Archives de catégorie : Patrimoine



FABULEUSE RENAISSANCE DE LA BASILIQUE DE SAINT AVOLD (MOSELLE)

Chers visiteurs extérieurs à la Moselle, en ce mois de Marie bien entamé, nous avons le plaisir de relayer cette article publié sur le site ALETEIA

Crédit Sammy Billon / Zeppelin

« La basilique de Saint Avold revient de loin. Vouée à la destruction il y a deux ans, elle est aujourd’hui éclatante de beauté. Ce petit miracle est du à la persévérance du recteur des lieux, Olivier Riboulot, qui s’est battu avec toute la paroisse pour préserver ce sanctuaire marial consacré à Notre-Dame-de-Bon-Secours » …/…

crédit Wikiwand

Visionner le superbe diaporama en cliquant sur la photo ci-dessus,

et lire l’intégralité de la photo ci-contre:

 

 



LE SAINT SÉPULCRE, DESTRUCTIONS ET RECONSTRUCTIONS

« Le Saint-Sépulcre n’a jamais été reconstruit à l’identique »

Chers visiteurs, au lendemain de Pâques et une semaine après le tragique incendie de Notre Dame de Paris, voici un article sur les destructions et reconstructions successives de la Basilique du Saint Sépulcre de Jérusalem. Article préparé pour nous par

La basilique du Saint-Sépulcre est une des plus anciennes églises du monde. C’est en 313 que l’édit de tolérance, connu aussi sous le nom d’édit de Milan, ouvrit la possibilité pour les chrétiens de construire des lieux de culte dans l’empire romain.

La toute première église de la résurrection

Dès 324, à la demande de l’empereur Constantin, l’évêque de Jérusalem, Macaire, s’activait à libérer le tombeau de Jésus qu’Hadrien avait enfoui en 135 sous un temple consacré à Jupiter. En 335, tout entier orienté à la vénération du point zéro, le point GPS de la résurrection du Christ, était inauguré un des joyaux architecturaux de l’empire byzantin

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Le lieu le plus saint du christianisme – bien avant Notre -Dame de Paris – est ainsi : vivant, surprenant et partagé par des cultures différentes.

Quoiqu’il en soit des appréciations esthétiques, des millions de pèlerins y entrent chaque année, des millions de fidèles se tournent vers lui en cette semaine sainte parce qu’il est le seul endroit dans l’univers à prétendre être le point GPS de la résurrection de Jésus. C’est le plus incontestable de ses charmes !

Lire l’intégralité et accéder au diaporama associé en cliquant sur : http://www.terrasanta.net/tsx/lang/fr/p11587/Le-Saint-Spulcre-na-jamais-t-reconstruit–lidentique

 



LE MONDE DE LA BIBLE

Chers visiteurs, si vous ne connaissez pas encore la revue LE MONDE DE LA BIBLE, découvrez le grâce à l’offre promotionnelle de

« Le Monde de la Bible, est une revue d’histoire et de culture religieuse, qui explore la richesse de l’héritage biblique dans les trois religions monothéismes : le judaïsme, le christianisme et l’islam.  Une invitation à découvrir les fondements de notre civilisation avec la contribution des plus grands chercheurs, théologiens, exégètes et archéologues.

Les racines de la Bible plongent au cœur de l’Orient. Pendant trente siècles, des civilisations prodigieuses ont irradié l’Antiquité : Sumer et Babylone, l’Égypte, les Peuples de la Mer, les Assyriens, les Araméens, les Perses… La Bible en garde l’empreinte : d’autres voix se mêlent à la sienne, d’autres cultures se font entendre. Les sites archéologiques, les stèles, les bas-reliefs, les inscriptions et les fresques, nous parlent des relations passionnantes entre les peuples de la Bible et les civilisations antiques. Ce livre est un voyage sur les traces de nos lointaines origines ».

