Archives de catégorie : Dossiers



PETIT SOURIRE DOMINICAL

La barre du chiffre sept !

Encore aujourd’hui, de nombreuses personnes, en écrivant le chiffre 7 utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre. La plupart des typographies l’ont fait disparaître aujourd’hui. Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours ?

Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :

Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï, et que les 10 commandements lui furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut, à haute et forte voix, chaque commandement.

Arrivé au septième commandement, il annonça :  » Tu ne désireras pas la femme de ton prochain ».

Et là… de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant : « Barre le sept, barre le sept, barre le sept !« 



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Un jardinier est embauché par un prêtre pour tondre la pelouse chaque semaine. Le religieux demande :

– Bonjour, mon fils, êtes-vous croyant ?

– Euh !! Oui, je connais un peu Jésus…

– Bien, mais les saints qui l’accompagnaient, vous les connaissez ?

– Je ne m’en rappelle plus !

– Bien, je vais vous en citer deux : Pierre et Jean.

Le prêtre s’en va et le jardinier décide pour s’en rappeler de les noter sur sa tondeuse. Un deuxième prêtre arrive et demande :

– Bonjour mon fils, connaissez-vous les saints qui ont accompagné Jésus ?

– Oui, je connais Pierre et Jean…

– Vous n’en connaissez pas d’autres ?

– Euh, si ! Black et Decker !



POURQUOI JÉSUS EST-IL MORT SUR LA CROIX ?

A l’approche du Triduum pascal et de la Passion du Christ, posons-nous cette question :

Pourquoi Jésus est-il mort sur la croix ?

Voici la réponse du Père Philippe LOUVEAU

Le récit de la passion du Christ et de sa mort sur la croix est bouleversant. Pourquoi Jésus est-il mort ? C’est une exclamation qui peut s’élever devant cet évènement violent dans les faits. Plusieurs réponses sont possibles, et présentes de fait dans l’Ecriture.

Il est mort… parce qu’on l’a tué !

Jésus n’a pas voulu mourir et a même demandé à son Père que « cette coupe s’éloigne » de lui. Il est mort parce qu’on l’a tué. Les évangiles montrent comment sa parole et son comportement avaient fini par faire de Jésus un gêneur. «La lumière est venue dans le monde, et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.» (Jean 3, 19).

Certains avaient des motifs religieux d’en vouloir au Christ : ses prétentions leur paraissaient incompatibles avec la Loi. Jean note très explicitement : «C’est pourquoi les Juifs cherchaient à faire mourir Jésus, car non seulement il violait le repos du sabbat, mais encore il disait que Dieu était son propre Père, et il se faisait ainsi l’égal de Dieu» (Jean 5,18).

D’autres avaient des motifs plus stratégiques ou politiques. Les autorités en place ont dû profiter de l’occasion pour dissuader le peuple de se révolter contre l’occupant. Pour obtenir de l’administration romaine une sentence de mort à l’encontre de Jésus, elles l’ont présenté comme prétendant à la royauté et donc ennemi de l’empereur (Jean 19,12). Jésus subit donc le supplice romain de la crucifixion.

Lire la suite de l’article en cliquant sur le lien suivant :

http://jesus.catholique.fr/questions/pourquoi-jesus-est-il-mort-sur-la-croix/pourquoi-jesus-est-il-mort-sur-la-croix/#.WM68jfetv_I.email



CHEMIN DE CROIX

Chaque vendredi durant le Carême, de nombreuses paroisses proposent un Chemin de croix pour méditer la Passion du Christ jusqu’au Vendredi saint.

Nous vous proposons ici, un chemin de croix conçu en 2016, pour le rassemblement de la famille du Prado (*) de France à Lourdes.

Ce chemin pourra sûrement soutenir la prière de tous ceux qui ne peuvent se rendre dans une église, mais il est aussi destiné à tous.

