Tous les articles par administrateur2nied



CODEX N°7

Chers visiteurs, le Codex n°7 est disponible avec, au sommaire :

  • Dossier : Les apocryphes, retour d’une littérature oubliée. Les clefs pour comprendre ce que nous apprennent ces textes des premières communautés chrétiennes. Sous la direction de Régis Burnet, professeur à l’université catholique de Louvain.
  • La Garde suisse à l’heure du terrorisme. Comment l’armée du pape évolue.
  • Cahier pédagogique : 1968, une année survoltée. Les symptômes d’une crise de croissance du monde développé
  • « L’embryon est au centre de notre anthropologie ». Entretien avec Marie-Hélène Congourdeau, spécialiste du monde byzantin
  • Albi, la cité des seigneurs-évêques. Escapade dans le Languedoc.

Pour feuilleter le CODEX #07, cliquer sur :

https://revue-codex.fr/feuilleter-codex-07/

 

PROUESSE DE L’HÔPITAL « BAMBINO GESU » DU VATICAN

Rayenne et Djihene, deux petites jumelles siamoises algériennes séparées avec succès en octobre dernier à l’hôpital pédiatrique du Bambino Gesù (« l’Enfant Jésus ») qui dépend du Vatican, « vont bien et peuvent rentrer chez elles », indique un communiqué de l’hôpital publié le 10 mai 2018.

Le 14 mai, les jumelles, qui ont passé un an et demi en Italie et qui prononcent même quelques mots en italien (« mère », « père », « bonjour », « eau »), repartiront dans leur ville d’origine, Oum El Bouaghi, dans le nord-est de l’Algérie. Les petites-filles seront prises en charge au centre médical de Madaura, à 100 km de  chez elles.

Après les derniers contrôles, et en l’honneur de leurs deux ans, une fête a été organisée à l’hôpital Bambino Gesù. Mariella Enoc, présidente de l’hôpital, et le prof. Alessandro Inserra, directeur du département de chirurgie (sous la direction duquel une équipe pluridisciplinaire d’environ 40 personnes a réalisé l’opération de séparation) sont venus embrasser les jumelles.

« Elles nous manqueront beaucoup », a dit le prof. Inserra: « Nous renvoyons les petites-filles chez elles dans un état stable. À l’avenir, elles devront être suivies, car elles présentent une asymétrie importante de la cage thoracique : c’est leur plus gros problème. Nous attendons qu’elles reviennent au Bambino Gesù dans environ une année. »

Le parcours des petites-filles sera complexe : dans les prochaines années, elles devront subir d’autres interventions correctives. Elles présentent « un certain retard » en ce qui « concerne la capacité de marcher », a poursuivi le professeur, mais « aujourd’hui, elles parviennent à maintenir leur position droite et à marcher un peu ». « Avec le temps, a-t-il conclu, elles seront en mesure de récupérer. »

Le père des petites Algériennes, Athmane Mebarki, a remercié « l’hôpital, les médecins et les infirmières qui ont toujours été proches ». « Depuis le jour de notre arrivée jusqu’à aujourd’hui beaucoup de choses ont changé », a-t-il dit. Maintenant, les filles se lèvent toutes seules, elles ont pris du poids et vont bien. Beaucoup mieux qu’avant. Jusqu’à récemment, ma femme et moi n’imaginions pas vraiment ce que l’avenir nous réservait, mais maintenant, il est temps de rentrer chez nous. »

Quelques semaines après l’opération de séparation, les petites-filles ont été transférées au siège du Bambino Gesù à Palidoro pour de la kinésithérapie et une rééducation neuromotrice. Les parents et les enfants ont été accueillis à la Casa Ronald, l’un des établissements qui accueillent les familles de patients admis à l’hôpital du Saint-Siège.



PETIT SOURIRE DOMINICAL

« Partage« 

« Un jésuite  et un franciscain dînent ensemble. Au dessert, arrivent deux parts de gâteau. Le jésuite se sert en premier et prend le morceau le plus gros. Le franciscain proteste : “Saint François nous a appris que nous devons prendre le morceau le plus petit.” Et le jésuite réplique : “De quoi te plains-tu, mon frère ? C’est ce que tu as reçu !” ».



TERRA SANTA NEWS DU 11 MAI 2018

Chers visiteurs, voici le dernier numéro de Terra Santa News, préparé pour nous par

Christian Media Center

Au sommaire:

  • LES CHRÉTIENS CÉLÈBRENT L’ASCENSION DU SEIGNEUR A JÉRUSALEM
  • LA CÉLÉBRATION DE LA DÉCOUVERTE DE LA SAINTE-CROIX
  • LE RITUEL PARTICULIER POUR LA FÊTE DE SAINT GEORGES « PRINCE DEI MARTYRS »
  • UN NOUVEAU CENTRED’ ÉVANGÉLISATION POUR LES JEUNES A HAIFA
  • LE MAILLOT DU FOOTBALLEUR ITALIEN ASTORI AU SAINT-SÉPULCRE

NOUS VOUS SOUHAITONS UNE BONNE BALADE EN TERRE SAINTE



HOMÉLIE DOMINICALE

Septième dimanche de  Pâques B

13 mai 2018

 (Homélie du père Charles André Sohier)

Dans l’évangile de ce dimanche intermédiaire, entre Ascension et Pentecôte, nous avons un écho de la longue prière de Jésus juste avant son arrestation au jardin de Gethsémani. Et cette prière, elle est pour ses disciples, et donc pour nous aussi. Il prie pour que, comme le Père et comme lui, nous soyons « saints ».

