LES CHRETIENS AU CHEVET DES LEPREUX DU MONDE

Chers Visiteurs. Malgré l’aggravation continue des persécutions des chrétiens dans le Monde (http://stpierredes2nied.free.fr/?p=13306), l’Eglise parvient quand même à rester aux chevets de ses frères lépreux de par le Monde. Aussi, « à la veille » de la 69ème Journée Mondiale des Lépreux, célébré ce dimanche 30 janvier, les derniers chiffres de l’Annuaire statistique de l’Eglise,  recense  532 léproseries gérées par la seule Eglise catholique. Voici ce que rapporte le site

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VATICAN – L’Église missionnaire pour les lépreux : 532 léproseries dans le monde

Cité du Vatican (Agence Fides) – « Selon les données du dernier « Annuaire statistique de l’Église« , l’Église catholique gère 532 léproseries dans le monde. Voici la répartition par continent : en Afrique 201, en Amérique 41 (total), en Asie 269, en Europe 19 et en Océanie 2.
Les pays qui comptent le plus grand nombre de léproseries sont les suivants : en Afrique : Madagascar (31), République démocratique du Congo (26), Égypte (24) ; en Amérique centrale : Mexique (3) ; en Amérique centrale-Antilles : Haïti (2) ; en Amérique du Sud : Brésil (18), Colombie (5), Chili (4) ; en Asie : Inde (216), Vietnam (15), Indonésie (9) ; en Océanie : Papouasie-Nouvelle-Guinée (2) ; en Europe : Ukraine (10), Belgique (8).(…) »

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TRANSHUMANISME ET DETESTATION DE L’HOMME

Chers Visiteurs, nous vous invitons à lire cet article de François-Xavier Bellamy, publié sur le site

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« François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain » »

« La volonté de tout transformer atteint aujourd’hui sa dernière frontière : l’homme lui-même. » C’est le constat de François-Xavier Bellamy, philosophe et député européen, dans un entretien à l’Osservatore Romano.

« Si rien ne nous convient dans le réel, l’homme lui-même doit être transformé », décrypte-t-il. Car « le rêve du transhumanisme n’est rien d’autre que le projet de ce changement appliqué à l’auteur du changement lui-même : il s’agit de vaincre les frontières qui limitent son mouvement, d’éliminer les rigidités, les pesanteurs de la vie humaine. » (cf. Le sens des limites)

  • L’échec annoncé du transhumanisme (…)
  • Gérer l’inéluctable ou défendre une réforme parce qu’elle est juste ?(…)

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