Parcourez le et méditez la Passion de Jésus en cliquant sur le lien suivant :

http://www.leprado-france.fr/wp-content/uploads/2016/10/cheminde-croix-pradosien.pdf

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(*) http://www.150ansduprado.fr/histoire-hp.html



SERMONS POUR LE CARÊME

Cher visiteur, en ce début de Carême, voici un intéressant document d’archive qui tombe à point nommé :

« Les sermons pour tous les jours du Carême »,

par le RP BOURDALOUE, de la Compagnie de Jésus, prédicateur ordinaire du Roi Louis XIV.

Cliquer sur le lien suivant pour accéder aux textes :

https://books.google.fr/books?id=j1xmAAAAcAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false



LA BIBLE EN SES TRADITIONS

La Bible en ses Traditions est un projet de l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem, qui a l’intention de mettre en ligne une édition révisée de la Bible, associant les versions hébraïque, grecque, araméenne et latine de l’Écriture sainte et proposant une annotation du texte, du contexte et de sa réception dans les différentes traditions religieuses et culturelles.

Le mercredi 7 décembre, les Rencontres du Figaro accueilleront Michael Lonsdale et le frère dominicain Olivier-Thomas Venard, salle Gaveau pour une conférence exceptionnelle. Le frère Olivier-Thomas Venard, vice-directeur de l’École biblique est à la tête de cet ambitieux projet…/…

Lire l’intégralité de l’article sur : http://www.infocatho.fr/la-bible-en-ses-traditions-un-projet-de-lecole-biblique-de-jerusalem/

Visiter aussi le site bibletraditions.org: https://scroll.bibletraditions.org/


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PAUVRETE – RAPPORT 2016 DU SECOURS CATHOLIQUE

Le rapport 2016 du Secours Catholique-Caritas France, a été récemment diffusé. Etabli à partir de l’analyse des situations des personnes rencontrées durant l’année 2015, ce rapport nous engage à mieux écouter les voix de la pauvreté aujourd’hui en France.

Mettant en évidence un certain nombre d’évolutions importantes, de 2000 à 2015, ce document rappelle d’abord que la pauvreté ne faiblit pas. Le nombre de familles en situation de précarité avec des enfants – familles monoparentales surtout, mais pas uniquement – continue d’augmenter. Les plus pauvres d’entre elles expriment plus que d’autres des besoins d’écoute : la pauvreté n’est pas seulement matérielle et l’isolement est de plus en plus durement ressenti. De nouvelles familles, plus proches du seuil de pauvreté, n’arrivent plus à joindre les deux bouts entre maigres ressources et dépenses contraintes croissantes. Enfin, la proportion d’étrangers en situation de précarité rencontrés par le Secours Catholique augmente fortement alors que leur nombre reste quasiment stable en France. Cela confirme leur précarisation croissante dans notre pays.

L’éducation, la formation et l’emploi restent les leviers majeurs contre la pauvreté. Cependant, les emplois mal rémunérés, à horaires souvent réduits et contraints, sont trop souvent synonymes de précarité. Alors que les jeunes ont un niveau de formation de plus en plus élevé, cela ne suffit plus pour trouver un emploi. La formation professionnelle n’atteint toujours pas ceux qui en ont le plus besoin. Pour les étrangers, la difficulté à faire reconnaître et valoriser leurs diplômes freine l’intégration et l’amélioration de leurs conditions de vie…/…

Lire l’intégralité du rapport sur : http://www.secours-catholique.org/sites/scinternet/files/publications/rs15couv-bd.pdf


Pauvreté : le constat accablant du Secours… par francetvinfo



RAPPORT 2016 DE L’AED SUR LES LIBERTES RELIGIEUSES

Le Rapport 2016 de l’AED (Aide à l’Eglise en Détresse) sur la liberté religieuse dans le monde, publié ce 15 novembre, conclut sur une dégradation générale de la situation et dénonce un intégrisme religieux plus violent que jamais, qui entraine la mort, la destruction, le déplacement des populations et l’instabilité des pays à des niveaux sans précédent.

