Archives de catégorie : Détente



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Les Trois Messes basses

Chers visiteurs, voici un conte de Noël d’Alphonse Daudet figurant dans son recueil des « Lettres de mon moulin » .

C’est un récit  mettant en scène l’un des sept péchés capitaux, la tentation de gourmandise : le prêtre, dom Balaguère, va être tenté par son petit clerc, Garrigou, possédé par le diable, et muni de sa diabolique clochette. L’histoire se situe au milieu du XVIIe siècle dans le château de Trinquelage, château imaginaire situé au sommet du mont Ventoux.

( A ne voir que le côté humoristique de cet oeuvre de Daudet)



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Deux copains, sont amateurs de foot au point que , depuis des années, ils ne passent aucun dimanche , sans jouer un match avec leur équipe locale.

Ces deux mordus de football se demandent souvent si, au paradis il leur sera possible de continuer à jouer au foot. Mais un jour, le destin frappe un des deux copains (un banal accident de voiture).

Quelques temps après, le mort réapparaît en fantôme à son ami encore vivant. Le vivant s’apprête à lui demander si effectivement le foot se joue aussi au Paradis. Mais le fantôme parle le premier et lui dit : «  J’ai deux nouvelles pour toi, une bonne et une mauvaise. La bonne, c’est que OUI, on joue au foot au Paradis. La mauvaise, c’est que tu joues cet après-midi. »



PETIT SOURIRE DOMINICAL

A la fin d’une célébration, alors que le prêtre s’apprête à donner l’eucharistie,  une femme fardée à l’excès se présente devant lui , la bouche masquée par une épaisse couche de rouge à lèvres, prête à communier.

Ne sachant pas comment lui en faire la remarque sans la vexer, le religieux hésite un peu, puis, lui tendant l’hostie, il murmure : «  Seigneur, attention à la peinture ! »  🙂



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Un avocat vient de mourir et se retrouve devant Saint-Pierre aux portes du Paradis.

L’avocat se plaint : « Comment ?! Vous me faîtes mourir maintenant, moi qui avait une santé de fer et dont la carrière professionnelle était un modèle du genre. C’est un scandale. Vous m’avez fait mourir à 49 ans d’une crise cardiaque alors que j’ai toujours été sportif… J’étais bien trop jeune pour mourir ! »

Saint-Pierre consulte alors ses registres et lui répond : « Ah je suis désolé. On s’est basé sur les honoraires que vous réclamiez à vos clients, et on a trouvé que vous aviez 119 ans. »



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Les 10 bons mots du pape le plus drôle de l’histoire

(Publié par Aleteia)

Qui a dit que les papes n’avaient pas le sens de l’humour ? La répartie et la jovialité du pape saint Jean XXIII restent une marque de son pontificat.

Angelo Guiseppe Roncalli, le pape saint Jean XXIII, était connu pour son charisme, sa bonne humeur et sa générosité légendaire. Il n’aura fallu que peu de temps pour qu’il soit appelé « le bon pape ».

_____

  • Les tailleurs: Immédiatement après son élection, saint Jean XXIII se retire, comme le veut la tradition, pour revêtir la soutane blanche de l’évêque de Rome. Problème, aucune des trois soutanes préparées à l’avance ne sont à sa taille. Alors que tout le monde semble embarrassé, le tout nouveau pape répond en souriant :« Visiblement les tailleurs ne me voulaient pas comme pape ! ».
  • L’autre pape: Alors qu’il recevait un évêque italien un peu plus longuement que prévu, le secrétaire du pape rentre dans la salle d’audience pour lui rappeler qu’une longue liste de personnes attendent pour être reçues. Saint Jean XXIII lance alors à l’évêque :« Parfois je me demande si le pape c’est lui ou bien moi ».
  • Les employés du Vatican: Répondant à une personne qui lui demandait combien de personnes travaillent au Vatican, saint Jean XXIII répond naturellement :« Pas plus de la moitié ! ».
  • La supérieure du Saint-Esprit: Un jour, le « bon pape » sort seul du Vatican pour aller rendre une visite discrète à un ami prêtre qui séjournait à l’hôpital du Saint-Esprit. Quand il s’annonce à la porte, la mère supérieure toute émue lui dit : « Saint-Père, je suis la supérieure du Saint-Esprit ». Et Jean XXIII de répondre : « Mais quelle carrière fabuleuse vous avez fait ma sœur ! Je n’ai réussi pour ma part qu’à devenir le vicaire du Christ ! ».
  • Je dois en parler au pape: Saint Jean XXIII avouait à ses collaborateurs : « Parfois, je me réveille la nuit, et je commence à penser à de graves problèmes. Je me dis alors que je dois en parler au pape. Je me réveille alors complètement, et me rappelle que le pape, c’est moi ! » Il répétait souvent d’ailleurs : «  Tout le monde peut devenir pape, la preuve c’est que je le suis ! »
  • Saint-Jean-hors-les-murs: Saint Jean XXIII est le premier pape du XXe siècle à quitter parfois discrètement les murs du Vatican pour rendre visite aux personnes nécessiteuses. Les Romains, avec leur sens de l’humour légendaire, l’appelaient alors Saint-Jean-hors-les-murs, en référence à la célèbre basilique de Saint-Paul-hors-les-murs.
  • Jean-Baptiste: À l’occasion de la réception d’un sénateur nord-américain, ce dernier se présente en évoquant sa religion : « Saint-Père, je suis baptiste ». Avec son éternel humour, le pape répondit : « Moi, c’est Jean. Nous sommes donc complémentaires ! ».
  • Les saintes Écritures: Alors qu’il reçoit le rabbin de Rome, le pape souhaite raccompagner son invité jusqu’à la sortie de la salle des audiences. Le rabbin cède alors le passage au pape, mais saint Jean XXIII, cédant à son tour le passage au rabbin, déclare d’un ton solennel : « L’Ancien Testament d’abord ! ».
  • Les sœurs de saint Joseph: Un groupe de religieuses se présente un jour au Pape et lui indiquent qu’elles sont les sœurs de Saint-Joseph. Le bon Pape réplique du tac-au-tac : « Mais que vous êtes bien conservées ! ».
  • Pour conclure: Saint Jean XXIII avait l’habitude de conclure ses rencontres avec les pèlerins avec cette petite phrase sur le fait qu’il était tout le temps à l’intérieur du Vatican : « Revenez, revenez, nous sommes, hélas, toujours là ! ».