  • Une incandescence inimaginable: Pour approcher un peu ce que cela signifie, une image physique peut nous aider. Les savants calculent, aujourd’hui, que l’univers, dans son fameux « big bang », a commencé par des températures supérieures à 100.000 milliards de milliards de degrés Kelvin. Or, personne n’a actuellement la moindre idée de ce qui peut se produire dans la matière à des températures pareilles. De même, personne ne peut se faire la moindre idée de ce qu’est réellement Dieu : quand nous essayons de l’aborder, tout brûle, tout flambe. Dieu est saint, Dieu est tout-autre ! Cette température fantastique qui règne au cœur de Dieu, Jésus nous en a dévoilé un aspect. Elle est celle de l’amour. Trois personnes qui ne font qu’un, dans l’amour. « Garde mes disciples dans la fidélité à ton Nom… pour qu’ils soient un comme nous-mêmes. » Dieu est une communauté de trois personnes tellement unies entre elles qu’elles ne font plus qu’un. C’est l’idéal même de tout amour véritable. Toute l’action de Jésus a été d’amener ses disciples au seul lieu où l’amour est totalement vrai, totalement saint, c’est-à-dire sans la moindre parcelle d’égoïsme ou de repli sur soi. Réaliser un peu d’amour dans nos relations humaines, dans notre vie de famille, dans notre travail professionnel, dans nos engagements, c’est concrétiser ici-bas un peu de la « température fantastique » qui est le secret de la Trinité. Et c’est entrer dans sa joie.
  • Une joie sans mélange: La joie de Jésus est profonde, continue, indestructible. Elle est le bonheur d’aimer et d’être aimé du Père. C’est l’allégresse de l’Esprit Saint. Joie paradoxale, puisque Jésus l’exprime au moment où il pressent sa fin imminente. Mais il meurt d’amour du Père et de ses frères : comment pourrait-il en être triste ? La liesse chrétienne, en prolongation de celle du Christ, vient de se découvrir aimé sans limite et de commencer à aimer en retour. En Jésus, le tout-autre se fait le tout-proche, le saint se fait le confident, l’inaccessible flamme, qui brûlerait tout, se fait douce présence. Si nous prenions conscience de cette dignité extraordinaire que nous procure le baptême, nul ne pourrait ravir notre joie. Il y a, pour le chrétien, un « devoir » d’être joyeux. Et c’est excellent pour la santé, la nôtre et celle des autres !

Laissons donc Jésus nous donner part à l’incandescence même de l’Amour qui unit les trois personnes divines entre elles. Laissons-nous travailler par l’Esprit qui veut transformer notre minerai plein de gangue terreuse en or pur d’un amour et d’une joie sans mélange.



LECTURES DOMINICALES COMMENTEES

Dimanche 13 mai 2018

Septième dimanche de Pâques

1ère LECTURE

Livre des Actes des Apôtres 1,15-17.20a.20c-26.

En ces jours-là, Pierre se leva au milieu des frères qui étaient réunis au nombre d’environ cent vingt personnes, et il déclara : « Frères, il fallait que l’Écriture s’accomplisse. En effet, par la bouche de David, l’Esprit Saint avait d’avance parlé de Judas, qui en est venu à servir de guide aux gens qui ont arrêté Jésus : ce Judas était l’un de nous et avait reçu sa part de notre ministère. Il est écrit au livre des Psaumes : Qu’un autre prenne sa charge. Or, il y a des hommes qui nous ont accompagnés durant tout le temps où le Seigneur Jésus a vécu parmi nous, depuis le commencement, lors du baptême donné par Jean, jusqu’au jour où il fut enlevé d’auprès de nous. Il faut donc que l’un d’entre eux devienne, avec nous, témoin de sa résurrection. » On en présenta deux : Joseph appelé Barsabbas, puis surnommé Justus, et Matthias. Ensuite, on fit cette prière : « Toi, Seigneur, qui connais tous les cœurs, désigne lequel des deux tu as choisi pour qu’il prenne, dans le ministère apostolique, la place que Judas a désertée en allant à la place qui est désormais la sienne. » On tira au sort entre eux, et le sort tomba sur Matthias, qui fut donc associé par suffrage aux onze Apôtres.

(Les commentaires de Marie Noëlle Thabut se trouvent après les textes)

_____

PSAUME

Psaume 103(102),1-2.11-12.19-20ab.

Bénis le Seigneur, ô mon âme, bénis son nom très saint, tout mon être ! Bénis le Seigneur, ô mon âme, n’oublie aucun de ses bienfaits !

