TROIS MINUTES A L’ECOLE DE CHARITÉ N°29

Chers Visiteurs, voici notre rendez vous quotidien du Carême, les « 3 minutes de charité » mises en ligne pour nous, par

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Père Pierre Ceyrac : Sortir de chez soi

Né dans une famille de la grande bourgeoisie corrézienne, Pierre Ceyrac a puisé dans l’amour et la foi, reçus dans son enfance, la sécurité nécessaire pour mûrir une vocation missionnaire et s’aventurer en Inde.

 Le Père Pierre Ceyrac à Madras en 1988.

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L’EGLISE PERSÉCUTÉE FACE AU COVID 19

Chers Visiteurs, face au Coronavirus, « l’Eglise persécutée » a plus que jamais besoin de nos prières. En effet, la pandémie du Covid 19 complique sérieusement la mission des équipes de Portes Ouvertes au Moyen Orient et en Afrique qui n’abandonnent nos sœurs et frères persécutés.

 » SI NOTRE AIDE S’ARRÊTAIT, LA SIMPLE PRÉSENCE DE CHRÉTIENS SERAIT MENACÉE« 

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POURQUOI SONNE-T-ON LES CLOCHES TROIS FOIS PAR JOUR ?

Chers Visiteurs, les « anciens » connaissent la réponse à cette question, mais nos jeunes générations le savent elles ? Pour eux, nous avons le devoir de partager cet article puisé sur le site

France catholique: ce soir, à 19h30, les évêques ont demandé aux Français de déposer une bougie à leur fenêtre, tandis que résonneront les cloches en l’honneur de l’Annonciation.

L’origine de la sonnerie de l’Angélus – et de l’Angélus lui-même – se perd dans les siècles. Depuis le XIIIe siècle au moins, le peuple chrétien était localement encouragé à réciter trois Ave lorsque retentissaient les cloches des complies, dernière prière du jour. Ces prières à la Vierge se seraient ensuite étendues au prières du  matin, annoncées par les cloches des monastères. 

Eglise St Etienne – Boulay

Se greffe parfois à l’Angélus la demande du pape Calixte III qui, en 1456, demanda à ce que les cloches retentissent trois fois par jour pour accompagner trois Pater et un Ave que devaient réciter les catholiques, alors que l’Empire ottoman était lancé à l’assaut de l’Europe. Un an plus tard, les cloches de l’Angélus sont mentionnées dans la littérature de l’époque. Ainsi, dans son Lais, composé en 1457, le poète François Villon raconte : « Je ouyz [j’ouis] la cloche de Sorbonne, / Qui tousjours à neuf heures sonne / Le Salut que l’Ange predit ».

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