Pour plus de renseignement sur la promotion, cliquer sur l’image du  dernier numéro:

 

 

 



ARCHÉOLOGIE: LE SITE DE L’EXÉCUTION DE JEAN BAPTISTE RESTAURÉ

Chers visiteurs qui vous intéressez a l’archéologie, le site nous rapporte qu’il aura fallu pas moins de cinquante ans pour que les travaux de restauration du site de Machéronte (Jordanie) se terminent. L’objectif de ces travaux étant d’en faire un lieu archéologique et historique fiable ainsi qu’un lieu pour les pèlerins  …/…

« Le site, s’étendant sur environ 5 000 mètres carrés et surplombant la côte est de la mer Morte, abrite les restes d’un palais fortifié originellement hasmonéen puis hérodien. Alexandre Jannée (103 – 76 av. J.-C.), roi hasmonéen, en a été le bâtisseur mais la forteresse fut détruite vers -55 av. J.C. par un général de Pompée (106 – 48 av. J.-C.). Elle fut reconstruite et embellie – avec une ville en contrebas – par Hérode le Grand en 30 av. J.-C. qui en fit une demeure palatiale. Hérode Antipas, un des fils d’Hérode, qui régna de 4 av. J.-C. jusqu’à 39 ap. J.-C. en hérita. C’est sous son règne que Jean-Baptiste fut décapité selon la tradition chrétienne (évangiles de Saint Marc et de Saint Matthieu). L’historien judéo-romain Flavius Josèphe dans ses « Antiquités judaïques » (XVIII 5.2) complète cette version en rapportant que Machéronte aurait été le lieu où le saint fut emprisonné et où Salomé, fille de Hérodiade (seconde femme d’Hérode Antipas) dansa et en récompense demanda pour sa mère la tête de Saint Jean-Baptiste. Machéronte continua d’être occupée jusqu’en 71 ap. J.-C. au moment de la Grande Révolte juive où elle fut détruite par les Romains chassant les rebelles juifs qui y étaient installés « …/…

Lire l’intégralité de l’article en cliquant sur la photo ci-dessus.



QUAND LA BIBLE AIDE LES ARCHÉOLOGUES

 « Quand la Bible permet de trouver un site archéologique recherché depuis des décennies en Israël« 

Chers visiteurs, certaines personnes doutent de la véracité des textes de la Bible. Pour les aider dans leur démarche intellectuelles et pour vous, voici un reportage édifiant, déniché pour vous sur

      Info Chrétienne

« Même si vous contestez la fiabilité historique de la Bible, ce qui ne me convient pas, vous ne pouvez pas nier les centaines de synchronismes entre les données archéologiques et le texte biblique. »

Site de Hai

Après avoir passé le Jourdain, le peuple d’Israël, sous la direction de Josué, arrive à proximité de la ville d’Aï. Après une première défaite, Dieu va livrer entre les mains de son peuple le roi d’Aï et son pays. Et cette localité fait question depuis des décennies. Si les archéologues s’accordaient pour la situer en Cisjordanie, à Et-Tell, les dates de peuplement ne correspondaient pas aux dates bibliques. Le Docteur Stripling a donc décidé d’utiliser le texte biblique pour trouver l’emplacement exact.

Josué les fit partir, et ils allèrent se placer en embuscade entre Béthel et Aï, à l’occident d’Aï.
Josué 8:9

Stripling émet alors l’hypothèse d’une embuscade située à Wadi Sheban. Pour lui, l’emplacement d’Et-Tell ne pouvait fournir aucune solution d’embuscade. C’est ainsi que 3 archéologues ont pris leur sac à dos et se sont placés à Wadi Sheban. De là, il ne leur aura fallu que 5 minutes pour arriver au site d’Aï. Mais il aura fallu des années pour obtenir « des preuves convaincantes« .

« Il y a eu 14 années d’excavation difficile avec une interruption de 8 ans en raison de l’Intifada. Nous avons souffert de vandalisme constant. Mais nous avons persévéré et fait un excellent travail d’excavation. »

I

Lire la suite de l’article sur: https://www.infochretienne.com/quand-la-bible-permet-de-trouver-un-site-archeologique-recherche-depuis-des-decennies-en-israel/?mc_cid=b3e1d94a51&mc_eid=38a59c6904



VIE ET MARTYR DE SAINT SÉBASTIEN

Chers visiteurs de Moselle, dans de nombreuses églises et sur les calvaires de nos routes, la statue de saint Sébastien est souvent représentée auprès de saint Roch, vénéré contre les épidémies. Mais pourquoi saint Sébastien, et quelle est son histoire ?