Comme le ciel domine la terre, fort est son amour pour qui le craint ; Aussi loin qu’est l’orient de l’occident, il met loin de nous nos péchés.

Le Seigneur a son trône dans les cieux : sa royauté s’étend sur l’univers. Messagers du Seigneur, bénissez-le, invincibles porteurs de ses ordres !

_____

2ème LECTURE

Première lettre de saint Jean 4,11-16.

Bien-aimés, puisque Dieu nous a tellement aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres. Dieu, personne ne l’a jamais vu. Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et, en nous, son amour atteint la perfection. Voici comment nous reconnaissons que nous demeurons en lui et lui en nous : il nous a donné part à son Esprit. Quant à nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé son Fils comme Sauveur du monde. Celui qui proclame que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. Et nous, nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour : qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.

_____

EVANGILE

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 17,11b-19.

En ce temps-là, les yeux levés au ciel, Jésus priait ainsi : « Père saint, garde mes disciples unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes. Quand j’étais avec eux, je les gardais unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné. J’ai veillé sur eux, et aucun ne s’est perdu, sauf celui qui s’en va à sa perte de sorte que l’Écriture soit accomplie.  Et maintenant que je viens à toi, je parle ainsi, dans le monde, pour qu’ils aient en eux ma joie, et qu’ils en soient comblés. Moi, je leur ai donné ta parole, et le monde les a pris en haine parce qu’ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi je n’appartiens pas au monde. Je ne prie pas pour que tu les retires du monde, mais pour que tu les gardes du Mauvais. Ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi, je n’appartiens pas au monde. Sanctifie-les dans la vérité : ta parole est vérité. De même que tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde. Et pour eux je me sanctifie moi-même, afin qu’ils soient, eux aussi, sanctifiés dans la vérité. »

_____

COMMENTAIRES DE MARIE NOËLLE THABUT

NOUS VOUS SOUHAITONS UN AGRÉABLE DIMANCHE



LE CORPS DE JÉSUS RÉALISE EN 3D, A PARTIR DU SAINT SUAIRE

Chers visiteurs, au lendemain de la fête de l’Ascension, voici un article publié récemment par ALETEIA

« Un modèle en trois dimensions de l’homme des douleurs », réalisé à partir du Saint-Suaire, est actuellement présenté à Padoue. Le résultat de deux années de travail.

Le Saint Suaire de Turin n’en finit pas de passionner les historiens et les scientifiques. Ce drap en lin, conservé dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin, a servi à envelopper le corps d’un crucifié, considéré depuis des siècles comme celui du Christ. Sa particularité ? L’image de l’homme et ses blessures ont été « imprimées » sur le linge et les tâches ne sont pas sans rappeler les souffrances du Christ : couronne d’épines, flagellation, blessure de lance dans la poitrine, clous dans les mains. Quasiment invisible à l’oeil nu, l’image apparaît avec précision en négatif.

« Le Suaire reste un défi pour la science », a confié Paolo Di Lazaro, à Vaticannews, directeur adjoint du Centre international de sindonologie, institution spécialisée dans les recherches relatives au Saint-Suaire. Après deux ans de travail entre l’Université et l’hôpital de Padoue, supervisé par le professeur Giulio Fanti, les chercheurs ont pu élaborer un corps en trois dimensions.

Lire la suite de l’article et accéder au diaporama en cliquant sur:

https://fr.aleteia.org/2018/03/28/un-corps-en-3d-realise-a-partir-du-saint-suaire/



BONS TUYAUX POUR DES VACANCES SPI

Chers visiteurs, et si, cet été, vous vous donnez du temps pour prendre du recul, souffler, prier ?  » Si cette idée vous a effleuré l’esprit, le Guide 2018 des vacances spirituelles proposé par

est pour vous. La journaliste, Sophie Viguier-Vinson, a épluché les programmes des centres spirituels et autres mouvements pour vous proposer une sélection adaptée à toutes les envies : mer ou montagne, France ou étranger, groupe ou solo, marche ou pause, jeunes ou moins jeunes, art ou réflexion…

Le plus difficile : choisir !

Cliquez sur le lien suivant et faites votre choix:

http://www.pelerin.com/A-la-une/40-lieux-pour-prier-et-respirer-cet-ete?&PMID=343d62bfc7dd026fb73c6c56b4a78846

 

 



EXPERIENCE DE MORT IMMINENTE (EMI)- ANITA MOORJANI

Chers visiteurs, voici déniché pour vous sur « Le Monde des Religions« , un nouveau témoignage d’EMI.

« Dans l’autre monde, j’ai appris qu’il faut choisir l’amour plutôt que la peur »

Anita Moorjani aurait dû mourir d’un cancer au stade terminal. Mais à son réveil d’une expérience de mort imminente (EMI) lors d’un coma, elle guérit de manière inexpliquée pour la science. Aujourd’hui, elle parcourt le monde afin de transmettre son enseignement. Elle sera à Paris le 24 mai.

Lire son interview sur : https://www.youtube.com/watch?v=_ht7X-l8tOM