VIDÉO DU PAPE FRANCOIS – NOVEMBRE 2018

Chers visiteurs, nous sommes enfin en mesure de vous communiquer la vidéo mensuelle du Saint Père.

« La paix véritable se trouve dans le cœur humain »

PAIX. Quatre lettres que certains utilisent tout à fait normalement et que d’autres ne vivent pas depuis des années. Parce que dans beaucoup d’endroits du monde ce n’est pas une réalité : ce n’est qu’un souhait, pour des milliers de personnes qui souffrent de son absence. Pensons à davantage que ces quatre lettres : à ce qu’elles signifient. Prions et travaillons pour obtenir la paix véritable.



LA CONVERSION COMME CHANGEMENT RADICAL

Chers visiteurs, nous vous proposons aujourd’hui cette excellente étude de Michael Pakaluk, dénichée pour vous sur 

et traduite d’un texte publié sur  _____

Michael Pakaluk, spécialiste d’Aristote et membre ordinaire de l’Académie pontificale Saint-Thomas d’Aquin, est professeur à la Busch School of Business and Economics de la Catholic University of America.

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Pouvons-nous espérer que tous les hommes soient sauvés ?

Il y a trente ans, un grand théologien posait déjà la question de la même manière. Mais il ne la formulait pas dans ce que les grammairiens appellent le mode indicatif – «  que tous seront sauvés  » – puisque, insistait-t-il, il ne parlait pas d’un fait, ni d’une doctrine. Au lieu de cela, il a employé le subjonctif (en grec, on dirait le mode optatif, le mode de «  l’espérance  »), parce qu’il parlait d’une perspective ou d’une attitude.

Appliquez maintenant la question à vous-même. Espérez-vous être sauvé ? La réponse est facile : chacun de nous le désire et dira «  bien sûr  », à moins que nous ne cédions à ce sombre désespoir qui nous ferme même à la miséricorde de Dieu, le «  péché impardonnable  ».

Revenez à l’indicatif. Serez-vous sauvé ? La réponse à cette question est tout aussi facile : toute personne sensée dira «  je ne sais pas  » – c’est l’enseignement de l’Église (CEC, n. 2016). Chacun de nous a besoin de «  la grâce de la persévérance finale  » et nous devons prier pour cela. Penser que nous savons que nous sommes sauvés est une présomption fausse et dangereuse qui nous met au péril de notre perte.

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