Sur les 196 pays étudiés, 38 ont montré des preuves indubitables de violations importantes de la liberté religieuse. Parmi eux, 14 ont vu leur situation s’aggraver nettement depuis 2014, date du dernier Rapport, 21 n’ont pas évolué (mais pour certains comme la Corée du Nord, leur situation pouvait difficilement empirer…), et seuls 3 ont vu leur situation s’améliorer (Bhoutan, Égypte, Qatar)…/…Lire la totalité de l’article sur  http://www.aed-france.org/communique-rapport-2016-liberte-religieuse-proie-a-hyper-extremisme-islamiste/

 La totalité du Rapport 2016 (les 196 fiches, la carte de l’intolérance religieuse, les conclusions du Rapport…) sont disponibles sur le site www.liberte-religieuse.org. Un ouvrage avec une sélection de 20 pays a également été édité par l’AED (192 pages, 13 euros frais de port compris.)



VIGILANCE « FAUX DIACRE »

Suite à plusieurs questions et plaintes, je vous informe qu’un certain Monsieur Christophe MICK, se présente comme diacre permanent auprès de paroissiens et profite de leur accueil pour leur demander un soutien financier.

Bien évidemment, Monsieur Christophe MICK n’est pas diacre et de surcroît n’a aujourd’hui ni engagement, ni responsabilité particulière dans l’Eglise.

Je vous invite à être prudent et à informer les personnes qui pourraient être en contact avec lui.

Si vous êtes témoin de tels agissements de sa part, veuillez m’en informer.

 Abbé Jean Christophe MEYER

Vicaire général et modérateur de la curie

Contact : jc.meyer@catholique-metz.fr



FETE DE SAINTE MARIE REINE

La fête de « Marie Reine » a été instituée dans le sillage de l’Assomption. La fête de Marie Reine est en effet célébrée le 22 août par l’Eglise catholique latine, huit jours après la fête de l’Assomption. Elle est inscrite au calendrier liturgique comme « mémoire obligatoire ». C’est en la fête de la Maternité divine de la Vierge Marie, le 11 octobre 1954, que le pape Pie XII proclamait à Rome, par la Lettre encyclique « Ad Cæli Reginam », l’institution de la fête concernant sa royauté bienheureuse : les litanies chantaient depuis des siècles les louanges de Marie, « reine des anges, … reine des patriarches, … reine des apôtres … ».

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Extraits de l’Encyclique du Vénérable Pie XII

« Ad Cæli Reginam » §22-26, §36, §39

L’argument principal sur lequel se fonde la dignité royale de Marie, déjà évident dans les textes de la tradition antique et dans la sainte Liturgie, est sans aucun doute sa maternité divine. Dans les Livres Saints, en effet, on affirme du Fils qui sera engendré par la Vierge : « Il sera appelé Fils du Très-Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père, et il régnera dans la maison de Jacob éternellement et son règne n’aura pas de fin » (Luc. 1, 32, 33) ; en outre, Marie est proclamée « Mère du Seigneur » (Luc 1,43). Il s’en suit logiquement qu’elle-même est Reine, puisqu’elle a donné la vie à un Fils qui, dès l’instant de sa conception, même comme homme, était, à cause de l’union hypostatique de la nature humaine avec le Verbe, Roi et Seigneur de toutes choses. St Jean Damascène a donc raison d’écrire : « Elle est vraiment devenue la Souveraine de toute la création au moment où elle devint Mère du Créateur » (St. Jean Damascène, De fide orthodoxa) et l’Archange Gabriel lui-même peut être appelé le premier héraut de la dignité royale de Marie. Cependant la Bienheureuse Vierge doit être proclamée Reine non seulement à cause de sa maternité divine mais aussi parce que selon la volonté de Dieu, elle joua dans l’œuvre de notre salut éternel, un rôle des plus éminents.

