodoxa) et l’Archange Gabriel lui-même peut être appelé le premier héraut de la dignité royale de Marie. Cependant la Bienheureuse Vierge doit être proclamée Reine non seulement à cause de sa maternité divine mais aussi parce que selon la volonté de Dieu, elle joua dans l’œuvre de notre salut éternel, un rôle des plus éminents.

Dans l’accomplissement de la Rédemption, la Très Sainte Vierge fut certes étroitement associée au Christ ; aussi chante-t-on à bon droit dans la Sainte Liturgie : « Sainte Marie, Reine du ciel et maîtresse du monde, brisée de douleur, était debout près de la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ ». Et un pieux disciple de saint Anselme pouvait écrire au Moyen-âge : « Comme… Dieu, en créant toutes choses par sa puissance, est Père et Seigneur de tout, ainsi Marie, en restaurant toutes choses par ses mérites, est la Mère et la Souveraine de tout : Dieu est Seigneur de toutes choses parce qu’il les a établies dans leur nature propre par son ordre, et Marie est Souveraine de toutes choses en les restaurant dans leur dignité originelle par la grâce qu’elle mérita ». En effet, « Comme le Christ pour nous avoir rachetés est notre Seigneur et notre Roi à un titre particulier, ainsi la Bienheureuse Vierge est aussi notre Reine et Souveraine à cause de la manière unique dont elle contribua à notre Rédemption, en donnant sa chair à son Fils et en l’offrant volontairement pour nous, désirant, demandant et procurant notre salut d’une manière toute spéciale ».

De ces prémisses, on peut tirer l’argument suivant : dans l’œuvre du salut spirituel, Marie fut, par la volonté de Dieu, associée au Christ Jésus, principe de salut, et cela d’une manière semblable à celle dont Ève fut associée à Adam, principe de mort, si « ce fut elle qui, exempte de toute faute personnelle ou héréditaire, bien que l’on peut dire de notre Rédemption qu’elle s’effectua selon une certaine « récapitulation en vertu de laquelle le genre humain, assujetti à la mort par une vierge, se sauve aussi par l’intermédiaire d’une vierge ; en outre on peut dire que cette glorieuse Souveraine fut choisie comme Mère de Dieu précisément « pour être associée à lui dans la rédemption du genre humain » ; réellement toujours étroitement unie à son Fils, l’a offert sur le Golgotha au Père Éternel, sacrifiant en même temps son amour et ses droits maternels, comme une nouvelle Ève, pour toute la postérité d’Adam, souillée par sa chute misérable » ; on pourra donc légitimement en conclure que, comme le Christ, nouvel Adam, est notre Roi parce qu’il est non seulement Fils de Dieu, mais aussi notre Rédempteur, il est également permis d’affirmer, par une certaine analogie, que la Sainte Vierge est Reine, et parce qu’elle est Mère de Dieu et parce que comme une nouvelle Ève, elle fut associée au nouvel Adam.

Sans doute, seul Jésus-Christ, Dieu et homme est Roi, au sens plein, propre et absolu du mot ; Marie, toutefois, participe aussi à sa dignité royale, bien que d’une manière limitée et analogique parce qu’elle est la Mère du Christ Dieu et qu’elle est associée à l’œuvre du Divin Rédempteur dans sa lutte contre les ennemis et au triomphe qu’il a obtenu sur eux tous. En effet par cette union avec le Christ Roi elle atteint une gloire tellement sublime qu’elle dépasse l’excellence de toutes les choses créées : de cette même union avec le Christ, découle la puissance royale qui l’autorise à distribuer les trésors du Royaume du Divin Rédempteur ; enfin cette même union avec le Christ est source de l’efficacité inépuisable de son intercession maternelle auprès du Fils et du Père.

Que tous s’efforcent selon leur condition de reproduire dans leur cœur et dans leur vie, avec un zèle vigilant et attentif, les grandes vertus de la Reine du Ciel, Notre Mère très aimante. Il s’ensuivra en effet que les chrétiens, en honorant et imitant une si grande Reine, se sentiront enfin vraiment frères et, bannissant l’envie et les désirs immodérés des richesses, développeront la charité sociale, respecteront les droits des pauvres et aimeront la paix. Que personne, donc, ne se croie fils de Marie, digne d’être accueilli sous sa puissante protection, si, à son exemple, il ne se montre doux, juste et chaste, et ne contribue avec amour à la vraie fraternité, soucieuse non de blesser et de nuire, mais d’aider et de consoler.

Vivement désireux que la Reine et Mère du peuple chrétien accueille ces vœux et réjouisse de sa paix la terre secouée par la haine et, après cet exil, nous montre à tous Jésus qui sera notre paix et notre joie pour l’éternité, à vous Vénérables Frères et à vos fidèles, Nous accordons de tout cœur, comme gage du secours du Dieu tout-puissant et comme preuve de notre affection, la Bénédiction Apostolique.



APPARITIONS MARIALES

Cher Visiteur,

En ce 15 août, jour de l’Assomption de Marie, c’est-à-dire sa montée au ciel sans avoir connu la corruption de la mort, nous vous proposons cet excellent site qui recense les apparitions mariales dans le monde,

2916_08_15_Apparitions de Marieen donnant les critères retenus par l’Eglise ainsi que sa position en regard de chacun des évènements.

http://www.spiritualite-chretienne.com/marie/priere_4.html