Archives de catégorie : Humour



VOCATIONS-NOUS AVONS BESOIN DE PRETRES

Avec humour, ils nous font réfléchir au manque de prêtres

Des prêtres du diocèse de Coutances, dans la Manche, ont réalisé des vidéos insolites et qui ne manquent pas d’humour pour nous faire réfléchir au manque de prêtres dans leur diocèse. Dans l’une d’entre elles, on voit des prêtres surchargés, administrant les sacrements à tour de bras et célébrant la messe en courant. Ces vidéos présentent avec humour le quotidien de prêtres surchargés et posent la question du manque de prêtres dans de nombreux diocèses.


RÉFLÉCHISSONS Y



PETIT SOURIRE DOMINICAL

« Partage« 

« Un jésuite  et un franciscain dînent ensemble. Au dessert, arrivent deux parts de gâteau. Le jésuite se sert en premier et prend le morceau le plus gros. Le franciscain proteste : “Saint François nous a appris que nous devons prendre le morceau le plus petit.” Et le jésuite réplique : “De quoi te plains-tu, mon frère ? C’est ce que tu as reçu !” ».



PETIT SOURIRE DOMINICAL

 Honnêteté

 Un jour, un bûcheron était occupé à couper une branche qui s’élevait au-dessus de la rivière. Soudain la hache tomba dans la rivière. L’homme pleurait si amèrement que Dieu lui apparût et lui demanda la raison de son désespoir. Le bûcheron lui expliqua alors que sa hache était tombée dans la rivière. A sa grande surprise il vit Dieu plonger dans la rivière et remonter une hache d’or à la main :

– « Est-ce là ta hache », lui demanda-t-il ?

Le bûcheron lui répondit : « Non ».

Aussitôt Dieu retourna dans l’eau et revint cette fois avec une hache en argent : « – Est-ce là ta hache, lui demanda-t-il à nouveau ? »

A nouveau le bûcheron lui dit : « Non ».

A la troisième tentative, Dieu revint avec une hache en fer, et lui demanda à nouveau : « Est-ce là ta hache ? »

– « Oui », lui répondit cette fois le bûcheron.

Dieu, touché par l’honnêteté de l’homme, lui donna les trois haches. Le bûcheron rentra tout heureux à la maison. Quelques jours plus tard, le bûcheron longeait la rivière en compagnie de son épouse. Soudain celle-ci tomba à l’eau. Comme l’homme se mit à pleurer, Dieu lui apparût à nouveau et lui demanda la raison de son chagrin : « Ma femme est tombée dans la rivière », lui répondit l’homme en sanglotant.

Alors Dieu plongea dans la rivière et réapparut avec Sophie Marceau dans les bras. «  Est-ce là ta femme », lui demanda-t-il ?

– « Oui ! » Hurla l’homme.

Dieu, furieux, fustigea l’homme : « Tu prends le risque de me mentir ? Je devrais te damner ! »

Le bûcheron l’implora : « S’il te plaît, Dieu, pardonne-moi ! Comment aurais-je dû répondre ? Si j’avais dit ‘Non’ à Sophie Marceau, la fois prochaine tu serais remonté avec Charlize Théron. Si, à nouveau, j’avais dit ‘Non’, tu serais revenu avec mon épouse et j’aurais dit ‘Oui’. A ce moment-là, tu me les aurais données toutes les trois. Mais je suis pauvre et pas du tout en mesure de nourrir trois… »



PETIT SOURIRE DOMINICAL

La Création

Lors de la création, Dieu créa la vache. Dieu lui dit : – « Tu dois aller au champ avec le fermier toute la journée et souffrir sous le soleil, avoir des veaux et donner du lait pour soutenir le fermier. je te donne une durée de vie de 60 ans ». La vache répondit : « – C’est une sacrée vie dure que tu veux pour moi pendant 60. C’est ok pour 20 ans et je te rends les 40 autres ». Et Dieu fut d’accord.

Dieu décida ensuite de créer le chien. Dieu lui dit : – « Reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de 20 ans ». Le chien répondit : « – C’est trop long pour aboyer. Donne-moi 10 ans et je te rends les 10 autres ». Alors Dieu à nouveau accepta (soupirs).

Dieu créa ensuite le singe. Et Dieu lui dit : « – Amuse les gens, fait des tours savants, fait les rire. Je te donne une durée de vie de 20 ans ». Le singe répondit « – Faire des singeries pendant 20 ans ? C’est trop nul ! Le chien a rendu 10 ans, je fais pareil, ok ? » Encore une fois Dieu fut d’accord.