Dans l’accomplissement de la Rédemption, la Très Sainte Vierge fut certes étroitement associée au Christ ; aussi chante-t-on à bon droit dans la Sainte Liturgie : « Sainte Marie, Reine du ciel et maîtresse du monde, brisée de douleur, était debout près de la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ ». Et un pieux disciple de saint Anselme pouvait écrire au Moyen-âge : « Comme… Dieu, en créant toutes choses par sa puissance, est Père et Seigneur de tout, ainsi Marie, en restaurant toutes choses par ses mérites, est la Mère et la Souveraine de tout : Dieu est Seigneur de toutes choses parce qu’il les a établies dans leur nature propre par son ordre, et Marie est Souveraine de toutes choses en les restaurant dans leur dignité originelle par la grâce qu’elle mérita ». En effet, « Comme le Christ pour nous avoir rachetés est notre Seigneur et notre Roi à un titre particulier, ainsi la Bienheureuse Vierge est aussi notre Reine et Souveraine à cause de la manière unique dont elle contribua à notre Rédemption, en donnant sa chair à son Fils et en l’offrant volontairement pour nous, désirant, demandant et procurant notre salut d’une manière toute spéciale ».

De ces prémisses, on peut tirer l’argument suivant : dans l’œuvre du salut spirituel, Marie fut, par la volonté de Dieu, associée au Christ Jésus, principe de salut, et cela d’une manière semblable à celle dont Ève fut associée à Adam, principe de mort, si « ce fut elle qui, exempte de toute faute personnelle ou héréditaire, bien que l’on peut dire de notre Rédemption qu’elle s’effectua selon une certaine « récapitulation en vertu de laquelle le genre humain, assujetti à la mort par une vierge, se sauve aussi par l’intermédiaire d’une vierge ; en outre on peut dire que cette glorieuse Souveraine fut choisie comme Mère de Dieu précisément « pour être associée à lui dans la rédemption du genre humain » ; réellement toujours étroitement unie à son Fils, l’a offert sur le Golgotha au Père Éternel, sacrifiant en même temps son amour et ses droits maternels, comme une nouvelle Ève, pour toute la postérité d’Adam, souillée par sa chute misérable » ; on pourra donc légitimement en conclure que, comme le Christ, nouvel Adam, est notre Roi parce qu’il est non seulement Fils de Dieu, mais aussi notre Rédempteur, il est également permis d’affirmer, par une certaine analogie, que la Sainte Vierge est Reine, et parce qu’elle est Mère de Dieu et parce que comme une nouvelle Ève, elle fut associée au nouvel Adam.

Sans doute, seul Jésus-Christ, Dieu et homme est Roi, au sens plein, propre et absolu du mot ; Marie, toutefois, participe aussi à sa dignité royale, bien que d’une manière limitée et analogique parce qu’elle est la Mère du Christ Dieu et qu’elle est associée à l’œuvre du Divin Rédempteur dans sa lutte contre les ennemis et au triomphe qu’il a obtenu sur eux tous. En effet par cette union avec le Christ Roi elle atteint une gloire tellement sublime qu’elle dépasse l’excellence de toutes les choses créées : de cette même union avec le Christ, découle la puissance royale qui l’autorise à distribuer les trésors du Royaume du Divin Rédempteur ; enfin cette même union avec le Christ est source de l’efficacité inépuisable de son intercession maternelle auprès du Fils et du Père.

Que tous s’efforcent selon leur condition de reproduire dans leur cœur et dans leur vie, avec un zèle vigilant et attentif, les grandes vertus de la Reine du Ciel, Notre Mère très aimante. Il s’ensuivra en effet que les chrétiens, en honorant et imitant une si grande Reine, se sentiront enfin vraiment frères et, bannissant l’envie et les désirs immodérés des richesses, développeront la charité sociale, respecteront les droits des pauvres et aimeront la paix. Que personne, donc, ne se croie fils de Marie, digne d’être accueilli sous sa puissante protection, si, à son exemple, il ne se montre doux, juste et chaste, et ne contribue avec amour à la vraie fraternité, soucieuse non de blesser et de nuire, mais d’aider et de consoler.

Vivement désireux que la Reine et Mère du peuple chrétien accueille ces vœux et réjouisse de sa paix la terre secouée par la haine et, après cet exil, nous montre à tous Jésus qui sera notre paix et notre joie pour l’éternité, à vous Vénérables Frères et à vos fidèles, Nous accordons de tout cœur, comme gage du secours du Dieu tout-puissant et comme preuve de notre affection, la Bénédiction Apostolique.