      Calvaire de Halling les Boulay

Saint Sébastien naît à Narbonne vers 260 d’un père  gallo-romain et d’une mère citoyenne de Milan, tous deux chrétiens. Il s’engage dans l’armée et, apprécié par les co-empereurs Maximien (244 – 310) et Dioclétien (244 – 311), il est nommé commandant de la première cohorte de la garde prétorienne. Il profitait ainsi de son prestige de centurion primipile pour affermir dans leur foi ses coreligionnaires chrétiens condamnés au martyr. Il intervint de même lorsque les frères jumeaux Marcellin et Marc, cédant aux supplications de leurs parents, épouses et enfants, allaient sacrifier aux idoles et renier ainsi leur foi chrétienne. Impressionnés par les paroles du Saint, ils allèrent alors joyeusement au supplice, et leurs parents se convertirent aussitôt, ainsi que leur gardien Nicostrate dont l’épouse Zoé, muette venait d’être guérie par l’intercession du Saint.

Averti de ce miracle, le préfet de Rome Chromace, très malade, fit venir à son chevet Saint Sébastien et guéri, se convertit aussitôt, ainsi que son fils Tiburce et toute leur maison, à la vraie foi.

Le préfet Fabien fit exécuter immédiatement tous ces nouveaux convertis, baptisés par le prêtre Polycarpe, et dénonça à Dioclétien comme chrétien Saint Sébastien, le propre chef de sa garde. L’empereur, furieux par ce qu’il considérait comme une trahison, le fit attacher à un poteau et percer de flèches par ses propres soldats. Bien que criblé de traits, au point de ressembler à un hérisson, il n’en mourut point, et une pieuse veuve chrétienne – la future Sainte Irène de Rome – le soigna et le guérit de ses multiples blessures.

A peine rétabli, Saint Sébastien se rendit au Palais et reprocha aux deux empereurs l’injustice et la dureté de leur persécution envers les chrétiens. Il fut immédiatement arrêté, battu à mort puis son corps fut jeté dans l’égout principal de Rome, le Cloaca Maxima. Mais Sainte Lucine, avertie par une vision du Saint, retrouva son corps et le déposa dans les catacombes de la Via Appia. Sur celles-ci, restaurées par le Pape Saint Damase (300 – 384), l’empereur Constantin (274 – 337) fit ériger une basilique, d’abord dédiée aux Saints Pierre et Paul, puis à Saint Sébastien. Mais devant les menaces d’invasions sarrasines, ses reliques furent transférées à Saint Pierre aux Liens.

Dans la mythologie grecque la peste est représentée par des flèches tirées par le dieu Apollon, si bien que par analogie à son supplice, la sagittation, dont il réchappa, Saint Sébastien deviendra le saint thaumaturge imploré pour se protéger des épidémies de peste très fréquentes au Moyen Age. De nombreuses églises obtinrent des fragments de ses reliques, mais la translation la plus importante fut celle obtenue par l’abbé Hilduin de Saint Denis pour l’abbaye Saint Médard de Soisson mais ces reliques disparurent pendant la destruction de l’église à la Révolution Française.

Saint Sébastien est fêté le 20 janvier et son attribut est une flèche lorsqu’il n’est pas représenté percé par celles-ci. Il est le Saint Patron de nombreuses villes d’Europe et comme saint militaire, celui des fantassins et des confréries archères.



LES ÉGLISES TAILLÉES DANS LE ROC DE LALIBELA

Chers visiteurs, connaissez vous le site de Lalibela en Ethiopie ? Si ce n’est le cas, voici un reportage sur les travaux herculéens que peuvent exécuter les hommes pour l’amour de Dieu.

Les églises rupestres de Lalibela sont onze églises monolithiques taillées dans la roche. Elles se trouvent dans la ville de Lalibela en Éthiopie.

Eglise Saint Georges

La tradition dit qu’elles furent taillées au début du XIIIe siècle sur l’ordre du roi Gebre Mesqel Lalibela qui voulait permettre aux chrétiens orthodoxes éthiopiens d’avoir sur leur terre leur propre Jérusalem, les pèlerinages vers la ville sainte étant de plus en plus difficiles à cause de l’expansion de l’islam. L’aménagement du site a été conçu pour que sa topographie corresponde à une représentation symbolique de la Terre sainte, d’où son appellation de « Jérusalem Éthiopienne »

Accéder aux photos des églises et aux articles publiés par l’Unesco et Géo en cliquant sur les liens suivants:

https://whc.unesco.org/fr/list/18

https://www.geo.fr/histoire/ethiopie-lalibela-ville-sainte-des-chretiens-orthodoxes-160952

 



LE SITE DE LA CHAPELLE DE WELLING EN MOSELLE

Chers visiteurs de Moselle et d’ailleurs, nous vous proposons aujourd’hui un peu de tourisme religieux et patrimonial grâce au dernier reportage de notre site ami 

Située située sur la commune de Denting en moselle, la Chapelle de Welling menaçait de tomber en ruine. C’était sans compter sur une équipe de bénévoles réunis en association de préservation du site. Cette dernière,  présidée par M. Roland Hamman, a entrepris de restaurer cet édifice chargé d’histoire.

