Chers visiteurs, voici arrivé notre moment détente du dimanche soir. Aujourd’hui, calendrier oblige, nos amis vont traiter des Rois Mages, de l’Épiphanie et de la galette. Si cette tradition est entrée dans les mœurs, une question demeure : d’où vient cette coutume ?
Chers visiteurs du dimanche soir, voici notre rendez-vous hebdomadaire en Terre Sainte, préparé pour nous part 
A sommaire :
Fête de la Sainte Famille à Nazareth:
L’action politique et le Royaume de Dieu :
Les échanges de vœux entre les Églises de Jérusalem :
A la veille de Noël les chrétiens en Israël sous le microscope du Département des statistiques :
Avec Marie vers Panama 2019 :
Nous vous souhaitons une bonne visite en Terre Sainte
Chers visiteurs, en ce jour de Noël copte, voici un communiqué déniché pour vous sur le site de 
Le Caire (Agence Fides) – Cette année encore, le Président égyptien, Abdel Fattah al Sisi, prendra part à la liturgie solennelle copte orthodoxe de la veillée de Noël prévue en la nouvelle
Cathédrale de la Nativité de Jésus construite dans ce qui deviendra la nouvelle capitale administrative du pays. Il s’agira de la cinquième participation de l’actuel Président égyptien à la célébration la plus solennelle des festivités de Noël de l’Église copte orthodoxe. L’imminente liturgie est présentée par les moyens de communication égyptiens comme une sorte d’inauguration officielle du lieu de culte attendu que l’an dernier, la veillée de Noël avait été célébrée dans la nouvelle Cathédrale alors que les travaux de construction n’avaient pas encore été achevés, l’église constituant encore un chantier ouvert.
Les participations du Chef de l’État aux liturgies du Noël copte, généralement reprises en direct par les chaînes de télévision nationales, visent également à attester le lien solide existant entre la plus grande communauté chrétienne du Proche-Orient et l’actuel homme fort de l’Egypte. Al Sisi est le premier Président égyptien à avoir pris part physiquement aux solennités liturgiques coptes orthodoxes. Son projet politique qualifie la composante copte d’élément qu’il n’est pas possible de marginaliser au sein de l’identité égyptienne.
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