Enfin, Dieu décida de créer l’homme. Dieu dit :- « Mange, dors, joue, amuse toi, profite de la vie . Je te donne 20 ans». L’homme répondit : « – Comment ? Seulement 20 ans ?, je veux bien prendre mes 20, mais aussi les 40 que la vache a rendus, les 10 du chien et les 10 du singe. Ça fait 80, ok ? » – Ok, répondit Dieu. Marché conclu.

C’est ainsi que pendant les 20 premières années de notre vie nous mangeons, dormons, jouons, profitons de la vie, nous amusons et ne faisons rien ; pendant les 40 années suivantes nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille ; pendant les 10 années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits-enfants ; et pendant les 10 dernières années nous sommes assis devant la maison à aboyer sur tout le monde!



PETIT SOURIRE DOMINICAL

« Un novice trop bavard »

Un homme se décide à rentrer dans les ordres. Il se rend à l’abbaye et est accueilli dans une communauté réputée pour son vœu de silence. En fait, chaque moine n’est autorisé qu’à prononcer deux mots tous les dix ans. Après une décennie de silence complet, il est appelé par le père abbé qui l’invite à prononcer ses deux premiers mots.

– « Nourriture froide », dit-il.

Il retourne à sa vie contemplative, et dix autres années se passent. A nouveau convié chez le père abbé, il prononce ses deux nouveaux mots après vingt ans de vie recluse.

-« Lit dur« , soupire-t-il.

Dix autres années passent. Après trente ans de vie monastique, il est appelé par le père abbé pour prononcer ses deux nouveaux mots.

– « Je pars« , annonce-t-il.

– « Ça ne m’étonne pas » réplique l’abbé, « vous n’avez pas arrêté pas de vous plaindre depuis que vous êtes ici !« 

 

PETIT SOURIRE DOMINICAL

Un jeune garçon va se confesser :

– Mon père, je m’accuse d’avoir péché avec une femme mariée.

+ Quel genre de femme était-ce mon garçon ?

– C’est délicat, mon père. Je ne peux pas vous dire avec qui.

+ Je vais vous aider, mon fils. Est-ce la femme du boulanger ?

– Non, mon père.

+ Alors la femme de l’électricien ?

– Non plus, mon père.

+ Peut-être celle du fleuriste ou du maire ?

– Non, mon père.

+ Il m’est difficile de vous donner l’absolution mon fils !

Le jeune homme quitte alors le confessionnal, l’air ravi. En sortant de l’église, il tombe sur un copain tout étonné :

– Toi, tu es allé à confesse ?

– Mais non, je suis juste allé chercher trois ou quatre adresses !



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Chers visiteurs,

Le Carême étant passé, en cette journée de Pâques, nous reprenons notre rubrique du Petit sourire dominical.

_____

« Le péché de vanité »

Un jésuite un peu vaniteux souffre de troubles cardiaques et doit se faire opérer. Sur la table d’opération il demande à Dieu : « Seigneur vous pensez que je m’en sortirai ou ma fin est-elle proche ? ». Dieu lui dit : « Non… tu vivras encore, au moins 40 ans ! ». Guéri, le jésuite décide alors de se faire une petite greffe de cheveux, un lifting du visage et de se refaire les dents, le menton etc. Bref, il sort transformé, un autre homme. Mais dès sa sortie de l’hôpital, une voiture le renverse et il meurt… Quand il se présente devant Dieu, il Lui demande : « Seigneur vous m’aviez dit que j’aurai vécu encore 40 ans ! » Et Dieu : « Oups, pardon, je ne t’avais pas reconnu…».



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Une foi de lion

Un prêtre se promenait dans une brousse et vît un lion ; alors le lion rugit et dit:

– « Prépare-toi à mourir. »

Le prêtre se mit à genou pour prier. Quelque temps après il vît le lion en faire autant ; alors le prêtre de crier :

– « Ouf! Merci mon Dieu d’avoir adouci le lion« .

L’animal de crier :

– « Chut! Je fais toujours ma prière avant de mange ma proie !« 



PETIT SOURIRE DOMINICAL

Pêché de vanité

C’est une jeune fille qui vient prendre place dans le confessionnal. Elle se penche à la grille du parloir et commence :

« Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché. »

« Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous commis? »

« Mon père, j’ai commis le pêché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »

À ce moment là, le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :

« Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : ce n’est pas un pêché…

c’est simplement une erreur. »