PETIT SOURIRE DOMINICAL

Un don du Ciel !

Un athée est assis sur le banc dans d’un jardin public. Un prêtre vient s’asseoir à côté de lui sur le banc. Ils entament la discussion.

Comment pouvez-vous croire en Dieu ? Vous pensez bien qu’une telle entité ne peut exister !

Bien sûr que Dieu existe ! Regardez tout autour de vous : tout cela est son œuvre !

Allez, vous voyez bien ce que je veux dire, le monde est tellement… incongru. Il est impossible que tout cela aie été créé par un Dieu. Prenez l’hippopotame. Gros, lourd, pataud… Il a besoin d’une centaine de kilos de nourriture par jour et pourtant, il ne peut pas se déplacer très loin pour la trouver. Oui, cet hippopotame devrait pouvoir se déplacer plus librement de manière à trouver plus facilement sa nourriture. Pourquoi donc est-ce que les hippopotames ne volent pas ? Je vous pose la question ; hein ?

Et à ce moment-là, une mouette passe et se libère sur la tête l’incrédule !

Le prêtre joint les mains en regardant au ciel :

Merci mon Dieu, je n’osais pas le dire.



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Le bon larron

– « Mon père, je suis un chrétien exemplaire. Je ne bois pas, je ne vais jamais au café. Je ne trompe pas ma femme, je ne regarde même pas les autres femmes. Je ne sors jamais le soir, je me couche tôt tous les jours. »

– « C’est bien, mon fils, mais ça risque de changer quand vous serez libéré. » dit l’aumônier de la prison.



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Un jardinier est embauché par un prêtre pour tondre la pelouse chaque semaine. Le religieux demande :

– Bonjour, mon fils, êtes-vous croyant ?

– Euh !! Oui, je connais un peu Jésus…

– Bien, mais les saints qui l’accompagnaient, vous les connaissez ?

– Je ne m’en rappelle plus !

– Bien, je vais vous en citer deux : Pierre et Jean.

Le prêtre s’en va et le jardinier décide pour s’en rappeler de les noter sur sa tondeuse. Un deuxième prêtre arrive et demande :

– Bonjour mon fils, connaissez-vous les saints qui ont accompagné Jésus ?

– Oui, je connais Pierre et Jean…

– Vous n’en connaissez pas d’autres ?

– Euh, si ! Black et Decker !

 

PETIT SOURIRE DOMINICAL

Prières et prières

Le curé d’un petit village breton perdu, décède. Il arrive devant Saint-Pierre qui examine ses états de service. Tout a l’air parfait, une vie tranquille, aucun pêché. On lui accorde l’entrée au paradis. Saint-Pierre lui explique qu’il disposera d’un petit nuage motorisé pour se déplacer vers les nuages d’attraction: celui du buffet, celui de la musique, celui des plaisirs charnels.

Le curé profite pleinement de ses premières journées au paradis, mais il se rend rapidement compte que d’autres sont mieux lotis que lui. Son nuage motorisé n’est qu’une mobylette et il voit régulièrement un homme de couleur le dépasser sur un nuage très rapide avec femmes et orchestre.

Il retourne chez Saint-Pierre et lui dit:

– Toute ma vie, j’ai résisté aux tentations, j’ai servi Dieu le mieux qu’il était possible et arrivé ici, je n’ai toujours pas un sort enviable. Qu’a fait, par exemple cet homme pour recevoir un nuage rapide et si bien équipé?

– Vous étiez, lui dit Saint-Pierre, prêtre d’un petit village breton perdu, chaque dimanche, dix fidèles priaient dans votre église. Lui était pilote à Air Afrique, chaque jour, 350 passagers derrière lui priaient Dieu au décollage et à l’atterrissage.