Après quelques images nous montrant la chapelle sous divers angles avant et après restauration, M. Hamman nous raconte cette aventure et nous met en lumière les différents aspects du site : Chapelle, Ossuaire, Chemin de Croix, Couronne de Saint Henri, Ermitage… A présent que la restauration de la Chapelle touche à sa fin, il convient de faire vivre ce lieu afin d’en assurer la pérennité. Suivez le guide… !



RECONNAÎTRE LA STATUE D’UN APÔTRE OU D’UN SAINT

Chers visiteurs, voici un intéressant article déniché pour vous sur ALETEIA.

« Comment reconnaître la statue d’un apôtre ou d’un saint ? »

Les attributs utilisés dans l’iconographie chrétienne permettent de remonter à leur identité et l’objet de leur vénération. Des statues d’apôtres ou de saints on en trouve partout, enchâssées dans l’architecture d’un édifice ou figurant sur une représentation artistique. Toutes ces statues et représentations sont le signe d’une vénération particulière liée à une époque, à un événement, ou au désir des fidèles de rendre hommage et perpétuer le souvenir de leurs saints et martyrs, de pouvoir compter sur leur intercession auprès de Dieu en priant à leurs pieds.

 

                                                Les quatre évangélistes

Pour faciliter leur identification, celles-ci sont généralement accompagnées d’attributs — un objet, un animal, une plante — qui les caractérisent : la palme et la couronne pour les martyrs, la mitre et la crosse pour un évêque, le livre des Évangiles pour les docteurs de l’Église, un modèle d’église pour les saints fondateurs… qui créaient de vrais liens entre les fidèles et les œuvres d’art.

Ces statues et représentations se sont multipliées à la fin du Moyen Âge, et pour ne pas risquer qu’on les confonde ou que leur détérioration soit trop importante pour les reconnaître, ce n’est plus un attribut qui est ajouté mais parfois deux. Cela se complique quand le choix est varié, c’est-à-dire qu’une même personne est représentée avec tel ou tel attribut représentatif de telle ou telle situation rencontrée dans leur vie. La liste à mémoriser est plus longue. Mais quelle joie de reconnaître au premier coup d’œil la représentation d’un saint. Aleteia vous livre un petit mémo pour reconnaître les apôtres…/…

Pour consulter le mémo cliquer sur le lien suivant :

https://fr.aleteia.org/2018/03/06/comment-reconnaitre-la-statue-dun-apotre-ou-dun-saint-en-se-promenant/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr



RÉOUVERTURE DU MONASTÈRE SAINT JEAN BAPTISTE, PRES DU JOURDAIN

Chers visiteurs, le Patriarcat Grec-Orthodoxe de Jérusalem a annoncé que le monastère historique de Saint-Jean-Baptiste, situé dans la région de Bethabara, à l’est de Jéricho, sur la rive ouest du Jourdain, a rouvert en tant que sanctuaire orthodoxe depuis le lundi 29 janvier.

Selon l’Évangile et la tradition de l’Église, cette région aurait été le lieu exact du baptême de notre Seigneur Jésus-Christ par le saint Précurseur et Baptiste Jean, ainsi que le point de passage du Jourdain par les Israélites quand ils furent conduits par Josué et sauvés de leurs ennemis. On sait aussi que la grotte où vivait saint Jean-Baptiste fut conservée à proximité dès les premières décennies de l’histoire chrétienne. Le monastère saint-Jean-Baptiste se trouve sur ce site depuis l’époque des grandes constructions effectuées par sainte Hélène en Terre Sainte (entre 325 et 335). Le monastère a été détruit et reconstruit plusieurs fois au cours des siècles. Actuellement, le monastère saint de Saint-Jean-Baptiste est en cours de rénovation par le patriarcat.

Lire aussi l’article diffusé sur : http://www.terrasanta.net/tsx/lang/fr/p10596/Le-monastre-St-Jean-Baptiste-au-Jourdain-rouvre-ses-portes